Pensez-vous être assez gentils ? Voici 4 raisons importantes pour lesquelles les leaders doivent TOUJOURS être gentils.

La gentillesse compte dans le leadership. Elle permet aux dirigeants d’instaurer la confiance, de créer un environnement de travail positif et inclusif et de favoriser la collaboration et le soutien au sein de leurs équipes.

4 Important Reasons Why Leaders Must Always Be Kind par Lolly Daskal

https://www.lollydaskal.com/leadership/4-important-reasons-why-leaders-must-always-be-kind/

La gentillesse est une attitude cruciale pour les leaders car elle leur permet de constituer des équipes fortes, collaboratives et productives avec des environnements de travail inclusifs.

Voici 4 raisons très importantes pour lesquelles un leader doit toujours être gentil

La gentillesse renforce la confiance et le respect.

La gentillesse est un super pouvoir.

Lorsque les leaders sont gentils, ils montrent qu’ils se soucient des autres et font preuve d’empathie et de compréhension. Par conséquent, cela peut aider à établir la confiance et le respect avec les employés et à favoriser une culture de collaboration et de soutien au sein d’une organisation.

La gentillesse favorise la collaboration et le travail d’équipe.

Faites que les gens se sentent aimés aujourd’hui.

Lorsque les dirigeants sont gentils, ils créent une culture de collaboration et de soutien en encourageant les employés à travailler ensemble et à se soutenir mutuellement.

En conséquence, cela peut aider à constituer des équipes solides et efficaces et permettre aux organisations d’atteindre leurs buts et objectifs.

La gentillesse améliore la communication et l’établissement de bonnes relations.

Gentillesse = Humanité

Lorsque les leaders sont gentils, ils créent un environnement dans lequel les employés se sentent à l’aise et en sécurité pour communiquer ouvertement et honnêtement. En retour, cela peut aider à améliorer la communication et l’établissement d’un bon relationnel, et permettre aux dirigeants de mieux comprendre les besoins et les perspectives de leurs équipes.

La gentillesse favorise une culture de travail positive.

Soyez gentil par choix car c’est à vous de décider de l’être.

Lorsque les leaders sont gentils, ils créent un environnement de travail positif et favorable. De plus, cela montre aux employés qu’ils sont valorisés et appréciés, ce qui peut aider à promouvoir une culture de travail positive et permettre aux organisations d’attirer et de retenir les meilleurs talents.

Il y a de nombreuses raisons pour lesquelles les leaders doivent toujours être gentils, mais la plus importante est peut-être que la gentillesse montre que les gens comptent pour leur leader.

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Diriger de l’intérieur : La gentillesse compte dans le leadership. Il permet aux dirigeants d’instaurer la confiance, de créer un environnement de travail positif et inclusif et de favoriser la collaboration et le soutien au sein de leurs équipes.


Découvrez ou relisez ces 2 billets et cette vidéo sur la gentillesse.

Dans le monde en changement accéléré qui est le notre, cesser de chercher ailleurs des boucs émissaires, et prendre le risque de la gentillesse et de la bienveillance et de l’engagement collectif est un pari qui redonne à chacun des marges de manœuvre pour construire un environnement meilleur.

Quelques réflexions sur le « Et aussi nous… » ou le très célèbre « Et en même temps… » des messages présidentiels

La façon la plus simple de diriger une entreprise est de ne pas avoir de « et aussi… ».

“And we also” by Seth Godin

https://seths.blog/2022/09/and-we-also/

La façon la plus simple de diriger une entreprise est de ne pas avoir de « et aussi ».

Nous maximisons le profit, point final.

Au moins, vous êtes honnête à ce sujet.

Si vous dites : « et nous nous soucions aussi de l’environnement », ou « et nous nous soucions aussi de nos employés et les traitons comme des membres de la famille », ou même, « et nous sommes aussi là pour servir nos clients… », maintenant, vous faites l’une des deux choses suivantes :

  • Soit, vous affirmez que faire ces choses est le moyen de maximiser votre profit
  • Soit, vous vous engagez à ne pas maximiser votre profit, car votre objectif est plus humain et connecté que quelque chose d’aussi simple.

Si vous êtes dans le dernier cas, si vous avez décidé que faire juste assez de profit pour maximiser votre réel objectif est le but de l’organisation, quelle opportunité extraordinaire !

Les organisations d’hommes et de femmes avec un objectif clairement mesuré et juste assez de profit pour y arriver peuvent avoir un impact énorme.

Mais cela vaut la peine d’être honnête quant à savoir si vous diffusez cette annonce pleine page avec un koala dedans parce que vous êtes ici pour aider le koala ou simplement parce que vous le voyez comme un tremplin pour gagner plus d’argent.

8 choses que tous les excellents managers de projet ont en commun

Comme à mon habitude, je vais reprendre ce billet de Harry Hall en me concentrant sur les aspects  positifs plutôt que négatifs des managers de projets.

Billet original: 8 Things All Bad Project Managers Have in Common par Harry Hall – https://projectriskcoach.com/8-things-all-bad-project-managers-have-in-common/

Les bon(ne)s managers de projet créent des cultures de projet dénuées de stress et confusion et facilitant la progression. Avez-vous déjà adopté ces bons comportements ou bien sont-ils déjà vôtres même inconsciemment ?

Passons en revue une liste de huit comportements que tous les excellent(e)s managers de projet ont en commun. De plus, parlons de la façon d’accentuer ces bons comportements.

#1 – Vous organisez un nombre réduit de réunions de projet

Vous savez éliminer les réunions récurrentes lorsque cela est possible. De même, vous avez déjà éliminé les réunions d’avancement car vous collectez ces informations à travers votre système d’information de projet et les partagez électroniquement par le biais de rapports d’avancement.

Avant de proposer une réunion, vous vous demandez toujours : Y aurait-il une autre façon de manager cela sans une longue réunion avec beaucoup d’intervenants ? Peut-être une rapide visio ou conférence téléphonique ? Peut-être un simple e-mail, message instantané, ou coup de fil à la bonne personne ?

à considérer pour toutes vos réunions, à distance comme en présentiel

Sinon un stand-up meeting serait-il approprié pour faire bref et avoir le minimum de participants nécessaires et utiles.

#2 – Vous produisez (ou faites produire) le minimum nécessaire de documentation

Vous limitez la taille et le nombre de documentations sur tout le projet. Vous de produisez au sein du projet que des documentations dont vous êtes certains qu’elles seront lues et utilisées. S’il y a une raison légitime pour un long document, vous en fournissez un résumé qui permet aux personnes d’en digérer rapidement les points les plus importants.

#3 – Vous faites preuve d’intégrité

S’il y a un manque de confiance, les équipes ralentissent jusqu’à s’arrêter. Vous ne faites que des promesses que vous saurez tenir et vous les tenez. Si vous avez de bonnes et justes intentions mais ne les exécutez pas, les gens n’auront plus confiance en vous.

#4 – Vous faites la promotion des membres de votre équipe, pas la vôtre.

Vous refusez d’être le/la manager de projet qui se promeut continuellement en donnant peu de crédit à l’équipe. A l’inverse, vous cherchez constamment des moyens de reconnaître et de remercier les membres de votre équipe pour leur travail. Lorsqu’il y a des problèmes, vous en prenez la responsabilité, vous dites à vos parties prenantes que vous êtes responsable et ce que vous ferez pour résoudre les problèmes. En cas de succès, vous mettez surtout en évidence les contributions concrètes du ou des membres de l’équipe.

#5 – Vous savez écouter

Plutôt que d’interrompre pour faire valoir votre point de vue, vous écoutez dans l’intention de creuser plus profondément et de comprendre le point de vue de l’autre personne.

Vous savez concentrer toute votre attention sur la personne qui parle et sur le message qu’elle veut vous faire passer. Vous établissez un bon contact visuel. Et vous posez des questions de clarification appropriées qui montrent votre empathie et votre souci de ce sujet.

#6 – Vous savez déléguer

Vous vous assurez d’être clairs comme de l’eau de roche sur ce qui est attendu, qui va le faire et quand les choses sont dues.

Vous n’improvisez pas la délégation mais au contraire, vous la planifiez. Puis, vous communiquez ce que vous déléguez, le niveau d’autonomie accordé, les dates d’échéance et le moment où vous ferez un suivi. Vous êtes disponible pour discuter des problèmes et fournir un soutien et la personne à laquelle vous déléguer une tâche le sait parfaitement.

#7 – Vous savez animer la collaboration

Vous planifiez vos réunions avec un ordre du jour clair et des questions préparatoires pour engager l’équipe. Lorsque vous demandez si les participants ont des commentaires, vous ne laissez pas le silence vous inciter à le combler trop vite en parlant prématurément. Vous donnez aux autres le temps de réfléchir et de réagir. Vous appréciez les personnes lorsqu’elles répondent.

#8 – Vous êtes capable de manager les membres de l’équipe qui posent problèmes

Vous coachez individuellement les membres problématiques de votre équipe quand vous commencez à rencontrer des problèmes avec eux et vous clarifiez vos attentes. Vous demandez à la personne de s’engager venir vous voir le plus tôt possible si quelque chose commence à nuire à sa capacité d’accomplir les tâches qui lui sont assignées. Si vous n’êtes pas en mesure d’obtenir les réponses souhaitées au fil du temps, vous en parlez avec votre sponsor de projet et établissez les étapes à suivre pour éventuellement remplacer la personne.

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Améliorez vos compétences en leadership et en relations interpersonnelles

Livre sur Amazon

Avez-vous remarqué que bon nombre des  comportements dans ce post sont liés au leadership et aux compétences relationnelles et interpersonnelles ?

Si vous souhaitez renforcer vos compétences générales, consultez le livre : The Purpose Driven Project Manager .

Harry Hall y aborde 10 problèmes de projet courants et comment appliquer vos compétences générales pour atteindre vos objectifs et faire progresser votre carrière.

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« Ce livre donne au manager de projet les outils dont il a besoin immédiatement pour améliorer la performance de ses équipes. C’est une lecture rapide qui vous donnera un retour immédiat.

Harry fait un excellent travail pour résumer les problèmes complexes auxquels sont confrontés les PM aujourd’hui et présente les solutions d’une manière que même un manager de projet novice peut comprendre et appliquer. »

Jeremy Causey, PGP

5 proverbes pour les personnes ayant de grands rêves

Comment allez-vous réaliser votre grand rêve aujourd’hui ?

5 Proverbs for People with Big Dreams par Dan Rockwell

https://leadershipfreak.blog/2023/01/26/5-proverbs-for-people-with-big-dreams/

#1. Une personne moyenne en mouvement vaut mieux qu’un génie paresseux avec de grands rêves.

#2. La conversation gonfle l’importance. L’action est humble.

Une longue liste d’actions passées et actuelles valide le caractère. Une longue liste de grands rêves remplit votre ballon d’air chaud.

Le travail non réalisé se multiplie autour des bavards comme des lapins reproducteurs.

Le courage d’agir vaut mieux que l’habileté à parler.

#3. La vie se rétrécit lorsqu’un rêve mène au suivant.

La vie se développe lorsque vous agissez.

Améliorez la vie maintenant si vous espérez être président demain.

Les grands rêves réduisent la vie si vous n’agissez pas en conséquence.

#4. « Je fais » est mieux que « j’ai l’intention de faire ».

Le blabla constant autour de l’ascension de l’Everest est rasoir pour les alpinistes qui l’ont fait alors que votre plus grand effort est de soulever la télécommande du téléviseur. Les fainéants se précipitent sur le travail de la semaine prochaine lorsque vous leur demandez ce qu’ils font actuellement. Les rêveurs qui réussissent ne vivent pas une vie d’espoirs futurs.

Les rêves sans action mènent à l’apathie. L’apathie devient insatisfaction.

#5. Les gens qui rêvent mais n’agissent pas deviennent des critiques et des râleurs.

La personne qui ne l’a pas fait aime critiquer les gens qui le font.

Critiquer est facile, surtout derrière son clavier et écran…

Proverbe bonus

#6. Une grande confusion appelle de petites actions.

Ramper n’est-il pas comment nous apprenons progressivement à avancer dans la vie ?

L’inaction aggrave la confusion. Lorsque vous ne pouvez pas sauter, rampez.

Les gens qui ne font rien amplifient la complexité quand ils s’assoient pour déterminer comment les autres devraient faire les choses. Pensez aux équipes de direction qui établissent des règles pour les personnes qui font réellement le travail.

La confusion étrangle les rêves.

Projets pour les personnes ayant de grands rêves

Enfourchez votre bicyclette et roulez vers votre rêve.

Comment allez-vous réaliser votre grand rêve aujourd’hui ?

Pensez petit. Soyez précis.

Comment pouvez-vous transformer les complaintes en actions ?

Conservez une liste de vos douleurs dès aujourd’hui et demandez-vous :

« Que vais-je faire à ce sujet ? »

La clarté suit la simplicité.

De quoi n’avez-vous pas besoin dans votre vie ?

Utilisez les priorités d’aujourd’hui pour faire une liste de choses à ne pas faire.

Lequel des choses ci-dessus pouvez-vous mettre en œuvre dès aujourd’hui ?

Quels proverbes souhaiteriez-vous ajouter ?

Pour mieux cerner les incertitudes et risques dans vos projets, BANI va-t-il remplacer VUCA ?

Qu’est-ce que le monde BANI et comment peut-il affecter votre business ?

What is the BANI world and how can it affect your business?

https://blog.mercadoe.com/en/o-que-e-o-mundo-bani/

Petits rappels sur ce que représente l’acronyme VUCA mentionné dans le titre

VUCA est un acronyme utilisé pour décrire ou questionner la Volatilité, l’incertitude (Uncertainty), la Complexité et l’Ambiguïté des conditions et situations. L’utilisation commune du terme VUCA a commencé dans les années 1990 et provient du vocabulaire militaire. Il a été par la suite utilisé dans des idées émergentes dans leadership.

Qu’est-ce que le monde BANI ?

Le monde BANI est un acronyme composé des mots ‘brittle’, ‘anxious’, ‘nonlinear’ and ‘incomprehensible’ [que je traduirais en français par « fragile », « anxieux », « non linéaire » et « incompréhensible »].  Le créateur de ce nouveau concept est Jamais Cascio, anthropologue, auteur et futuriste américain.

Il est l’auteur de plusieurs publications sur l’avenir de l’évolution humaine, l’éducation à l’ère de l’information et les technologies émergentes.

Voici son intervention récente sur ce sujet

Comprendre la signification de chaque mot de l’acronyme

Brittle (fragile)

Dans le monde BANI, un système peut bien fonctionner en surface, même s’il est sur le point de s’effondrer. Par conséquent, des précautions doivent être prises pour ne pas compter à 100% sur ses activités, même si elles semblent fiables, flexibles et incassables.

De nos jours, n’importe quel marché peut être sur le point de se disloquer et cela se produit, la plupart du temps, en raison de la recherche constante de maximisation du profit.

En outre, en cas de crise, certains secteurs (tels que la chaîne d’approvisionnement, l’électricité et le commerce mondial) peuvent provoquer des perturbations dans plusieurs autres et, par conséquent, dans le monde entier.

Anxieux (anxious)

L’information est le nouveau pétrole, mais trop d’information crée un gros problème : l’anxiété. Bien que les technologies soient là pour vous aider à prendre des décisions, vous vous sentirez inévitablement impuissant et incapable de faire des choix importants en période de pression et de tension.

Le résultat de cette situation est la passivité (voir les choses se produire sans entreprendre aucune action) et en même temps vous vous sentez dépendant des choix des autres, même si vous savez qu’ils ne sont peut-être pas la meilleure option pour le bien commun.

Dans un monde avec tant de data, de menaces et de fausses informations, il est crucial de savoir comment gérer les circonstances de manière positive. Nous devons prendre du recul par rapport aux situations, voir les bons aspects et les opportunités, et développer des solutions créatives en matière de résolution de problèmes.

La pandémie nous a montré l’importance de l’intelligence émotionnelle et combien c’est un facteur indispensable pour se débarrasser de la crise de manière rapide et sereine.

Non-linéaire (nonlinear)

Dans le monde BANI, la cause et l’effet ne sont plus une structure réalisable dans tous les cas. De nos jours, nous avons l’impression d’être à l’intérieur d’un film non linéaire, où les choses vont et viennent, et la fin ne semble pas être là où elle devrait se trouver.

Par conséquent, concevoir des actions et des plans à long terme n’a plus de sens. Les effets des décisions sur l’économie, les problèmes climatiques et les questions de santé publique peuvent ne pas avoir de date pour émerger ni pour se terminer.

Bon nombre des problèmes du réchauffement climatique que nous connaissons aujourd’hui sont des conséquences de décisions prises par l’industrie dans les années 80s. Tout comme les défis et les barrières imposés par la pandémie ont encore des impacts incertains pour l’avenir de l’humanité.

Dans le contexte actuel, il n’y a plus de début, de milieu et de fin. Vous devez être prêt à avancer et reculer de quelques pas, à tout moment.

Incompréhensible (incomprehensible)

Vivre dans un monde fragile, anxieux et non linéaire rend la plupart des événements, des causes et des décisions incompréhensibles. L’être humain s’obstine à vouloir trouver des réponses à tout, mais il n’est pas toujours possible de les trouver pour tout dans le scénario actuel.

En fait, avoir plus d’informations ne signifie pas trouver plus de sens dans les choses qui se passent. En réalité, c’est exactement le contraire : le bruit augmente, ainsi que la difficulté de trouver une vérité universelle.

En revanche, la pensée humaine linéaire et notre capacité à comprendre le monde restent les mêmes.

Dystopie ou opportunité ?

Le scénario BANI peut sembler une dystopie [récit de fiction qui décrit un monde utopique sombre], car le nombre de personnes anxieuses et déprimées augmente chaque jour.

Cependant, nous n’avons jamais eu autant d’accès [à l’information et aux personnes] et d’outils pour changer les choses avec lesquelles nous ne sommes pas d’accord et construire un avenir souhaitable pour tous.

Par conséquent, si la seule option est de passer à autre chose, c’est à chacun de nous d’étudier et de se muscler, comme une préparation à l’imprévisibilité qui nous attend.

7 façons pour les leaders de gagner le respect de leurs employés

Le respect des employés est crucial pour les leaders, car il leur permet de constituer des équipes solides, collaboratives et productives.

The Best Way Leaders Can Earn Respect From Their Employees par Lolly Daskal

https://www.lollydaskal.com/leadership/the-best-way-leaders-can-earn-respect-from-their-employees/

Voici 7 façons dont les leaders peuvent gagner le respect de leurs employés

#1 – Communiquez clairement et efficacement.

Les leaders peuvent gagner le respect de leurs employés en communiquant clairement et efficacement. Pour ce faire, ils peuvent transmettre leurs idées, leurs objectifs et leurs attentes de manière claire et concise. Ils peuvent utiliser une variété de canaux et de méthodes de communication pour atteindre tous les membres de l’équipe. De plus, les leaders doivent s’assurer que leur communication est cohérente et transparente, et qu’elle fournit aux employés l’information et les conseils dont ils ont besoin pour faire leur travail efficacement.

#2 – Écoutez activement et attentivement.

Écoutez avec attention surtout si vous êtes à distance et n’avez pas de compléments visuels à la communication.

Les leaders peuvent gagner le respect de leurs équipes en écoutant activement et attentivement leurs commentaires, leurs idées et leurs points de vue. Cela implique de dialoguer avec les membres, de poser des questions et de leur donner l’occasion de contribuer et de participer à la prise de décisions. Ainsi, les leaders démontreront qu’ils apprécient la contribution de leurs équipes et sont prêts à l’intégrer à leur processus décisionnel.

#3 – Fournissez du soutien et des ressources.

Les leaders peuvent gagner le respect des équipes en leur fournissant le soutien et les ressources dont elles ont besoin pour réussir. Cela implique de fournir aux membres les outils, la formation et les conseils nécessaires pour qu’ils puissent s’acquitter efficacement de leurs rôles. De plus, la connexion régulière, fournir des commentaires et le coaching les aideront énormément à se développer et à s’améliorer.

#4 – Fixez des objectifs et des attentes clairs.

Cliquez sur cette image pour un billet détaillé.

Les leaders peuvent gagner le respect de leurs équipes en fixant des objectifs et des attentes clairs pour leur équipe. Cela implique de définir des objectifs spécifiques, mesurables et réalisables. De plus, les leaders peuvent fournir des nouvelles et des commentaires réguliers pour aider les employés à rester sur la bonne voie et à atteindre leurs objectifs. Ce faisant, les leaders peuvent démontrer qu’ils sont engagés dans le succès de leur équipe et qu’ils leur fournissent les conseils dont ils ont besoin pour atteindre leurs objectifs.

#5 – Faites preuve d’empathie et de compréhension.

N’hésitez pas à découvrir et utiliser les cartes d’empathie.

Les leaders peuvent gagner le respect de leurs équipes en faisant preuve d’empathie et de compréhension. De plus, cela implique d’être conscient et sensible aux émotions et aux expériences des membres, et cela implique d’être solidaire et compatissant en réponse à leurs besoins et à leurs défis.

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#6 – Soyez transparent et honnête.

Les leaders peuvent gagner le respect de leurs équipes en faisant preuve de transparence et d’honnêteté. Cela implique d’être ouvert et honnête dans la communication. En outre, cela implique d’être transparent et honnête dans la prise de décision et la résolution de problèmes.

#7 – Reconnaissez et appréciez les réalisations.

Les leaders peuvent gagner le respect de leurs équipes en reconnaissant et en appréciant leurs réalisations et leurs contributions. Cela implique de reconnaître et d’apprécier régulièrement les efforts et les réalisations des membres de l’équipe. En outre, cela implique de fournir des récompenses et des incitations pour les motiver et les inspirer.

Ces 7 actions et attitudes peuvent aider les leaders à gagner le respect des membres de leurs équipes et à constituer des équipes solides, collaboratives et productives.

Dirigez de l’intérieur: La meilleure façon pour les leaders de gagner le respect de leurs équipes est de toujours respecter leurs comportements et leurs actions.

Véritable moteur de motivation personnelle : La reconnaissance !

Pour beaucoup de personnes, la reconnaissance est le carburant de leur moteur de productivité.

Personal Motivation par Steve Keating

https://stevekeating.me/2023/01/05/personal-motivation/

J’aimerais que chaque personne en position de leadership comprenne à quel point la reconnaissance est importante pour ses équipes. Les personnes qui les composent ne veulent pas seulement de la reconnaissance, elles en ont besoin. Pour beaucoup de gens, la reconnaissance est le carburant de leur moteur de productivité.

La plupart des gens souhaitent faire plaisir aux gens et l’une des personnes auxquelles ils veulent le plus faire plaisir est leur patron.

Ils veulent quelques choses en échange de faire plaisir à leur patron et l’une de ces choses est le « crédit » ou la reconnaissance d’un travail bien fait. S’ils ne reçoivent pas ce crédit, beaucoup d’entre eux perdent leur motivation à continuer à donner le meilleur d’eux-mêmes.

Et c’est une erreur.

Aucun d’entre nous ne devrait donner à quelqu’un d’autre ce genre de pouvoir sur une partie de notre vie.

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Les personnes qui réussissent le mieux ne cherchent pas la reconnaissance et l’affirmation, elles regardent à l’intérieur d’elles-mêmes.

Savoir qu’elles ont fait de leur mieux les motive. Leur opinion d’elles-mêmes est plus importante que celle de quelqu’un d’autre.

Nous voulons tous la reconnaissance et le soutien des personnes pour lesquelles nous travaillons. Mais le vouloir et en avoir besoin sont deux choses très différentes. Reconnaître vos propres efforts est beaucoup plus important, ou devrait l’être, que la reconnaissance de quelqu’un d’autre.

Appréciez absolument toute reconnaissance et tout soutien que vous recevez de quelqu’un d’autre. Mais ne dépendez pas d’eux pour continuer.

La seule raison pour laquelle vous devez continuellement donner le meilleur de vous-même dans tout ce que vous faites est la suivante: VOUS méritez votre meilleur effort. Vous méritez d’être le meilleur que vous pouvez être dans tous les domaines de votre vie.

Cela ne peut pas dépendre des actions ou de l’inaction de quelqu’un d’autre.

Ne comptez pas sur quelqu’un d’autre pour vous motiver à être meilleur.

Donnez toujours le meilleur de vous-même et quoi que vous fassiez, vous le ferez très bien.

Ce soir, avant d’aller dormir, assurez-vous de prendre un moment pour vous remercier des efforts que vous avez déployés aujourd’hui. Rappelez-vous que peu importe ce qui a été accompli ou n’a pas été accompli aujourd’hui, vous avez fait de votre mieux. Et c’est tout ce que quiconque, y compris vous-même, peut demander.

La matrice contrôle/responsabilité

Dans de nombreuses situations, vous avez la liberté de choisir vos préférences en matière de contrôle et de prise de responsabilités.

The control/responsibility matrix par Seth Godin

https://seths.blog/2022/01/the-control-responsibility-matrix/

La matrice contrôle/responsabilité

Les gens font des choix quant à leurs préférences en matière de contrôle et de prise de responsabilité. Lorsque nous combinons ces choix, nous nous retrouvons avec une matrice assez simple.

En haut à droite se trouve une combinaison idéale. Quelqu’un avec le contrôle et l’autorité qui prend également la responsabilité quand les choses tournent mal. Cela crée une boucle de rétroaction utile, car ces personnes peuvent réellement faire quelque chose à propos des problèmes qu’elles ont causés.

En bas à droite se trouve une catastrophe en attente de se produire. C’est un mégalomane fragile, Robert Moses, un bâtisseur, qui a passé près d’un siècle à paver New York tout en négligeant le logement et autres questions de justice sociale, mais n’a jamais assumé la responsabilité des effets de son travail. Les personnes qui prennent le contrôle et évitent la responsabilité sont souvent facilement identifiables parce qu’elles passent beaucoup de temps à se plaindre.

Dans le coin supérieur gauche se trouve ceux qui s’en soucient vraiment. Ils apportent une énorme empathie à la situation et aident les gens à se sentir reconnus. Hélas, parce qu’ils n’ont pas de pouvoir (soit parce qu’on leur a refusé, soit parce qu’ils l’évitent), leur volonté de prendre leurs responsabilités est en quelque sorte creuse. C’est l’une des raisons pour lesquelles les travailleurs de première ligne qui doivent exercer un travail émotionnel et faire preuve d’empathie au travail s’épuisent si souvent.

Et enfin, dans la plupart des situations, la majorité des gens sont en bas à gauche. Le système nous pousse à être des rouages, à accepter ce qui est donné en échange d’être blanchis et de ne pas être tenus responsables de ce qui se passe ensuite.

Dans de nombreuses situations, nous avons la liberté de choisir. Nous pouvons choisir un quadrant ou nous pouvons choisir de ne pas participer. Et si nous sommes assez chanceux ou attentionnés, nous pouvons choisir pour qui voter, pour qui travailler et où nous allons.

Quand c’est flou c’est qu’il y a un loup !

Ce dicton est particulièrement applicable dans le monde des projets que vous en soyez le manager de projet, le sponsor, le leader, un membre de l’équipe ou même une partie prenante plus éloignée.

En matière d’alignement de l’équipe projet, l’ambiguïté est votre ennemi.

Faites l’assomption qu’une personne ou un service va prendre en charge certaines tâches dont votre projet dépend parce que c’est dans sa description de poste ou la fonction attendue de ce service et cela risque fortement de vous conduire à une catastrophe majeure.

En plus de clarifier les rôles, la question du « Qui fait quoi ? » crée également une opportunité de clarifier les échéances et de confirmer leur faisabilité.

En tant que manager de projet, vous allez, pendant que l’équipe discute des mesures à prendre pour atteindre les objectifs ciblés, vous assurer que chaque action est bien assignée à une personne ou à une équipe spécifique et qu’une date limite précise et acceptée de cette personne/équipe est confirmée.

Capturez par écrit ces engagements et distribuez ceux-ci à l’équipe sous forme de compte rendu de réunion de travail.

Préciser avec tous « qui fait quoi » peut vous sembler une étape évidente et même inutile car toute l’équipe projet, en particulier en approche Agile, connait les objectifs et les compétences de chacun.

Mais, ne le faites pas et vous risquez fort d’attendre des semaines qu’une personne termine une tâche dont elle n’a aucune idée qu’elle était censée la faire !

Levez toutes les ambiguïtés liées à « Qui fera Quoi » et vous avez déjà fait un énorme pas vers la réussite !

Comme le dit David Burkus « Ambiguity is the ennemy of clarity ».

Quelles questions se poser face à une potentielle innovation ?

Voici quelques questions que nous suggère Seth Godin face à une potentielle innovation.

Innovation and domain knowledge par Seth Godin

https://seths.blog/2022/01/innovation-and-domain-knowledge/

Cela a-t-il déjà été fait auparavant ?

Pourquoi pas ?

Cela a-t-il fonctionné ?

Pourquoi pas ?

Si c’est nouveau et utile, quel problème cela résout-il ?

Pourquoi le public visé a-t-il rejeté des innovations similaires dans le passé ?

Un jour, ce marché changera. Qu’est-ce qui provoquera ce changement ?

Une recette pour un leadership distribué et inclusif.

Et si le leadership au travail n’était pas réservé à quelques privilégiés, mais plutôt partagé entre plusieurs ?

La consultante en management Gitte Frederiksen nous donne la recette du « leadership distribué »

Nous vivons dans des réseaux dynamiques et multidimensionnels de leaders qui puisent dans les connaissances et la créativité de chacun. Gitte montre comment cela permet à vos équipes de faire plus et de le faire mieux.

  • Oubliez les titres
  • Partagez tout avec toutes et tous (questionnez-vous sur les raisons que vous auriez de ne pas partager certaines informations)
  • Ouvrez les discussions avec des questions invitant à collaborer
  • Soyez bienveillant envers toutes les personnes

Un bon leadership est un réseau, pas une hiérarchie.

Gitte Frederiksen

En cette nouvelle année 2023 qui débute, décidez de prendre un peu de recul chaque jour pour bien définir quelles sont vos réelles priorités.

Tout semble urgent pour une personne sans priorités clairement définies.

Vous ne maîtriserez votre vie que lorsque vous maîtriserez la gestion de votre temps.

Or, si tout est prioritaire, vous ne savez où donner de la tête.

Une priorité est ce qui exprime le mieux la mission, la vision et les valeurs d’aujourd’hui.

Managez votre temps

Une question très simple est au cœur de la gestion du temps : Quelle est votre priorité aujourd’hui ?

Soyez précis :

  1. Quelle est la seule chose que vous devez achever aujourd’hui ?
  2. Sur quoi allez-vous concentrer votre plus productive période de temps et votre énergie aujourd’hui ?
  3. A quoi avez-vous su dire non parce que ce n’était pas votre priorité ?
  4. Quand cette journée sera terminée, que serez-vous fier d’avoir fait ?

Corolaire : Si vous avez 10 à 15 priorités, vous n’avez pas de priorité.

Si vous managez une équipe ou un projet, sachez ce qui est important.

Lors des réunions d’équipe hebdomadaires, dès que la revue de la performance de la semaine passée est accomplie, focalisez les personnes sur les priorités de cette semaine :

« Quelles sont nos priorités cette semaine ? ».

Vérifiez par le questionnement que les priorités sont bien comprises et donnez l’opportunité de les clarifier et de les discuter en équipe.

Et lors des réunions en tête-à-tête avec les membres de votre équipe, demandez :

« Quelles sont tes priorités ? »

Écoutez puis suivez l’avancement sur ces priorités déclarées en cours de semaine :

« Où en es-tu de tes priorités cette semaine ? »

Soyez courageux.

Il vous faut du courage pour dire que tout n’est pas une priorité pour aujourd’hui. Vous savez que tout doit être fait mais vous savez aussi que si vous n’identifiez pas les priorités pour aujourd’hui et pour cette semaine, rien ne sera fait.

Les priorités positionnent les tâches dans l’ordre optimal.

Ayez le courage de dire que la plupart des choses importantes de votre liste ne sont pas une priorité pour aujourd’hui.

Corolaire : Tout ce qui est sur votre liste de choses prioritaires à faire et qui y figure depuis plus d’un mois doit être effacé !


PS: Découvrez ou relisez « Aujourd’hui ne se produira qu’une fois et c’est aujourd’hui !« 
et aussi « Dotez-vous dès aujourd’hui d’un journal de décisions, de VOS décisions ! Et tenez-le à jour. »

Comment devenir la personne vers laquelle on se tourne naturellement ?

« How to Become a Go-To Person » par Dan Rockwell et Stan Endicott

https://leadershipfreak.blog/2022/08/27/saturday-sage-how-to-become-a-go-to-person/

  • Lorsque vos amis sont confrontés à des décisions cruciales dans la vie, vous voulez être leur interlocuteur.
  • Lorsque les genoux fléchissent et que les gens sont stressés, vous voulez leur donner de la force.
  • Lorsque les dirigeants autour de vous ont du mal, vous voulez qu’ils viennent vous chercher.

Comment devenir une personne de référence ?

#1. Une personne de référence développe sa sagacité

Apprenez et intégrez diverses expériences. Un sage n’évite pas douleur et déception. Les imbéciles répètent et souffrent. Un sage apprend et s’adapte.

Les expériences douloureuses vous permettent de vous connecter et d’influencer de manière authentique.

observez, regardezÉtudiez les gens. Une personne de référence s’épanouit en comprenant les gens. Certains sont calmes. D’autres sont bavards. Acceptez les gens.

Quand vous rejetez les gens, ils vous résistent.

Maintenez le vrai cap. Une personne de référence a un point de vue. Votre objectif se compose de valeurs, d’expériences et de désir de contribuer.

#2. Une personne de référence sait quand elle est pertinente.

Soyez proche lors de situations douloureuses.

Passez après une perte tragique ou une défaillance catastrophique. Un sage se rapproche quand les autres s’éloignent.

Évoquez doucement les expériences que les autres évitent. « Je suis vraiment désolé d’apprendre que vous avez été congédié », par exemple.

Soyez curieux lorsque les gens marchent sur un terrain non testé. Prenez un café avec une personne qui a mérité une grande promotion. Envoyez une note lorsque quelqu’un fait face à de nouvelles opportunités ou à de nouveaux défis.

Voyez ce qui n’est pas évident et entendez ce qui n’est pas dit.

Une personne de référence offre une valeur unique en voyant des choses qui ne sont pas évidentes et en entendant des choses qui ne sont pas dites.

#3. Une personne de référence pratique le Sherlocking.

Un sage voit comme Sherlock Holmes.

Sherlock a utilisé son talent à voir les choses que les autres ont manquées et entendre des choses que les autres ont ignorées pour tirer des conclusions inattendues.

Les gens ont vu la lumière lorsque Holmes a assemblé le puzzle.

Voyez ce que les autres manquent sans être arrogant. La grâce et la gentillesse élèvent le Sherlocking au-dessus de l’intrusion.

Dans « The Adventure of the Engineer’s Thumb », écrit par Sir Arthur Conan Doyle, Sherlock fait preuve de compassion et de gentillesse.

« Il est facile de voir que votre expérience n’a pas été banale, M. Hatherley », a-t-il déclaré. « Priez, allongez-vous et faites absolument comme chez vous. Dites-nous ce que vous pouvez, mais arrêtez quand vous êtes fatigué et gardez vos forces avec un peu de stimulant. »

5 compétences de Sherlock
  1. Mieux comprendre grâce à l’observation silencieuse. Voyez ce que les autres ne voient pas.
  2. Appréhender la situation dans son ensemble en écoutant attentivement. Écoutez ce qui n’est pas dit.
  3. Élargissez la perspective en vous élevant au-dessus des situations. Un sage voit où était le train, où se trouve le train et où va le train.
  4. Construisez de nouveaux points de vue en combinant de nouvelles observations.
  5. Ayez une vision claire en excluant les idées non pertinentes, les émotions distrayantes et les perspectives effrayantes.

Où que vous alliez, examinez soigneusement la situation avant d’enlever la laisse de votre chien.

Donna-Lynn Musgrave

Vous voyez, mais vous n’observez pas.

Sir Arthur Conan Doyle

Passez un contrat avec vous-même. Ayez le courage de dire : « Je veux être la personne vers laquelle on se tourne naturellement. »

Signature _____________________________ Date____________


Voici un exercice qui vous poussera à devenir un sage incontournable

  1. Énumérez 5 qualités admirables de votre sage de prédilection.
  2. Comment a-t-il ou elle développé ces caractéristiques ?
  3. Comment pourriez-vous développer les aptitudes qui font de vous un sage incontournable ?
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Faire une différence (versus faire valoir un point)

Faire valoir un point n’est pas la même chose que faire une différence.

Making a difference (making a point) par Seth Godin

https://seths.blog/2021/08/making-a-difference-making-a-point/

Il existe d’innombrables façons de faire valoir un point. Vous pouvez clairement démontrer que vous êtes en colère, intelligent, concerné, plus fort, plus rapide ou mieux préparé que la personne avec laquelle vous échangez.

Mais faire valoir un point n’est pas la même chose que faire une différence.

Pour faire une différence, nous avons besoin d’empathie pratique pour réaliser que l’autre personne ne sait pas ce que vous savez, ne croit pas ce que vous croyez et pourrait ne pas vouloir ce que vous voulez. Nous devons partir de là où nous sommes et comprendre en un instant où elle est.

Si vous vous préoccupez vraiment du sujet, vous ferez le travail difficile pour apporter une réelle différence !

Lorsque nous faisons valoir un point, nous rejetons tout cela. Lorsque nous faisons valoir un point, nous établissons notre pouvoir d’une manière ou d’une autre, mais nous ne changeons probablement pas grand-chose.

Le changement se produit lorsque l’histoire que l’autre personne se raconte commence à changer. Si tout ce que vous faites est de faire valoir un point, vous leur avez exposé une histoire sur vous-même. Lorsque vous apportez un changement, vous les aidez à embrasser une nouvelle histoire sur eux-mêmes.

Et même si c’est plus amusant de faire valoir un point (et que vous vous sentez en sécurité, d’une certaine manière), si vous vous préoccupez vraiment du sujet, vous ferez le travail difficile pour faire plutôt une réelle différence.

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7 erreurs embarrassantes de langage corporel que les leaders font pendant les réunions

Nous savons tous que le langage corporel est important, et il est particulièrement important pour toute personne occupant un poste de leader.

7 Cringeworthy Body Language Mistakes Leaders Make During Meetings par Lolly Daskal

https://www.lollydaskal.com/leadership/7-cringeworthy-body-language-mistakes-leaders-make-during-meetings/

Chaque fois que vous avez une réunion en face à face, ou même une réunion sur Zoom, votre langage corporel est crucial. Votre apparence lorsque vous dites quelque chose est souvent aussi importante que ce que vous dites et la façon dont vous le dites.

Tout comme vous choisissez vos mots avec soin, il est important de vous assurer que votre langage corporel n’envoie pas de messages involontaires. Si rien n’est fait, un mauvais langage corporel peut faire dérailler des communicants très forts. Voici sept des problèmes de langage corporel les plus gênants e j’observe chez des leaders.

#1 – Vous avez une posture non engagée.

Nous avons tous vu des gens qui s’affalent pendant les réunions, se dirigent d’un côté, parfois l’air à moitié endormis. Une posture non engagée envoie un message de faiblesse. Asseyez-vous dans une posture droite mais détendue, tenez-vous immobile et montrez que vous prêtez attention.

#2 – Vous manquez de contact visuel.

Beaucoup de gens ne parviennent pas à établir un contact visuel, les yeux dans le vague ou regardant leurs mains ou leurs notes. Ce comportement envoie un message méprisant. À moins que vous ne preniez activement des notes, maintenez un contact visuel avec la personne qui parle. Mais restez naturel, ne fixez pas.

#3 – Vous tambourinez des doigts.

C’est peut-être un tic nerveux ou une vieille habitude, mais tambouriner avec vos doigts sur la table est irritant. Cela vous donne l’air gamin et impatient. Même si vous êtes assis là à attendre impatiemment la fin de la réunion, ne le communiquez pas à la salle.

#4 – Vous avez l’air distrait.

Si vous avez l’air distrait, vous êtes distrait. Et si les gens n’ont pas toute votre attention, ils ne vous accorderont pas tout leur respect. Résistez à la tentation de vérifier votre téléphone, votre montre, vos ongles ou de regarder vers la sortie.

#5 – Vous croisez les bras.

Croiser les bras est une posture défensive qui met de la distance entre vous et ceux qui vous entourent. Cela communique un esprit fermé et un manque de confiance.

Gardez vos bras ouverts et si vous ne savez pas quoi faire de vos mains, posez-les sur vos genoux.

#6 – Vous gigotez.

Si vous vous êtes déjà assis avec quelqu’un qui bouge constamment ses mains, ses pieds ou ses jambes, vous savez à quel point cela peut être perturbant. Cela envoie un message d’anxiété. Si vous vous agitez lorsque vous êtes nerveux, travaillez avec un coach ou un conseiller pour trouver de meilleures stratégies pour gérer ce stress. Si la situation persiste, parlez-en à votre médecin car il peut y avoir un problème de santé sous-jacent.

#7 – Vous faites du multitâche.

Si vous vérifiez vos outils digitaux pendant une réunion, vous ne pouvez pas rester concentré. Le multitâche signifie simplement que rien ne retient toute votre attention. Et même sur Zoom, les gens le remarquent.

Le langage corporel envoie des messages forts avant même que vous ne disiez un mot. Assurez-vous d’envoyer le bon message avec vos paroles et vos actions.

Diriger de l’intérieur : Le langage corporel est un outil puissant. La plus haute forme de respect est d’envoyer le bon message avec votre présence sincère et entière.

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J’ajouterais, prêtez attention à l’aspect culturel de vos gestes qui peuvent avoir des significations totalement différentes d’une culture et d’un pays à l’autre.

5 raisons pour lesquelles avoir une attitude positive peut radicalement changer la donne

En tant que leader, vous donnez l’exemple, et il est important de créer de la positivité dans votre organisation et vos projets.

5 Powerful Ways Having A Positive Attitude Can Be A Game Changer par Lolly Daskal

https://www.lollydaskal.com/leadership/5-powerful-ways-having-positive-attitude-can-be-a-game-changer/

Les affaires sont difficiles ces temps-ci. Les marchés sont volatils, le moral est bas et le monde est confronté quotidiennement à de nouveaux défis. Dans des moments comme celui-ci, il est facile de tomber dans un certain marasme. Mais en tant que leader, vous donnez l’exemple, et il est important de créer de la positivité.

Lorsque vous redirigez votre état d’esprit vers la positivité, vous trouvez des opportunités dans les défis et des avantages dans les inconvénients. Les personnes ayant une attitude positive gardent espoir et voient le meilleur même dans des situations difficiles. En revanche, celles qui ont des attitudes négatives sont souvent pessimistes et désagréables, et elles s’attendent généralement au pire dans des situations difficiles.

Une attitude positive ne vous rend peut-être pas moins stressé, mais elle peut vous donner les compétences dont vous avez besoin pour faire face au stress d’une manière plus saine.

Voici quelques-uns des avantages de la positivité

Vos perspectives seront plus riches et plus optimistes.

Une vision positive conduit naturellement à une vue optimiste de la vie. Plutôt que de penser que l’herbe est plus verte ailleurs, vous remarquerez à quel point elle est verte là où vous vous tenez.

L’optimisme crée un cadre qui peut vous aider à faire face aux événements négatifs.

Vous ferez mieux face à la déception et à l’échec.

Vous aurez encore des journées difficiles, mais il ne vous faudra pas autant de temps pour rebondir. Avec une attitude positive, vous pouvez accepter même un mauvais résultat plutôt que de perdre du temps dans le déni.

Les personnes ayant des attitudes négatives s’attardent sur les événements négatifs, tandis que celles qui ont une attitude positive trouvent un moyen de le faire fonctionner.

Vous serez plus empathique et compréhensif.

Une attitude positive vous aidera à comprendre pourquoi les gens agissent comme ils le font. Plutôt que de sauter à une conclusion nuisible, vous voyez d’où viennent les gens et réagissez avec compassion.

L’empathie est la différence entre être suivi et être respecté.

Vous serez moins stressé.

Les leaders ayant une attitude positive sont moins susceptibles d’être stressés par des événements négatifs.

Ils sont plus susceptibles de s’engager dans une pensée positive, de trouver quelque chose de valeur même en période de stress.

Vous serez plus reconnaissant.

Une attitude positive vous apprendra à être reconnaissant pour les bonnes choses de votre vie professionnelle et personnelle.

Vous aborderez chaque jour avec un état d’esprit reconnaissant au lieu de penser constamment à ce qui vous manque, libérant ainsi votre esprit pour diriger votre entreprise comme elle doit être dirigée.

Une attitude positive est immensément bénéfique, mais c’est plus facile à dire qu’à faire. Commencez dès aujourd’hui. Pensez à une chose et trouvez-y quelque chose de positif. Ensuite, regardez votre attitude changer.

Comme nous le savons tous, la pensée positive vous aidera à tout faire mieux que la négativité.

Voici une vidéo de Alison Ledgerwood sur ce thème de la positivité : « Rester coincé dans la négativité (et comment en sortir) »

Alison Ledgerwood s’intéresse à comprendre comment les gens pensent et comment ils peuvent mieux penser. Ses recherches examinent comment certaines façons de penser à un problème ont tendance à rester coincées dans la tête des gens. Ses cours de psychologie sociale se concentrent sur la compréhension de la façon dont les gens pensent et se comportent dans des situations sociales, et comment exploiter ces connaissances pour potentiellement améliorer le monde social dans lequel nous vivons tous.

7 phrases trompeuses à éviter dans chacune de vos conversations de leader.

Vous savez que vos paroles en tant que leader sont cruciales pour vous équipes comme pour vos clients.

Alors, commencez par éviter facilement (avec un peu d’entrainement) ces 7 erreurs assez basiques.

7 Misleading Phrases to Avoid in Every Leadership Conversation by Lolly Daskal

https://www.lollydaskal.com/leadership/7-misleading-phrases-to-avoid-in-every-leadership-conversation/

Nous savons tous que les mots comptent et que les paroles des dirigeants ont un poids particulier. Dans le leadership et les affaires, il est facile de tomber dans le jargon et le verbeux, mais il y a des phrases qui induisent les employés en erreur et signalent un mauvais leadership.

Voici quelques-unes des phrases les plus perturbatrices et les plus démotivantes que j’entends dans mon travail de coach en leadership.

#1 – « Je ne le dirais pas comme ça. »

Même si ce n’est pas votre intention, lorsque vous utilisez cette phrase et d’autres similaires, vous dénigrez la personne qui communique. C’est une démonstration de manque de respect et la conviction que votre façon de faire est nécessairement la meilleure.

Au lieu de cela, demandez :

Pourriez-vous essayer de reformuler cela ? Je veux m’assurer de bien comprendre ce que vous dites.

#2 – « Je vais le faire moi-même. »

La plupart des dirigeants ont du mal dans une certaine mesure à se défaire de la croyance que si vous voulez que quelque chose soit bien fait, vous devez le faire vous-même. Mais ce niveau de contrôle envoie des messages terribles sur votre leadership : Vous ne faites pas confiance aux gens dans leur travail et vous n’êtes pas prêt à leur donner la possibilité de grandir et d’apprendre.

Au lieu de cela, communiquez clairement vos attentes et demandez :

Y a-t-il une chose pour laquelle vous auriez besoin de mon support ?

#3 – « Avec tout le respect que je vous dois… »

Il est approprié pour un leader de dire non parfois, mais c’est une situation qui appelle une approche délicate plutôt qu’une approche humiliante.

Demandez plutôt :

Êtes-vous ouvert à une autre perspective ? 

#4 – « Voici comment vous devez le faire. »

Lorsque vous dites aux gens non seulement quoi faire, mais comment le faire, vous faites du micro-management. Et peu de choses laissent les personnes et les équipes se sentir plus démoralisées et démotivées que le micro-management. En tant que leader, vous êtes chargé de responsabiliser, de motiver et d’inspirer vos employés.

Au lieu de cela, demandez :

Selon vous, quelle est la bonne approche ?

#5 – « Cela étant dit … »

Auriez-vous des difficultés à écouter ?

Certaines phrases ne signalent pas seulement une volte-face, mais le font d’une manière qui rejette d’emblée tout ce qui a été fait jusqu’à ce point. Rejeter complètement les idées de quelqu’un est décourageant et peut donner l’impression que vous n’écoutiez même pas.

Au lieu de cela, demandez :

Comment pouvons-nous améliorer cette idée ?

#6 – « Vous n’avez pas besoin de savoir pourquoi, il suffit d’exécuter. »

« Faites juste ce que je vous dit ! »

Diriger à partir de l’autorité perd l’essence même du vrai leadership. Les meilleurs leaders savent que lorsque vous communiquez le but de quelque chose, les gens travaillent encore plus dur.

Au lieu d’aboyer des ordres, demandez :

Qu’est-ce qui vous connecte avec ce travail ?

En quoi est-il important pour vous ?

#7 – « Je n’ai pas besoin d’aide. »

Trop de dirigeants considèrent le fait de demander de l’aide comme un signe de faiblesse. En vérité, cela signale la force et la confiance. Lorsque vous demandez de l’aide, vous êtes inclusif et collaboratif, des traits de caractère que les employés apprécient dans le leadership. Nous prêchons tous que les grandes réalisations nécessitent un travail d’équipe, alors modélisez ce principe dans votre propre travail.

Demandez plutôt :

Comment pouvons-nous utiliser au mieux vos talents pour supporter ce travail ? 


Les dirigeants causent souvent, sans le savoir, que les gens se sentent vaincus, démoralisés et exclus simplement parce qu’ils ne réfléchissent pas suffisamment à leurs propres paroles.

Portez une attention particulière aux choses que vous dites à votre équipe, et si ces mots ne vous servent pas bien, apportez les changements nécessaires.


Diriger de l’intérieur : Les phrases que vous utilisez comptent, et les mots que vous prononcez ont un sens.  Soyez attentifs avec eux. Les gens écoutent.

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A propos d’écoute active

Alors, vous pensez peut-être que vous êtes un bon auditeur, mais la prochaine fois que vous voulez écouter une autre personne, posez-vous ces quelques questions…

  • Comment est-ce que j’écoute habituellement ?
  • Pourquoi dois-je écouter maintenant ?
  • Qui est au centre de l’attention dans la conversation ?
  • Qu’est-ce qui me manque ?
  • Est-ce que je me mets en travers de mon propre chemin ?
  • Suis-je dans une bulle d’information ?

12 façons d’améliorer le bien-être dans les organisations

Dans la guerre des talents et la quête d’amélioration constante de la productivité, l’investissement dans le bien-être au travail a été une caractéristique des entreprises leaders et admirées.

12 Ways to Improve Wellbeing in Organisations par Cora Lynn Heimer Rathbone

https://www.rathboneresults.com/resources/12-ways-to-improve-wellbeing-in-organisations


Résumé en 30 secondes…

Prendre soin de soi à la fois physiquement et psychologiquement conduit à une plus grande productivité et meilleure performance au travail. Les entreprises mondiales les plus prospères reconnaissent depuis longtemps cette connexion. D’autres commencent tout juste à l’adopter, car les confinements liés à la pandémie ont, plus que jamais, mis en évidence l’importance du bien-être. Cet article suggère 12 pratiques de bien-être simples et scientifiquement prouvées que nous pouvons tous adopter pour promouvoir le bien-être : pour nous-mêmes, pour les autres, pour notre entreprise.


Les excellentes organisations connaissent depuis longtemps l’importance de créer des lieux de travail exceptionnels. Dans la guerre des talents et la quête d’amélioration constante de la productivité, l’investissement dans le bien-être au travail a été une caractéristique des entreprises leaders et admirées.

La science du bien-être est donc très pertinente dans notre monde difficile, meurtri par une énorme incertitude, plus grande que ce que nous pensions exister avant la pandémie.

Alors que nous nous libérons, que pouvons-nous faire différemment pour embrasser et promouvoir le bien-être pour nous-mêmes et pour les autres, pour survivre ET prospérer ?

Voici quelques idées profondément simples à pratiquer, toutes soutenues par des recherches substantielles en neurosciences, bien-être, bonheur et psychologie positive.

#1 – Faites preuve de compassion. En commençant par vous-même. Pour créer un endroit où il fait bon travailler, protégez votre santé mentale et physique. Donnez-vous le temps de pleurer et de rire, le temps de faire votre deuil et de vous amuser.

#2 – Dormez. 7 heures par nuit est le minimum cliniquement sain. 5 heures ou moins par nuit est classé comme « manque de sommeil », accélère votre vieillissement, augmente vos risques de maladie cognitive et réduit votre espérance de vie.

#3 – Faites de l’exercice. Rien que 3 fois 30 minutes d’exercice cardiovasculaire par semaine maintiennent votre santé physique et améliorent vos performances cognitives.

#4 – Choyez les expériences plutôt que des objets. Les expériences captent votre attention, créent des souvenirs qui vous permettent de répéter le plaisir. Les objets, une fois acquis, « perdent rapidement leur valeur », « sont pris pour normaux ».

#5 – Développez vos liens sociaux. Les relations sont la clé d’une vie saine et longue. La survie humaine dépend de nos capacités collectives à conjuguer nos efforts dans la poursuite d’objectifs communs.

#6 – Optez pour un travail significatif. Un but et un objectif clairs alimentent votre énergie et votre résilience, contribuent à votre survie même dans une extrême adversité.

éloge de la gentillesse
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#7 – Soyez auteur d’actes de gentillesse. Donner à une autre personne augmente vos scores de bien-être pendant plusieurs jours après l’acte, beaucoup plus longtemps que de vous donner quelque chose à vous-même.

#8 – Exprimez votre gratitude. Exprimer votre gratitude envers l’autre ramène à l’esprit ce pour quoi vous êtes reconnaissant, en pleine conscience, alimente la pensée positive et prolonge l’expérience positive.

#9 – Soyez riche de votre temps. Après un certain niveau de gains, plus de richesse ne satisfait pas davantage. La liberté de faire les choses que vous aimez, en particulier avec les personnes que vous appréciez, satisfait davantage et plus longtemps.

#10 – Méditez et savourez l’instant. Nos esprits errent 47% du temps que nous sommes éveillés, nous sortant de « l’ici et maintenant », érodant le bonheur et la capacité d’être à notre meilleur à chaque instant.

#11 – Exprimez vous de manière positive. Les entreprises ayant un « ratio Losada » (déclarations positives pour des négatives) entre 3 pour 1 et 15 pour 1 prospèrent. Les mariages avec un ratio Losada supérieur à 1 pour 5 sont forts et aimants.

#12 – Concentrez-vous sur vos points forts. Les neurosciences ont montré que jouer sur nos forces génère plus d’apprentissage, crée plus de nouvelles connexions neuronales que d’essayer de corriger ou de travailler sur nos faiblesses

Tout ce qui précède a figuré, à des degrés divers, dans les stratégies des nations et des entreprises les plus performantes pendant le confinement.

Quelle opportunité pour nous, en tant qu’humanité, d’embrasser explicitement ce qui précède, tout ou en partie, d’intégrer ces pratiques dans le nouveau « business as usual » de nos organisations.

Cora Lynn Rathbone

Permettez-moi donc de vous demander laquelle des pratiques ci-dessus vous adopterez et défendrez dans votre organisation, au nom de l’humanité, de la compassion, du bien-être et d’une meilleure performance économique ?

L’opportunité est la vôtre de vous libérer en faisant la différence : Avec courage, discipline et amour.

Contactez Cora Lynn si vous souhaitez obtenir de l’aide pour améliorer le bien-être dans votre organisation.

7 façons de gagner en influence dans votre entreprise sans forcément avoir de titre

Le télétravail et les équipes autonomes et géographiquement distribuées provoque une demande croissante de leaders à tous les niveaux dans les projets et dans les entreprises.

7 Ways To Gain Influence In Your Company Without Having A Title par Lolly Daskal

https://www.lollydaskal.com/leadership/7-ways-to-gain-influence-in-your-company-without-having-a-title/

Les lieux de travail évoluent, de nombreuses organisations passent d’une hiérarchie descendante structurée à une dynamique plus collaborative centrée sur le travail d’équipe.

L’un des résultats de ce changement est une demande croissante de leaders à tous les niveaux.

Dans une culture d’entreprise complexe et évolutive, vous avez la capacité de diriger, quel que soit votre rôle. Voici sept façons infaillibles de gagner en influence vers le haut, au bas et en transverse dans votre organisation sans avoir de titre.

#1 – Embrassez qui vous êtes.

Vos pensées influencent non seulement vos sentiments, mais aussi vos actions. En fait, nos monologues intérieurs ont tendance à devenir une prophétie auto-réalisatrice. Le chemin de l’influence commence en vous. Qui vous êtes, et qui vous vous dites que vous devenez, aidera à déterminer votre impact.

#2 – Cultivez des relations qui ont du sens.

L’établissement de liens et l’établissement de relations sont essentiels à toute forme d’influence. Si vous êtes sérieux à propos d’imprimer votre marque, travaillez à cultiver des relations significatives à tous les niveaux. Cela signifie être votre même moi authentique et exprimer un véritable intérêt pour les gens à tous les niveaux. Les relations et les connexions sont une partie importante de l’influence.

#3 – Renforcez la confiance.

Une influence significative repose sur la confiance. Plus les gens vous feront confiance, plus ils vous respecteront et plus vous exercerez d’influence. Construisez une réputation de fiabilité, de franchise et de respect de vos principes dans tout ce que vous faites, et la confiance suivra naturellement.

#4 – Gérez vos connaissances.

Dans chaque organisation, l’information est synonyme de pouvoir, et plus vous avez d’informations, plus vous avez de valeur. Trouvez donc des moyens d’augmenter votre stock d’informations précieuses pour l’organisation et son leadership. Apprenez une nouvelle compétence, réfléchissez à des solutions stratégiques, familiarisez-vous avec les dernières technologies. Utilisez vos connaissances pour simplifier les défis et votre valeur augmentera.

#5 – Affûtez vos forces.

Concentrez-vous sur vos forces en perfectionnant, en partageant et en utilisant vos talents. Ne laissez jamais passer une occasion d’utiliser votre expertise pour aider les autres. Affûtez vos forces et partagez-les généreusement.

#6 – Offrez de votre temps.

Beaucoup de gens sont trop occupés par leurs propres préoccupations pour donner de leur temps aux autres. Passez du temps chaque jour à apprendre à connaître les membres de votre organisation, à apprendre qui ils sont et comment vous pouvez les soutenir.

#7 – Faites en sorte que les gens se sentent valorisés.

C’est l’un des désirs humains les plus profonds d’être reconnu, et l’un des meilleurs moyens d’influencer les gens est de leur faire sentir qu’ils sont appréciés. Travaillez pour voir les gens pour ce qu’ils sont et ce qu’ils font. Les gens apprécient ces rares moments où les autres leur font sentir qu’ils sont valorisés.

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Vous pouvez gagner de l’influence dans votre organisation sans pouvoir, autorité ni titre. Tout dépend de votre caractère, de vos connaissances et de votre serviabilité. Ce que vous faites avec ces pouvoirs intérieurs fait toute la différence.

Dirigez de l’intérieur : Le leadership ne vient que de l’influence, et l’influence doit être gagnée.

Comment rendre toute confrontation la plus bénéfique possible pour les deux parties ?

La plupart des gens qui ne détestent pas les confrontations y vont avec les pires motifs. Ils veulent à tout prix « gagner » la confrontation.

How to Avoid Every Confrontation par Steve Keating

https://stevekeating.me/2022/03/13/how-to-avoid-every-confrontation/

La plupart des gens détestent la confrontation. La plupart des gens qui ne détestent pas les confrontations y vont avec les pires motifs. Ils veulent à tout prix « gagner » la confrontation.

Quand quelqu’un a besoin d’être confronté, les leaders authentiques le confrontent. Mais ils le font avec empathie et compassion. Leur but n’est pas de « gagner » une confrontation. Leurs objectifs sont que les deux parties maintiennent leur estime de soi, comprennent mieux leur situation et construisent une relation plus forte.

Ces objectifs sont réalisables, mais seulement si la confrontation a réellement lieu.

Éviter une confrontation a de grands coûts, pour les deux parties.

La personne qui n’est pas confrontée peut n’avoir aucune idée de ce qu’elle fait ou dit est un problème pour quiconque. Le coût pour eux de ne pas être confrontés est qu’ils perdent l’opportunité de s’améliorer. Ils perdent l’occasion d’établir une relation plus proche. Ils peuvent perdre une opportunité de promotion au travail ou potentiellement, même leur emploi.

Le coût pour l’individu qui refuse de les confronter peut s’avérer encore plus élevé. Son manque de courage pour affronter quelqu’un peut entraîner une frustration sans fin, une mauvaise santé mentale, des relations dégradées et, s’il est dans une position de leadership, une mauvaise performance de la part des personnes qu’il dirige.

Toutes les confrontations peuvent être évitées en ne se confrontant à personne.

C’est facile, il suffit de ne rien faire. Vous devez cependant réaliser que les conséquences d’éviter les confrontations ne peuvent pas être évitées. Vous pensez peut-être que vous feriez mieux de ne pas vous confronter avec quelqu’un, mais vous auriez tort.

Il existe des moyens de rendre la confrontation bénéfique pour les deux parties, mais cela demande un peu d’effort.

Pour confronter de la bonne manière, faites attention à ces points clés.

Tenez-vous-en aux faits.

Présentez les faits, pas votre opinion.

Comprenez-vous les faits ? Avez-vous posé suffisamment de questions pour comprendre la situation vue de tous les côtés ? Allez-vous à cette confrontation avec de la colère et avec une émotion brute ou êtes-vous prêt à de la compassion construite sur un désir d’aider ? Y a-t-il un avantage mesurable à la confrontation ? Gardez à l’esprit que si rien ne peut changer, rien ne changera. Si vous confrontez quelqu’un à une situation qui ne peut pas changer, alors vous ne faites que « vous défouler ». La ventilation est très unilatérale car même si vous vous sentez mieux pendant une courte période, elle n’aide personne d’autre.

Connaissez la personne que vous confrontez.

Posez des questions plutôt que de penser tout savoir.

Que savez-vous de la personne que vous êtes sur le point de confronter ? À moins que vous ne connaissiez bien la personne, il est préférable de commencer votre conversation par des questions. Si vous commencez sur le ton de la confrontation, vous risquez de fermer l’autre personne. Cela bloque la plupart des progrès qui auraient pu être possibles. Si vous voulez que l’autre personne change quelque chose à propos de son comportement, ne commencez pas par la critique. Gardez à l’esprit qu’il vous sera très difficile d’aider quelqu’un à voir un avantage à changer son comportement si vous ne comprenez pas pourquoi il se comporte comme il le fait.

Faites en sorte que la faute semble facile à corriger.

Le problème pourrait-il venir de vous ?

Ne rendez jamais une situation pire qu’elle ne l’est. N’exagérez pas. Votre confrontation doit être basée sur des faits documentés, pas sur des opinions. Vous DEVEZ aborder une confrontation avec un esprit ouvert et être prêt à admettre que vous pouvez faire partie de la raison de la confrontation. Peu importe votre titre, votre rôle ou votre niveau de réussite, considérez toujours la possibilité que la véritable source du problème vous observe depuis votre miroir tous les matins.

Allez de l’avant vers l’amélioration.

Une fois que vous avez présenté votre « cas », prévoyez un peu de temps pour que le message soit digéré. Demandez à l’autre personne si elle peut répéter ce que vous avez dit pour vous assurer que ce que vous avez dit a été compris. Puis allez de l’avant. Une confrontation efficace n’a pas besoin d’être une longue conversation. Vous n’avez pas besoin d’enterrer l’autre personne sous les exemples, en particulier de vieux exemples des années passées. Terminez par un compliment. Si vous ne pouvez pas penser à un seul compliment, alors vous n’êtes pas encore prêt pour une confrontation. Référez-vous à la deuxième chose à garder à l’esprit : Apprenez à connaître et à comprendre la personne avant de la confronter.

Surtout, ne pensez pas à la confrontation en termes de victoire et de défaite. Il s’agit de se soucier suffisamment de faire preuve de compassion et d’aider un autre être humain à devenir la meilleure version possible de lui-même.

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