Il existe bien des trucs et techniques, donc je me limiterai ici à la liste des idées qui fonctionnent le mieux pour moi !
Et je vous invite à partager les vôtres en commentaires à ce billet pour enrichir la liste.
1. J’investis en permanence dans mes réseaux
Mes contacts m’apportent un précieux soutien dans les situations difficiles comme dans les succès et leurs conseils avisés et désintéressés me sont toujours utiles.
LES réseaux car il y en a plusieurs :
Celui des collègues présents et passés, des clients rencontrés, des fournisseurs…
Celui des autres activités professionnelles et associatives : PMI, Prince2, suiveurs du blog, connections sur LinkedIn et Viadeo.
Le perso : Amis, famille…
Tous ces réseaux sont importants et demandent à être bichonnés en permanence, en particulier quand on n’a besoin de rien et que l’on peut apporter son support à d’autres.
2. Je prends soin de moi !
Je travaille ma forme physique de manière très régulière et fréquente. Stretch, course à pied, natation, VTT, marche… La pratique de ses activités me permet de décompresser, me vider l’esprit, améliorer mon comportement (patience, persévérance) et mieux résister au stress.
Je planifie aussi mes pauses congés, courtes comme longues, longtemps à l’avance. Cela permet d’anticiper, de planifier, de déléguer… OK, pas très spontané je vous l’accorde, mais efficace !
3. Je me donne les moyens de réussir
Grâce à des formations soigneusement sélectionnées. Elles ne sont pas toujours à 100% alignées sur mon cœur de métier et c’est volontaire afin de découvrir d’autres domaines. Je lis aussi beaucoup, je suis abonné à de très nombreux blogs, j’assiste et participe activement à des conférences et j’échange avec des contacts. J’essaie aussi de travailler sur mon intelligence émotionnelle et mes compétences de d’écoute et de management (je sais, il y a encore de grandes marges d’amélioration…). Je m’efforce de présenter le côté positif des choses, les leçons à tirer des difficultés, et d’apprécier les petites bonnes surprises.
CSP est partenaire de DantotsuPM
4. Je priorise et je me focalise sur les tâches où je peux apporter le plus de valeur
Lister ces tâches, les prioriser, se donner des objectifs de temps réalistes pour les compléter… le b-a-ba du Management de projet quoi ! Mais aussi pratiquer le timeboxing pour se ménager des créneaux de concentration la plus absolue possible sur les sujets importants, de préférence en début de matinée.
Ne faire qu’une chose à la fois, je vous l’accorde, n’est pas le plus facile.
Quel est votre « nord » personnel ?
J’aligne mes tâches et activités sur mon domaine de prédilection et de passion, le management de projet. Cette cohérence d’ensemble me permet de créer de très fortes synergies entre mes activités. Elle raconte une histoire. Elle donne un sens visible et évident à tout ce que je fais, pour moi-même et pour tous les autres. Elle est ma boussole !
Quel est votre « nord » personnel ?
Alors, qu’ajouteriez-vous ?
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Je suis arrivé à la porte juste quand ils fermaient la porte et que l’avion commençait à reculer.
C’était il y a trente ans, mais je me souviens toujours du ressenti. Je pense que nous sommes câblés pour craindre ces douloureux moments de loupé.
Les dates butoir ( « drop dead dates ») ne causent pas réellement de mort si manquées, mais parfois nous nous persuadons que c’est presque aussi terrible. En conséquence, les commerciaux et autres personnes qui veulent que nous prenions des actions inventent des falaises, des portes qui claquent et de puissantes alarmes.
Nous mettons une corde à la porte, un minuteur sur l’horloge et nous nous concentrons sur la pénurie et la crainte du manque de. Et, en conséquence, les consommateurs, les étudiants et les collaborateurs attendent ces signaux, priorisant leurs vies autour de la prochaine urgence.
Quand tout est focalisé sur la date butoir, il y a peu de temps pour travailler sur les choses qui sont réellement importantes.
Quand nous construisons nos vies autour ‘ce qui est dû’, nous sacrifions notre vie aux priorités et urgences de tous les autres.
Plus important est le plus grand problème: le temps s’écoule.
Pour toutes les choses vous pourriez vouloir essayer, pas seulement celles qui sont sur le point de quitter la porte d’embarquement.
Le temps s’échappe pour vous de monter le niveau ou de vous connecter ou d’être généreux envers quelqu’un qui a vraiment besoin de vous.
Le temps s’échappe pour vous de devenir la personne que vous avez décidé d’être, de faire la différence que vous cherchez à faire, de produire le travail dont vous savez être capable.
Actionnez votre propre sirène d’alarme.
Et regardez avant de nous quitter cette vidéo TED de Laura Vanderkam à TEDWomen en 2016 (12 minutes). Un sous-titrage en français est actionnable.
J’en suis venu à croire que le stress élevé, l’anxiété constante sur des tâches, le travail et la vie courante, l’anxiété sociale… font tous partie du mode de vie moderne.
La plupart des personnes ne ressentent pas un seul sentiment de paix, de calme, de sérénité, à travers toute leur journée.
Je dois admettre que je fais parfois de même, mais j’ai appris quelques trucs qui m’ont aidé à créer un sentiment de calme beaucoup plus souvent que jamais auparavant.
C’est une série d’habitudes qui se sont développées au fil de ces dernières années. Je n’y suis pas parfait, mais je les pratique vraiment et elles me sont toujours utiles.
Ce sont des habitudes, pas un changement unitaire dans mon environnement ou mode de travail. Changer votre environnement est excellent, mais très souvent vous ne pouvez pas contrôler les choses qui vous arrivent et vous ne pouvez certainement pas contrôler comment les autres personnes agissent. La seule chose que vous pouvez contrôler est votre réponse – et cette réponse est importante. Vous pouvez répondre à un même événement avec de l’anxiété ou de la colère, ou vous pouvez y répondre par la paix et le calme.
Comprenons comment.
Les Habitudes de Calme – Voici les habitudes à développer qui vous aideront à développer le calme
1. Instaurez un rituel calme du matin.
Young woman silhouette practicing yoga on the sea beach at sunset
Beaucoup de personnes démarrent leur matinée dans l’urgence, et commencent leur journée dans un rush stressant. Je me réveille un peu plus tôt (vers 5h00 en cette période, quoique cela change) et je commence par un peu de méditation, puis quelques poses de yoga. Je commence ensuite à écrire, avant de laisser entrer le bruit. L’exercice physique est une autre composante de ma routine matinale. Vous ne devez pas nécessairement faire ces mêmes choses, mais parvenez à trouver le calme du matin et à en profiter.
2. Apprenez à observer votre réponse.
Quand quelque chose de stressant survient, quelle est votre réponse ? Certaines personnes sautent dans l’action, et si la situation stressante est une autre personne, parfois l’action peut être néfaste. D’autres se mettent en colère, ou se sentent débordés. D’autres encore commencent à s’auto-plaindre et aimeraient que les choses soient différentes. Pourquoi les autres personnes ne peuvent-elle pas mieux se comporter ? Observez votre réponse : c’est une habitude importante.
3. Ne prenez pas les choses personnellement.
Plusieurs fois votre réponse (que vous avez observée et notée dans l’habitude 2) est de prendre les choses personnellement. Si quelqu’un fait quelque chose que nous n’apprécions pas, nous avons souvent tendance à l’interpréter comme un affront personnel. Nos enfants ne rangent pas leurs chambres ? Ils nous défient ! Notre conjoint ne montre pas d’affection aujourd’hui ? Il/elle ne doit pas se soucier de nous autant qu’il/elle le devrait ! Quelqu’un agit cavalièrement au travail ? Comment peuvent-ils nous traiter de cette façon ?! Certaines personnes en viennent même à penser que l’univers s’est ligué contre elles. Mais la vérité est : Ce n’est pas personnel. Le problème réside avec l’autre personne avec laquelle vous traitez. Elle fait du mieux qu’elle le peut. Vous pouvez apprendre à ne pas interpréter des événements comme un affront personnel et les voir plutôt comme un événement externe non-personnel (comme la chute d’une feuille, un oiseau qui passe en volant) auxquels vous pouvez soit répondre sans stress, soit me pas répondre du tout.
4. Soyez reconnaissant.
Pour sûr, des tas de gens parle de gratitude… mais combien de fois l’appliquons-nous aux événements de notre journée ? Les choses se passent mal au travail, ou notre patron est en colère, ou nos collaborateurs sont grossiers, ou nos enfants se conduisent mal, ou quelqu’un ne nous aime pas comme nous le voudrions… Ceci doit-il générer colère/anxiété/tristesse, ou pouvons-nous en être reconnaissants ? Laissez tomber vos griefs et trouvez une façon d’être reconnaissant, peu importe laquelle. Et ensuite, souriez. Cette habitude inaltérable peut changer votre vie.
5. Créez des habitudes qui se chargent du stress.
Souvent, quand nous sommes face au stress, nous avons des réponses malsaines : nous mettre en colère, nous sentir dépassé et en retrait, mal nous alimenter, boire de l’alcool, dépenser ou acheter compulsivement des choses, aller sur des sites qui nous font perdre notre temps, procrastiner, etc. Au lieu de cela, nous avons besoin de façons saines de faire face au stress qui viendra inévitablement. Quand vous remarquez du stress, observez soigneusement comment vous y faites face et remplacez ensuite toutes vos habitudes malsaines par de plus saines. Des habitudes saines pour faire face au stress incluent : Boire du thé, faire de l’exercice, du yoga, de la méditation, masser votre nuque et vos épaules, aller faire une promenade, boire de l’eau, parler avec quelqu’un dont vous vous souciez.
6. Faites une tâche à la fois.
J’ai écrit de nombreux billets dans le passé sur monotâche versus multitâche, et je pense les gens multi-tâchent maintenant plus que jamais. Les gens envoient un SMS dans le train, en marchant, en conduisant. Ils tweetent et postent sur Facebook et Instagram, ils envoient des courriers électroniques et lisent des blogs et des nouvelles, ils observent des vidéos en faisant d’autres choses, ils regardent la télévision en mangeant, ils planifient leur journée en faisant les tâches ménagères.
Ceci est un excellent moyen de causer un niveau d’anxiété qui se retranscrit dans tout que vous faites, parce que vous êtes toujours inquiets : Vous devriez faire plus, faire quelque chose d’autre. Et si, au lieu de cela, vous faisiez juste une chose à la fois et appreniez à penser que vous ne devriez pas faire autre chose ? Cela demande de la pratique : Seulement manger. Seulement laver son bol. Juste se promener. Parler à seulement une personne. Lire un article ou un livre, uniquement, sans s’interrompre. Simplement écrire. Traiter uniquement votre courrier électronique, message par message, jusqu’à ce que votre boîte d’arrivée soit vide. Vous apprendrez qu’il y a de la paix dans le fait de faire une seule chose et de lâcher de tout le reste.
7. Réduisez le bruit.
Nos vies sont emplies de toutes les sortes de bruit: désordre visuel, notifications, médias sociaux, nouvelles, toutes ces choses que nous devons lire. Et sincèrement, rien de cela n’est nécessaire.
Réduisez toutes ces choses et plus et créez un certain espace, un certain calme, dans votre vie.
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Bien sûr, lire ses SMS ou emails professionnels en arrivant à la maison après une mauvaise journée est fortement déconseillé, droit à la déconnexion oblige !
OK, ils ne marcheront peut-être pas toujours mais je pense que ces conseils de John Baldoni, très simples et faciles à mettre œuvre, peuvent avoir un effet positif et re-booster votre moral avant de reprendre le chemin de la maison.
Ressentez-vous de la contrariété au travail, particulièrement en fin de journée ? La plupart d’entre nous ressentent cela de temps en temps. Le défi est de savoir que faire à ce sujet.
Faites une chose que vous savez faire impeccablement avant de partir
Faites ce que les champions de plongeon font en compétition : montez sur le plongeoir et exécutez un plongeon dans lequel vous excellez. Après cela arrêtez votre journée de travail. On a donné ce conseil à ma fille. Elle était plongeuse en compétition pendant son adolescence. Le plongeon est une discipline qui exige une combinaison d’agilité, de timing et de beaucoup de grâce, pour ne pas mentionner des nerfs solides et tout autant de volonté. Un jour, elle avait atteint un plafond et était sur le point de partir quand son entraîneur l’a tirée de côté et lui a dit : « Tu peux partir maintenant si tu veux, mais au lieu de partir dans cet état de frustration, pourquoi ne finirais-tu pas l’entrainement avec un plongeon que tu sais que tu va réussir ? » Ma fille a suivi son conseil et a fini son entrainement en se sentant beaucoup mieux et plus confiante sur ses capacités.
Et c’est exactement nous devons faire à la fin d’une journée irritante. Il arrive que les choses tournent vraiment mal, résultat de nos propres erreurs ou de celles d’autres personnes, ou d’un système ou d’un processus qui a échoué. Et, indépendamment de la cause, la tension monte. Pour empêcher ce stress de ruiner votre soirée, ou la journée suivante, il est bon de trouver des façons de le dissiper. Faire ceci au travail, avantde rentrer à la maison, est une bonne première étape.
Voici quelques suggestions pour dissiper le stress d’une mauvaise journée au travail.
1. Respirez à fond.
Gardez-l’air un instant dans vos poumons puis soufflez. Faites-le plusieurs fois. Pour des détails sur la bonne façon de prendre une profonde respiration du diaphragme, voir cette lettre d’information sur la Santé de Harvard. Fermez les yeux si vous le souhaitez, ou regardez une image de votre conjoint ou de vos enfants ou de quelque chose qui vous fasse venir un sourire. Effacez de votre esprit la frustration que vous ressentez.
2. Choisissez maintenant quelque chose de facile à faire.
Envoyez un rapport, réconciliez un bilan, ou répondez à quelques courriers électroniques simples, rayez un item qui n’exige pas beaucoup de réflexion de votre liste de choses à faire. Le processus en lui-même aura tendance à ralentir votre rythme cardiaque et vous donnera un sentiment de maîtrise de ce que vous faites. Vous en doutez ? Essayez !
3. Levez-vous et partez.
Arrêtez votre ordinateur et partez !
Une fois que vous avez complété cette tâche et que, nous l’espérons, vous sentez mieux, prenez promptement la sortie. Ne vérifiez pas votre courrier électronique une dernière fois. Ne vous attardez pas pour voir qui est encore là. Ne vérifiez pas Facebook, LinkedIn ou Twitter. Simplement partez, gracieusement et avec un sourire sur le visage. Le travail pénible sera encore là demain, mais pour l’instant effacez-le à grande vitesse de votre esprit. Partez, tout simplement.
A la fin de la journée, vous devez faire juste encore une chose qui vous fasse vous sentir bien avant de partir
Bien sûr, nous savons que ces étapes simples ne fonctionneront pas tout le temps. Il y aura des moments où vous quitterez le travail frustré et pas qu’un peu en colère. Et si vous vous sentez vraiment souvent plus frustré que satisfait, ces techniques ne résoudront pas vos plus gros problèmes avec votre travail. Vous pourriez devoir trouver un nouveau poste, ou un nouvel employeur.
Le sentiment de contrariété, particulièrement quand nous travaillons avec d’autres et particulièrement en ces temps difficiles, est naturel. Le défi pour ceux d’entre nous qui voulons faire de notre mieux est de ne pas de laisser de petites choses nous tirer vers le bas. À la fin de la journée, nous devons, comme ma fille, faire encore un plongeon qui nous fasse nous sentir bien par rapport à nous-mêmes
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Le stress est l’une des plus grandes causes de problèmes de santé de beaucoup de personnes : il peut causer des problèmes cardiaques, la dépression, des attaques d’anxiété, des problèmes de sommeil, des maladies auto-immunes, des problèmes de poids et bien davantage.
Mais nous sommes très occupés – comment faire retomber les niveaux de stress tout en complétant notre job, en nous occupant de nous-même et de nos familles ?
La personne occupée pourrait ne pas avoir de temps pour des retraites de méditation d’une semaine entière, ni de brèves vacances, ni des consultations hebdomadaires. Alors, qu’est-ce qui peut être fait ?
Je vais être bref: il y a 5 petites choses que vous pouvez faire.
Quelques changements de mentalité, une paire d’actions qui demandent seulement 2 minutes chacune. Ceux-ci ne résoudront pas les problèmes de stress les plus sévères, mais ils aideront la plupart d’entre nous.
Soyez complètement dans une tâche.
Au lieu d’être dans le mode stressant de commutation de tâches, prenez votre tâche suivante, laissez s’en aller tout le reste et soyez seulement dans le moment présent avec cette tâche. Laissez-vous être immergé dans cette tâche, lâcher le sentiment que vous devez vous en débarrasser rapidement en toute urgence, pour passer à la tâche suivante. Il y aura toujours une tâche suivante – la nature de listes de tâche est qu’elles sont sans fin. Aussi, laissez ces autres tâches venir plus tard. Soyez juste dans cette tâche, comme si cela est votre univers entier.
Visualisez vos idéaux et relâchez le contrôle.
La peur vous rend stressé, pas des facteurs externes comme votre travail ou des problèmes familiaux. Ces choses externes sont juste une partie de la vie, mais elles deviennent stressantes quand vous craignez l’échec, quand vous craignez que les gens ne vous aiment pas, quand vous craignez de ne pas être assez bon, quand vous craignez l’abandon, etc. Cette crainte est basée sur un certain idéal (et vous craignez la non atteinte de cet idéal) : vous avez une image mentale que vous allez réussir, être parfait, être aimé, être à l’aise tout le temps. Ces idéaux sont une façon d’être dans le contrôle d’un monde que vous ne contrôlez pas en réalité, mais ils vous font mal en causant de la peur et du stress. Au lieu de cela, lâcher de contrôle. Soyez OK avec le chaos et l’incertitude et croyez que les choses trouveront leur place. Vous aurez moins peur et serez moins stressé.
Acceptez les gens et souriez.
Nous nous énervons après d’autres personnes parce qu’elles ne respectent pas nos idéaux ou comment elles devraient agir. Au lieu de cela, essayez de les accepter pour qui elles sont et reconnaissez que, comme Vous, elles sont imparfaites et recherchent le bonheur et luttent pour le trouver. Elles font de leur mieux. Acceptez-les, souriez et appréciez votre temps avec cette personne.
Allez faire un tour.
Quand les choses deviennent stressantes, prenez 2 ou 3 minutes pour faire une promenade et vider votre esprit. Une courte promenade fait des miracles.
Exercez de brèves pratiques d’attention.
« Image courtesy of stockimages / FreeDigitalPhotos.net ».
Vous n’avez pas à méditer 30 minutes pour obtenir les bénéfices du fait d’être attentif. Vous pouvez faire un balayage rapide de votre corps (voir comment votre corps se sent à cet instant) en 10 secondes. Vous pouvez prêter attention à votre souffle pendant 30 secondes. Vous pouvez observer vos pensées, craintes, idéaux pendant une minute. Vous pouvez marcher, en prêtant attention à votre corps, vos pieds, votre souffle, votre environnement, comme vous marchez. Vous pouvez faire chacune de ces sortes de pratiques d’être attentif par petits bouts pendant votre journée.
Et pour aller plus loin: Si vous avez encore un peu de temps après avoir fait ces choses, j’ai quelques autres recommandations qui aideront. Éliminez les tâches inutiles de votre « Todo List », réduisez vos engagements en disant non aux gens, commencez une pratique de méditation régulière de 5 minutes, manger plus sainement, faites régulièrement de l’exercice, passer du temps de qualité avec des personnes aimées, prenez plus de sommeil, buvez du thé.
Je devrais indiquer que beaucoup de personnes font face au stress de façons malsaines – alcool, tabac, drogues, malbouffe, violence, regarder la télévision, procrastiner. Ironiquement ceux-ci causent encore plus de stress. Au lieu de cela, apprenez à le gérer sans ces béquilles.
Psychologist Kelly McGonigal urges us to see stress as a positive, and introduces us to an unsung mechanism for stress reduction: reaching out to others.
Stress. It makes your heart pound, your breathing quicken and your forehead sweat. But while stress has been made into a public health enemy, new research suggests that stress may only be bad for you if you believe that to be the case.
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In the age of technology and high-speed living, it’s often too hard to step back, slow down, and breathe. Prioritizing regular interactions with nature is proven to have immense tangible benefits – and, as Brooks’ experience illustrates, it may be the intangible benefits that are the most valuable of all.
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Lorsque l’on parle de succès, beaucoup d’entre nous ne pensent même pas à notre attitude. La plupart d’entre nous sont si occupés à simplement essayer de vivre nos vies, avec notre centaine de responsabilités, notre millier de tâches et notre million d’engagements, que nous nous retrouvons souvent à réagir à nos vies au lieu de leur répondre.
Des leaders qui réussissent n’ont pas moins de problèmes que les leaders infructueux, ils ont seulement une attitude différente.
La chose remarquable est que nous avons chaque jour le choix de notre attitude :
1. Ne nous enfermez pas dans des pensées négatives si vous avez traversé des périodes difficiles dans le passé. Tous les ressentiments et pensées négatives que vous pouvez avoir eus dans le passé n’étaient d’aucune valeur pour vous à ce moment-là et leur valeur n’a pas augmenté depuis.
2. Cela ne vous aide en rien de réagir de façon négative aux événements du quotidien. Soyez attentif à comment vous voulez interpréter ce qui vous arrive. La façon dont vous réagissez et raisonnez aux événements de votre vie est la manière dont vos souvenirs seront stockés dans votre mémoire.
3. Quand vous rencontrez des difficultés, votre attitude peut vous sauver. Vous ne pouvez pas changer l’inévitable et vous ne savez pas ce qui arrivera (les combats et la douleur futurs peuvent débarquer sans invitation). Et c’est spécifiquement dans ces moments-là que votre attitude vous fera ou vous défera.
Beaucoup d’entre nous ont oublié comment contrôler leur attitude, bien que ce soit vraiment le seul contrôle que nous possédions. Quand nous nous enchainons à nos pressentiments, quand nous nous arrêtons sur les façons dont nous avons été maltraités, il est facile d’oublier que notre attitude est ce qui définit les choses que nous éprouvons.
Menez de l’intérieur : Efforçons-nous de faire de nos réactions et réponses le meilleur qu’elles puissent être, parce que notre bien le plus précieux est notre attitude.
Le choix est le nôtre : Nous pouvons nous accrocher à des pensées négatives ou nous pouvons prendre une certaine altitude dans notre attitude !
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J’en suis venu à croire que le stress élevé, l’anxiété constante sur des tâches, le travail et la vie courante, l’anxiété sociale… font tous partie du mode de vie moderne.
La plupart des personnes ne ressentent pas juste un sentiment de paix, de calme, de sérénité, à travers leur journée.
Je dois admettre que je fais parfois de même, mais j’ai appris quelques trucs qui m’ont aidé à créer un sentiment de calme beaucoup plus souvent que jamais auparavant.
C’est une série d’habitudes qui se sont développées au fil de ces dernières années. Je n’y suis pas parfait, mais je les pratique vraiment et elles sont toujours utiles.
Ce sont des habitudes, pas un changement unitaire dans mon environnement ou modèle de travail. Changer votre environnement est excellent, mais très souvent vous ne pouvez pas contrôler les choses qui vous arrivent et vous ne pouvez certainement pas contrôler comment les autres personnes agissent. La seule chose que vous pouvez contrôler est votre réponse – et cette réponse est importante. Vous pouvez répondre à un même événement avec de l’anxiété ou de la colère, ou vous pouvez y répondre par la paix et le calme.
Comprenons comment.
Les Habitudes de Calme – Voici les habitudes à développer qui vous aideront à développer le calme (selon mon expérience) :
Beaucoup de personnes démarrent dans l’urgence leurs matinées, commençant la journée dans un rush stressant. Je me réveille un peu plus tôt (5h00 ces temps-ci, quoique cela change) et commence avec un peu de méditation, puis quelques poses de yoga. Je commence alors à écrire, avant que je n’aie laisser entrer le bruit. L’exercice physique est un autre composant de ma routine du matin. Vous ne devez pas faire ces mêmes choses, mais parvenir à trouver le calme du matin et en profiter.
2. Apprenez à observer votre réponse.
Quand quelque chose de stressant se produit, quelle est votre réponse ? Quelques personnes sautent dans l’action – quoique si la situation stressante est une autre personne, parfois l’action peut être néfaste. D’autres se mettent en colère, ou se sentent débordés. D’autres encore commencent à s’auto-plaindre et aimeraient que les choses soient différentes. Pourquoi les autres personnes ne peuvent-elle pas mieux se comporter? Observez cette réponse : c’est une habitude importante.
3. Ne prenez pas les choses personnellement.
Plusieurs fois la réponse (que vous avez noté dans l’Habitude 2) est de prendre les choses personnellement. Si quelqu’un fait quelque chose que nous n’apprécions pas, souvent nous avons tendance à interpréter ceci comme un affront personnel. Nos enfants ne nettoient pas leurs chambres ? Ils nous défient ! Notre conjoint ne montre pas d’affection aujourd’hui ? Il/elle ne doit pas se soucier de nous autant qu’il/elle le devrai ! Quelqu’un agit grossièrement au travail ? Comment peuvent-ils nous traiter de cette façon ?! Quelques personnes pensent même que l’univers est personnellement contre elles. Mais la vérité est : Ce n’est pas personnel. C’est le problème de l’autre personne avec laquelle elles traitent. Ils font du mieux qu’ils peuvent. Vous pouvez apprendre à ne pas interpréter des événements comme un affront personnel et les voir au lieu de cela comme un certain événement externe non-personnel (comme la chute d’une feuille, un oiseau qui passe en volant) auquel vous pouvez soit répondre sans stress, soit me pas répondre du tout.
4. Soyez reconnaissant.
Pour sûr, des tas de gens parle de gratitude…, mais combien de fois l’appliquons-nous aux événements de notre journée ? Les choses s’effondrent au travail, ou notre patron est fâché, ou nos collaborateurs sont grossiers, ou nos enfants se conduisent mal, ou quelqu’un ne nous aime pas comme nous le voudrions… Ceci génère-t-il colère/anxiété/tristesse, ou pouvons-nous en être reconnaissants ? Laissez tomber les griefs et trouvez une façon d’être reconnaissant, peu importe laquelle. Et ensuite, souriez. Cette habitude inflexible peut changer votre vie.
5. Créez des habitudes qui se chargent du stress.
Souvent, quand nous sommes face au stress, nous avons des réponses malsaines : être en colère, se sentir dépassé et en retrait, mal nous alimenter, boire de l’alcool, dépenser ou achetant des choses, aller sur des sites qui nous font perdre notre temps, procrastiner, et cetera. Au lieu de cela, nous avons besoin de façons saines de faire face au stress qui viendra inévitablement. Quand vous remarquez le stress, observer soigneusement comment vous y faites face et remplacez ensuite toutes les habitudes malsaines par de plus saines. Des habitudes saines de faire face au stress incluent : Boire du thé, faire de l’exercice, du yoga, de la méditation, masser votre cou et vos épaules, faire une promenade, boire de l’eau, parler avec quelqu’un dont vous vous souciez.
6. Une tâche à la fois.
J’ai écrit de nombreux billets dans le passé sur le monotâche contre le multitâche, mais je pense les gens multitâchent maintenant plus que jamais. Les gens envoient un sms dans le train, en marchant, en conduisant. Ils tweetent et postent sur Facebook et Instagram, ils envoient des courriers électroniques et lisent des blogs et des nouvelles, ils observent des vidéos en faisant d’autres choses, ils regardent la télévision en mangeant, ils planifient leur journée en faisant les tâches ménagères. Ceci est une super façon de causer un niveau d’anxiété qui transpire dans tout que vous faites, parce que vous êtes toujours inquiets : Vous devriez faire plus, faire quelque chose d’autre. Et si, au lieu de cela, vous faisiez juste une chose et avez appris à croire que vous ne devriez pas faire autre chose ? Cela demande de la pratique : seulement manger. Seulement laver son bol. Juste se promener. Parler juste à quelqu’un. Uniquement lire un article ou un livre, sans commuter. Simplement écrire. Traiter juste votre courrier électronique, message par message, jusqu’à ce que votre boîte d’arrivée soit vide. Vous apprendrez qu’il y a de la paix dans le fait de faire une seule chose et lâcher de tout le reste.
7. Réduisez le bruit.
Nos vies sont remplies de toutes les sortes de bruit – du désordre visuel, des notifications, des médias sociaux, des nouvelles, toutes ces choses que nous devons lire. Et sincèrement, rien de cela n’est nécessaire. Réduisez toutes ces choses et plus et créez un certain espace, un certain calme, dans votre vie.
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« Image courtesy of stockimages / FreeDigitalPhotos.net ».
Le thème du « Bien être en entreprise » préoccupe toutes les entreprises et a retenu l’attention DU PMI Côte d’Azur après de nombreuses discussions avec deux de ses partenaires dans la région Cote d’Azur : SKEMA Innovation et le Théâtre de Grasse.
L’équipe locale a souhaité approfondir ce sujet en collaboration très étroite avec l’aide de chercheurs, pour mieux cerner les enjeux, et d’étudiants, pour formuler des propositions qui pourraient apporter de la valeur ajoutée aux entreprises et à leur employés.
De ces réflexions est né le projet « WELL BEING » confié à un groupe d’étudiants du SKEMA Business School de Sophia Antipolis (Master Business Consulting and Information Systems Management). L’objectif principal étant dans un premier temps de définir les étapes importantes (Road Map) qui amèneraient à un événement (Spectacle / Conférence) qui illustrerait la problématique et apporterait des idées pour favoriser la productivité dans l’entreprise grâce à un environnement mieux adapté et ainsi promouvoir une performance durable.
Un gros travail a déjà été fait : le modèle financier, les thèmes à aborder, la liste des entreprises pouvant faire office de partenaires potentiels ainsi que les arguments de communication sont en train de prendre forme. L’équipe d’étudiants a développé le Project Charter et le Project Plan et va nous fournir la Road Map ainsi que le matériel de marketing et de Communication pour le mois d’avril. Une équipe de bénévoles a été constituée pour prendre le relais après le départ des étudiants.
Partenaire de DantotsuPM
Un projet passionnant pour apporter des réflexions aux entreprises et développer le réseau de l’association en combinant « projet », « capital humain de l’entreprise », « productivité », « théâtre », « performance durable » et « coopération avec plusieurs acteurs de la région ».
Pour combattre des baisses d’enthousiasme et de concentration dans l’après-midi, faites une promenade pendant la pause déjeuner.
Une nouvelle étude constate que des promenades du midi même lentes peuvent perceptiblement – et immédiatement – améliorer l’humeur et la capacité des gens à manager le stress au travail.
Ce n’est pas nouveau, bien sûr, que la marche à pied est saine et que les gens qui marchent ou font régulièrement de l’exercice sont plus calmes, plus alertes et plus heureux que les personnes inactives.
Mais beaucoup d’études précédentes sur les effets de la marche à pied et autres exercices physiques sur l’humeur s’étaient concentrées sur des résultats dans le long terme, graduels, en regardant comment des semaines ou des mois d’exercice changent émotionnellement les gens.
Moins d’études ont examiné les changements plus rapides, quotidiens et voire même heure par heure sur l’humeur des gens en fonction de l’exercice physique et moins encore se sont concentrées sur ces effets quand les personnes sont au travail, bien que la plupart d’entre nous passent une majorité de nos heures éveillées dans un bureau.
Aussi, pour cette nouvelle étude, qui a été publiée dans le « Scandinavian Journal of Medicine and Science in Sports », des chercheurs à l’Université de Birmingham et dans d’autres universités ont-ils commencé par recruter des employés de bureau sédentaires dans leur université.
30 minutes de marche pendant la pause déjeuner 3 fois par semaine
On a dit aux volontaires potentiels qu’ils devraient être disponibles pour marcher pendant 30 minutes pendant leur pause déjeuner habituelle trois fois par semaine.
La plupart des 56 volontaires étaient des femmes d’âge moyen. Il peut être s’avérer difficile de convaincre des hommes d’adhérer aux programmes de marche, a dit Cecilie Thogersen-Ntoumani, l’auteure principale de l’étude et maintenant professeure de la science de l’exercice à l’Université Curtin à Perth en Australie. La marche à pied peut ne pas attirer beaucoup d’hommes car considérée comme pas assez vigoureuse pour s’en donner la peine. Mais elle et ses collègues ont tout de même convaincu quatre hommes sédentaires d’âge moyen de se joindre à l’expérience.
Les volontaires ont complété une série de tests de santé, d’aptitudes et d’humeur au début de l’expérience, révélant que tous étaient en manque de forme, mais sinon généralement sains physiquement et émotionnellement.
La Docteur Thogersen-Ntoumani et ses collègues ont alors aléatoirement réparti les volontaires en deux groupes, dont l’un devait commencer un programme de marche à pied simple de 10 semaines tout de suite, tandis que l’autre attendrait et commencerait les 10 semaines du programme de marche à pied plus tard, servant en attendant, de groupe témoin.
Partenaire de DantotsuPM
Mesure immédiate
Pour leur permettre d’évaluer les humeurs des gens, les scientifiques ont aidé leurs volontaires à installer une application spécialisée sur leurs téléphones portables qui inclue une liste de questions sur leurs émotions. Les questions ont été conçues pour mesurer les sentiments des volontaires, dans l’instant présent en matière de stress, tension, enthousiasme, charge de travail, motivation, fatigue physique et autres questions liées à comment ils se sentent dans la vie et dans le travail à ce moment précis.
Un problème fréquent avec les études sur les effets de l’exercice physique sur l’humeur est qu’ils comptent sur la mémoire. On demande aux gens de se rappeler des heures ou des jours après les exercices comment l’activité physique les a faits se sentir. Vu combien nos émotions peuvent être passagères et mystérieuses, ces réponses a posteriori sont notoirement incertaines.
Au lieu de cela, elle et ses collègues ont voulu des évaluations dans l’instant des personnes sur comment elles se sentaient avant et après l’exercice. Les questions de l’application téléphonique supportaient cette expérience de façon relativement commode.
Les groupes se sont donc rencontrés et ont marché trois fois par semaine.
Puis, le premier groupe a commencé à marcher. On a permis à chaque volontaire de marcher pendant une de ses pauses du midi, toutes organisées par un leader de groupe et autogérées. Les marcheurs plus lents pourraient aller ensemble, les plus rapides marchant ensemble à grands pas en avant. Il n’y avait ni distance formelle ni intensité prescrites pour les promenades. Le seul paramètre était qu’elles durent 30 minutes car les volontaires avaient confirmé que cela leur laisserait tout de même le temps de déjeuner.
Chaque journée de travail pendant les 10 premières semaines, les volontaires des deux groupes ont répondu aux questions, matin et après-midi, sur leurs téléphones à propos de leur humeur à ce moment spécifique.
Après 10 semaines, le deuxième groupe a commencé son programme de marche à pied. On a permis au premier groupe de continuer à marcher ou pas comme ils préféraient. Beaucoup ont vraiment continué leurs promenades du midi.
Puis, les scientifiques ont comparé toutes les réponses, tant entre groupes qu’entre chaque personne prise individuellement. Autrement dit, ils ont vérifié pour voir si le groupe qui avait marché avait répondu aux questions différemment l’après-midi que le groupe qui n’avait pas marché et aussi si des volontaires individuels avaient répondu aux questions différemment les après-midis où ils avaient marché par rapport à quand ils ne l’avaient pas fait.
Les résultats
Les réponses étaient considérablement différentes quand les gens avaient marché. Pour les après-midis après une promenade de midi, les marcheurs ont dit qu’ils se sont sentis considérablement plus enthousiastes, moins tendus et généralement plus relaxés et plus capables qu’un après-midi quand ils n’avaient pas marché et même par rapport à leur propre humeur le matin d’une promenade.
Bien que les auteurs n’aient pas directement mesuré la productivité au travail dans leur étude, « il y a maintenant une évidence forte que se sentir plus positif et enthousiaste au travail est très important pour la productivité, » selon le docteur Thogersen-Ntoumani. « Donc nous attendrions à que les personnes qui ont marché pendant l’heure du déjeuner soient plus productives. »
Comme autre résultat supplémentaire agréable, tous les volontaires ont démontré des gains dans leurs aptitudes en aérobie et autres mesures de santé à la fin de leurs 10 semaines de marche à pied.
Le « bémol » est l’attitude du management
Partenaire de DantotsuPM
Mais, au final, beaucoup ont dit qu’ils se voyaient dans l’incapacité continuer à marcher après la fin de l’expérience et quelques-uns avaient même dû quitter le programme à mi-chemin. L’obstacle principal à leur exercice de la marche à pied avait été « que leur management attendaient d’eux qu’ils continuent à travailler pendant le déjeuner ».
Voici qui suggère que leur management pourrait vouloir se mettre au courant des dernières avancées de la science sur la productivité des personnes !
La face cachée du management de projet : stress et risques psychosociaux du chef de projet
Voici le dernier article d’une série de billets proposés par Sabrina (Liste des précédent billet à la fin de celui-ci).
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Nous voudrions terminer notre propos sur la « face cachée » ou le « côté sombre » du management de projet (Asquin et al., 2007). Le management de projet incarne, dans une certaine littérature managériale, le mythe de l’action heureuse, voire exaltante dans les projets entrepreneuriaux.
Le vocabulaire même du management de projet est connoté :
le dépassement de soi l’emporte sur le stress,
l’animation ou le coaching remplacent l’autorité,
le pilotage se substitue au contrôle.
le « côté sombre » des projets existe
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En mode projet, les salariés deviennent des acteurs et sont ainsi renvoyés chacun à l’autonomie dont ils sont censés disposer pour s’impliquer et faire réussir le projet. Ce discours « managérialement correct » interroge : le projet n’est-il pas aussi destructeur de sens, porteur de pathologies et de déstabilisations ? Cette inquiétude est à rapprocher du développement d’une littérature professionnelle et académique, parfois très médiatisée, sur la souffrance au travail. En tant que concentré de vie professionnelle, le projet exacerbe les problèmes connus ailleurs. À partir du recueil et de l’analyse de témoignages d’étudiants en formation continue, et ce, en dehors de leur contexte professionnel, Asquin et al. (2007) montrent que le « côté sombre » des projets existe, qu’il s’agisse des risques individuels liés à l’excès d’implication et d’engagement (acteurs acculés, épuisement professionnel, souffrance psychoaffective), des risques de déstabilisation des identités professionnelles et des risques de précarisation du parcours professionnel. La diffusion du management de projet doit aller de pair avec la compréhension et le contrôle de ses effets sur les acteurs et sur leurs organisations.
Partenaire de DantotsuPM et présent au Tech-Days 2015
Qu’arrive-t-il à ceux qui ne sont pas compétents, qui ne sont plus compétents (c’est-à-dire ceux qui l’ont été) ou qui ont besoin de plus de temps pour le devenir ?
Les référentiels de compétences décrivent, tant bien que mal, des listes ordonnées de compétences, censées contribuer à la réussite des activités impliquées par une fonction managériale de projet (Zannad, 2008). Réduire une situation de travail complexe à une liste de compétences individuelles relève de ce que l’on peut appeler l’effet métonymique. Utilisée sans prise en compte du contexte organisationnel et social, la notion de compétence peut devenir extrêmement réductrice. Une somme de savoir-faire de joueurs ne donne pas une équipe qui gagne. On voit de multiples exemples de personnes compétentes qui, placées dans un environnement social nouveau, n’ont pas pu exercer ces compétences parce que le mode de management, l’organisation ne créaient pas les conditions de la motivation sans laquelle la compétence reste virtuelle.
Certains auteurs, inspirés par Albert Einstein, ont utilisé la formule « E = MC² », dans laquelle l’Efficacité humaine est le produit de la Motivation par les Compétences et le développement de la Communication.
De toute façon, une fois les compétences clés des chefs de projet identifiées, que faire de ces données brutes ? Lesquelles privilégier ? Lesquelles sont les plus importantes pour le succès d’un projet ? Quand et comment doivent-elles être employées ? Comment favoriser leur développement ?
Nous remarquons également, à l’instar de Boudès et al. (1997), que peu de travaux se sont intéressés à la compréhension de la dynamique globale du métier de chef de projet. S’intéresser à la dynamique du métier de chef de projet revient à considérer ce métier, ni comme un ensemble de rôles et missions, ni comme la simple somme de connaissances et compétences requises, mais comme une dynamique de production et de développement de nouvelles compétences, génériques et spécifiques, en management de projet.
Guillaume Pertinant, consultant et formateur, est passionné par les problématiques de l’audit et du management social en entreprise.
J’ai eu la chance de participer à l’une de ses formations il y a déjà plusieurs années et cela m’a permis de mieux comprendre ce qu’est le stress, ses manifestations et nos moyens pour le gérer le plus efficacement possible.
Guillaume nous propose sur son blog« Un ingénieur chez les DRH »une série d’articles de vulgarisation pour aider celles et ceux qui gèrent le capital humain en entreprise à prévenir les conséquences du stress.
Hors, les projets sont souvent mentionnés comme source de stress. Une série de trois articles intitulée « La boite à outils du préventeur » vous sera utile pour commencer à appréhender ce domaine complexe tant dans la vie professionnelle que personnelle.
Tout récemment, Guillaume a produit un logiciel décisionnel RH, DeciRH, pour la Qualité de Vie au Travail et la prévention des risques sociaux-économiques. Il a déjà reçu le prix du développement durable le plus rapide sur 2 ans du pôle de compétitivité mondial SCS début 2013 dans le concours « promotion de l’innovation » !
Écoutez-le nous présenter cette plate-forme logicielle. DéciRH est le premier logiciel décisionnel RH en mode SAAS pour La Qualité de Vie au travail et la Prévention des risques sociaux économiques (absentéisme, pénibilité, RPS, roulement du personnel, etc.).
Merci Guillaume.
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« Marchez comme si vous embrassiez la terre de vos pieds. » Thich Nhat Hahn
Comment pouvez-vous apporter calme et paix au milieu d’une journée stressante et chaotique ?
La réponse est simple, bien que pas toujours facile à mettre en pratique : apprenez à être présent.
Peu importe combien votre journée est hors contrôle, peu importe à quel point votre travail ou votre vie deviennent stressants, l’acte d’être présent peut créer une oasis. Cela peut changer votre vie et c’est incroyablement simple.
Quand j’ai demandé aux personnes quelles choses les empêchaient d’avoir une journée paisible, voici quelques-unes de leurs réponses :
Travail, Internet, mon propre cerveau reptilien.
Médias sociaux et autres distractions numériques.
Pour moi c’est trop de choses qui m’arrivent subitement. Que ce soient des nouvelles, des décisions, ou du travail à faire.
Mes quatre enfants.
Vaisselle, Lessive, Enfants.
Interruptions inutiles.
Manque de contrôle. Je travaille dans l’informatique et souvent des choses « urgentes » surviennent qui ont besoin d’être examinées/réparées immédiatement (selon leur définition, pas nécessairement la mienne).
Mes propres pensées.
Chose étonnante : tous ces problèmes peuvent être résolus par une technique. Être présent.
Comment être présent résout-il ces problèmes ?
Quand vous regardez tous les problèmes ci-dessus, vous pouvez voir si vous les regardez de près que ces problèmes sont entièrement dans leurs esprits. Bien sûr, il y a des forces externes : un flux de travail incontrôlable, le stress d’enfants et de tâches ménagères et des interruptions et distractions numériques. Mais c’est comment notre esprit traite ces forces externes qui est « LE » problème.
Si vous êtes complètement présents, les forces externes ne sont plus un problème, parce qu’il y a seulement vous et cette force externe dans l’instant présent et pas un million d’autres choses vous devez vous inquiéter.
Si votre enfant vous interrompt, vous pouvez être stressé parce que vous avez d’autres choses dont vous inquiéter et maintenant votre enfant ajoute à vos soucis ou interrompt votre calme. Ou bien, vous pouvez être présent et il y a alors seulement vous et l’enfant. Vous pouvez apprécier cet enfant pour qui il est et être reconnaissant d’avoir ce moment avec lui.
Si votre travail exige que vous vous concentriez sur une tâche urgente, vous pouvez stresser de parce que vous avez un million d’autres choses à faire et pas assez de temps pour les faire. Ou vous pouvez être présent, vous concentrer complètement sur cette tâche et maintenant il n’y a qu’une tâche et vous. Quand vous avez fini, vous pouvez passer à la tâche suivante.
Les médias sociaux et autres distractions numériques ne nous interrompent pas si nous les fermons et apprenons à nous investir complètement dans la tâche présente. Et si nous devons envoyer du courrier électronique, twitter, ou lire des blogs, nous pouvons mettre de côté tout le reste et être présent seulement avec cette tâche numérique.
Être présent devient, alors, une façon de traiter tout problème, toute distraction, tout élément stressant. Cela permet à tout le reste de disparaître, vous laissant seulement avec ce que vous traitez en ce moment.
Comment pratiquer « être présent » ?
La méthode pour être présent est assez simple, mais c’est la pratique qui importe le plus.
La plupart des personnes n’apprennent pas à être présentes parce qu’elles ne pratiquent pas suffisamment, pas parce que c’est difficile à faire.
Quand vous pratiquez quelque chose régulièrement, vous y devenez bons. Cela devient plus une façon d’être qu’une tâche sur votre liste de choses à faire.
Pratiquez, pratiquez et être présent deviendra naturel.
Voici comment faire : quoi que vous fassiez, en ce moment, apprenez à vous concentrer complètement sur faire cette chose. Prêtez-y réellement attention : à chaque aspect de ce que vous faites, à votre corps, vos sensations, vos pensées.
Vous remarquerez que vos pensées, si vous n’y prêtez attention, sautent vers d’autres choses. C’est OK, n’essayez pas de faire sortir toutes les autres pensées de votre esprit). Mais en prenant conscience de ces sauts dans vos pensées, vous avez trouvé l’outil pour doucement retourner à votre tâche présente. Remarquez simplement ces pensées divergentes et revenez tranquillement.
Faites-le une fois, puis faites-le de nouveau. Ne vous inquiétez pas de combien de fois vous devez le faire. Faites-le.
Cela peut devenir fatigant au départ, si vous n’y êtes pas habitués. Ne vous en inquiétez pas. Reposez-vous si vous fatiguez. Revenez et pratiquez de nouveau dans un moment. Il ne s’agit pas de s’épuiser, au contraire vous devriez remarquer combien vos soucis s’envolent et vous appréciez beaucoup plus votre tâche présente.
Prenez de la joie dans ce que vous faites, reconnaissant de pouvoir faire cette tâche et appréciant entièrement chaque petit mouvement et la sensation tactile de la tâche. Vous apprendrez que tout peut être une expérience étonnante, tout peut être un miracle.
Pratiquez pendant votre journée, chaque jour. De petits « signaux de rappel à l’attention » sont utiles pour vous rappeler de revenir dans l’instant présent. Thich Nhat Hanh a un jour indiqué que les feux de signalisation sont votre rappel à être attentif quand vous conduisez. Vous pouvez trouver des signaux à être attentif partout : la voix de votre enfant, vos collaborateurs apparaissant devant vous, un message sur votre ordinateur, le bruit de la circulation.
La méditation est une façon fantastique de pratiquer, simplement parce qu’elle supprime beaucoup de la complexité du monde et vous permet de juste apprendre à être conscient de votre esprit et vous ramener au moment présent. Ce n’est pas compliqué : la méditation peut être faite n’importe où, n’importe quand. Un professeur de méditation est utile si vous pouvez en trouver un.
Pratiquez, à plusieurs reprises, en petites et belles étapes faciles. Chaque étape est un étonnement en soi et chaque opportunité de pratiquer vous aide à trouver le calme au milieu des encombrements de votre vie.
Buvez votre thé lentement et respectueusement, comme si c’est l’axe
Sur lequel tourne la terre – lentement, régulièrement, sans
vous précipitez vers l’avenir. Vivez le moment présent.
Seul ce moment est la vie. Thich Nhat Hanh
Partenaire de DantotsuPM
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Je viens de voir le statut d’un collègue sur sa page Twitter qui disait « achevez-moi tout de suite » en référence à certains problèmes avec un client. Cela me rappelle que le management de projet peut être une activité très irritante. Si le PM traite avec des clients difficiles ou des parties prenantes peu conciliantes, il est souvent sage de rester relax sous la pression afin de ne pas mettre en danger le projet. En plus de la planification efficace et d’un contrôle des changements approprié, le PM doit apprendre à gérer le stress. La pression qui est mise sur nous peut causer notre explosion et, si nous ne développons pas de mécanismes de gestion robustes, nous pourrions finir par agresser certaines personnes (des membres de l’équipe ou des clients externes).
Aussi, en l’honneur de certaines des frustrations que nous rencontrons sur des projets, voici mes meilleures stratégies pour interagir avec les personnes et situations difficiles.
Souriez face à adversité. Même si cela fait mal en réalité, vous forcer à sourire aidera en fait à soulager la tension.
Criez si vous le devez, mais pas devant les autres. Une amie qui a un enfant de 2 ans a pris l’habitude de demander à son garçon si elle doit l’amener dehors pour crier et faire sortir un peu de sa tension. Ainsi, au lieu de crier à l’intérieur dans un restaurant, ils marcheront à l’extérieur et le garçon criera. Trouvez un endroit où vous pouvez émettre un cri perçant sans risque.
Ne faites rien. Parfois vous pourriez avoir envie d’envoyer un courrier électronique ou de prendre une décision dans l’instant, juste vous sentir mieux. J’ai constaté que ces décisions et courriers électroniques hâtifs vous feront vous sentir bien pendant 3 secondes mais que vous aurez toute la vie pour les regretter. La meilleure chose à faire est de ne pas faire quoi que ce soit pendant quelque temps. Laissez-vous refroidir pendant un moment avant d’envoyer ce courrier électronique ou de prendre cette décision.
Dormez dessus. Si le problème peut attendre, reportez les choses d’une journée pour que chacun ait une chance de se calmer.
Donnez-le à quelqu’un d’autre. Laissez une autre personne de l’équipe traiter avec cette personne difficile si le problème est urgent et cela ne peut pas attendre.
Trouvez un défouloir. L’exercice peut être la meilleure façon d’extérioriser le stress.
Distrayez-vous. Trouvez autre chose à faire pour permettre à votre esprit de penser à une activité différente. Pour certains cela peut être la lecture, d’autres pourraient jouer à un jeu sur Xbox/Playstation, ou naviguer sur Internet. Si vous continuez à penser au problème il est difficile de lâcher prise.
Écoutez avant de parler. Cela ne peut marcher que si vous êtes assez calme et pas sur le point d’envoyer de violents coups de poing. Dans ce cas, laissez l’autre personne dire ce qu’elle a à dire, mais lui demander d’écouter votre point de vue.
Pensez à quelque chose d’agréable. Ce peut être vos vacances ou vous imaginer que vous vous trouvez loin de ces personnes difficiles. Essayez d’imaginer un meilleur moment et emplacement que celui dans lequel vous êtes.
Étreignez une personne aimée. Même les professionnels peuvent bénéficier d’une étreinte de leur enfant pour leur rappeler combien ils sont appréciés.
Comme je l’ai dit : le monde du management de projet peut en effet être irritant. La différence entre un résultat positif ou négatif peut souvent dépendre de notre maîtrise de nous-mêmes pendant des situations difficiles. J’ai occasionnellement perdu mon calme (plus souvent que je n’aime l’admettre) mais les stratégies ci-dessus m’ont aidé de temps en temps à gérer des périodes stressantes.
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La dernière session de PMI France-Sud à Sophia nous a proposé l’intervention de Mr Roger Lanteri, RB Conseil, www.rbconseil.com, sur le thème « gérer le stress à sa source ». Mais qu’est-ce que le stress?
Cette petite vidéo a lancé la discussion avec la salle. Nombreuses sont les idées préconçues sur le stress qui est sur le devant de l’actualité de nombreuses entreprises depuis déjà quelques années avec les tristes événements abondamment relatés par la presse. Les situations de double contraintes contradictoires sont souvent le lot du management intermédiaire et des chefs de projet. Ces situations contribuent largement à augmenter le niveau de stress chez ces personnes qui de plus se reprocheront souvent d’être stressés, ce qui accroîtra encore leur niveau de stress. Selon Roger Lanteri, il y a deux types d’approches non mutuellement exclusives pour s’attaquer au stress:
jouer sur l’environnement, les conditions de travail dans le cas de l’entreprise
jouer sur la source: l’individu, vous.
L’objectif de cet évènement était de montrer qu’il est simple, facile et rapide de gérer efficacement son stress à sa source et de façon durable pour optimiser notre performance.
C’est ce que Roger Lanteri s’est attaché à réaliser en exposant les dernières découvertes américaines en matière de gestion du stress et notamment un modèle et un logiciel américain construit par l’Institut HeartMath sur des bases physiologiques et cliniques (reprises par le CHU de Lille).
Ce modèle s’appuie sur l’association cerveau-cœur et permet de transformer son stress en énergie positive qui accroît la performance et la vigilance. Une démonstration pratique du logiciel, témoignage d’une mise en œuvre de ce protocole nous permit d’évaluer la pertinence et l’efficacité de cette démarche. Une démonstration similaire a été réalisé récemment sur France 2 (sautez les 2 premières minutes de blabla).
5 à 6 minutes d’application de cette méthode ont un impact positif de 5 à 6 heures sur notre organisme
Ces petits exercices, à pratiquer pour se détendre, même en situation difficile (réunion importante, contradicteur vocal, mauvaises nouvelles…), permettent de repasser dans un état positif. En programme d’accompagnement personnel ou de groupe, Roger Lanteri propose jusqu’à 10 protocoles qui constituent une véritable trousse à outils pour les personnes qui suivent ses conseils dont au moins une dans la salle a pu témoigner de l’efficacité.
Adoptez la cohérence cardiaque pour abaisser votre niveau de stress et celui de vos équipes…
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La présentation fut délivrée par Guillaume Pertinant de la société Havasu qui nous a parlé des sources du stress et de bonnes pratiques pour mieux le gérer et surtout essayer de le prévenir.
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