Le travail à distance ne marche pas ! (Il n’est pas condamné, mais il ne prospérera pas en pilotage automatique.)

Le principe de proximité : Les gens ont tendance à servir les personnes qu’ils voient, touchent et avec qui ils passent du temps.

Hybrid Work isn’t Working par Dan Rockwell

https ://leadershipfreak.blog/2025/08/25/hybrid-work-isn’t-working/

Ce que vous ne voyez pas semble facile. Vous supposez que les autres ont la vie facile. Les personnes qui ne sont pas vues se sentent souvent sous-évaluées.

Le travail à distance facilite le détachement.

Le potentiel s’élargit lorsque vous vous connectez à de vraies personnes qui font un vrai travail.

 Le travail à distance ne fonctionne pas.

#1. Les nouveaux embauchés sont en difficulté. Ils ne peuvent pas regarder comment font les autres ou poser des questions rapides.

#2. La collaboration en souffre. Les gens se concentrent sur leurs propres livrables et retardent l’aide apportée aux autres.

#3. Les réunions échouent. Elles s’élargissent trop, l’engagement chute et les suivis après réunion font perdre du temps.

#4. Les mauvaises personnes sont promues. Les contributeurs individuels augmentent. Les joueurs en équipe ne se font pas remarquer.

#5. La culture s’affaiblit. Les normes ne sont pas respectées. Les embauches avant et après la pandémie ne s’alignent pas.

#6. L’engagement s’estompe. La fidélité est alimentée par le fait de voir les personnes avec lesquelles vous travaillez.

#7. L’isolement grandit. Moins d’amitiés équivaut à de moins bonnes performances.

Faites fonctionner le travail à distance.

#1. Fixez et appliquez des jours d’ancrage. Tout le monde vient au bureau le(s) même(s) jour(s).

#2. Repensez les réunions. Gardez-les petites, axées sur un objectif, avec les caméras allumées.

#3. Réécrivez les règles. Définissez l’urgence, par exemple. À quelle vitesse les gens doivent-ils répondre aux demandes urgentes ? Quand devraient-ils être disponibles ?

#4. Reconstruisez la culture. Associez les nouvelles recrues à des mentors. Organisez des événements en personne à l’extérieur. Partagez des histoires en équipe.

#5. Récompensez les joueurs en équipe. Suivez et reconnaissez le travail d’équipe, pas seulement la production. Faites-en la promotion à l’aide des commentaires des collègues et des évaluations à 360 degrés.

#6. Réhumanisez le management. Équipez les managers pour repérer l’isolement et se connecter avec empathie. Enseignez le quotient émotionnel virtuel : Lire le ton, remarquer le silence, poser de meilleures questions.

#7. Privilégiez les connexions. Intégrez-les au travail de chacun. Répartissez le temps de connexion entre les fonctions.

Le travail à distance n’est pas condamné, mais il ne prospérera pas en pilotage automatique.

Si vous voulez de la connexion, de la collaboration et de la culture, construisez-les avec intention. Les tueurs silencieux du travail à distance sont l’isolement, la supposition et l’invisibilité. L’objectif n’est pas seulement la flexibilité, c’est la productivité et la vitalité.

Selon vous :

  1. Quelles valeurs tacites sont perdues sans participation en personne ?
  2. Comment les leaders peuvent-ils récompenser la collaboration ?

La pause “Zoom”

Lâchez votre écran pour 60 secondes !

The Zoom stretch de Seth Godin

https://seths.blog/2024/07/the-zoom-stretch/

Il existe de nombreuses raisons structurelles pour lesquelles les réunions en personne ne contiennent pas de pause toutes les 12 minutes. Cela nécessite trop de temps pour s’arrêter puis redémarrer. Mais ces règles ne s’appliquent pas à Zoom.

Détachez-vous de vos écrans! Levez-vous. Nous serons de retour dans 60 secondes.

Si cela ne vaut pas la peine de revenir, la réunion devrait déjà être terminée.

Si vous êtes dans cette réunion, soyez vraiment là, impliquez-vous, faisons bouger les choses.

Ou bien nous en avons terminé.

Comment développer l’intelligence collective de son équipe ? Par Lamyae Joti

Travailler en équipe est l’un des meilleurs moyens qui favorisent l’atteinte de grands objectifs et la réalisation de grands projets d’entreprise.

Toutefois, pour parvenir à un tel résultat, il faut la mise en œuvre d’une intelligence collective. Cette dernière représente l’élément déclencheur de la productivité de toute l’équipe.

Dans l’application de l’intelligence collective, il faut se servir de certains outils afin de consolider les relations entre les membres et pour promouvoir la cohésion. De nos jours, presque tous les dirigeants d’entreprises et leaders recherchent des solutions adéquates pour instaurer une parfaite intelligence collective au sein des groupes de travail.

Que devez-vous faire pour développer l’intelligence collective de votre équipe, dans votre entreprise ou start-up ?

C’est ce que nous verrons ensemble dans cet article.

Intelligence collective : Définition

L’intelligence collective est avant tout une stratégie de travail en équipe. Elle consiste à organiser les activités en faisant intervenir chaque membre du groupe.

Dans le domaine de l’entreprise, l’intelligence collective consiste à faire travailler tout le personnel (collaborateurs, salariés, clients, etc.) pour l’atteinte d’un objectif commun.

Chacun des membres de l’équipe apporte une valeur qui permettra d’obtenir des résultats efficaces.

Sur le plan intellectuel, la notion de l’intelligence collective relève de la fusion ou du regroupement de plusieurs compétences.

Toutefois, avant que cela ne soit effectif, les membres traversent plusieurs étapes d’évolution en équipe qui permettent de construire un fonctionnement collectif solide et d’installer des règles de base partagées.

On ne parle donc d’intelligence collective que lorsqu’il s’agit d’une communauté d’individus.

Pourquoi mettre en œuvre une intelligence collective dans son équipe ?

L’intelligence collective agit comme un moteur de performance en structurant l’organisation, la décision et les relations au sein de l’équipe.
Trois leviers en particulier soutiennent cette dynamique et façonnent durablement la qualité du collectif.

Un levier stratégique pour aligner les efforts
Elle aligne les contributions individuelles autour d’une vision commune et d’objectifs partagés.

Cette convergence crée un cadre clair où chacun comprend la valeur attendue de son rôle.

Le chef de projet adopte alors une posture de facilitateur du collectif : il clarifie les attendus, rythme les temps d’échange et favorise l’expression de chacun.

Cette approche stimule l’engagement et transforme les réunions en espaces de construction, portés par une dynamique collective tournée vers la résolution concrète des enjeux.

Un levier décisionnel pour fiabiliser les choix

En prolongeant cet alignement, l’intelligence collective enrichit la prise de décision en mobilisant la diversité des expertises. Elle multiplie les angles d’analyse et élève le niveau de fiabilité des choix produits.

Des études du MIT Center for Collective Intelligence montrent qu’un groupe hétérogène, coordonné avec méthode, aboutit à des solutions plus robustes et plus innovantes qu’un expert isolé.

Pour atteindre ce niveau de performance, certaines pratiques structurent efficacement les échanges : Rétrospectives orientées actions, ateliers de décision collaborative comme le « 1-2-4-All » ou encore indicateurs co-construits qui transforment les discussions en décisions tangibles et partagées.

Un levier relationnel pour stabiliser le collectif

Cet ancrage décisionnel s’accompagne d’un renforcement des liens entre les membres, qui installent des comportements de coopération durable.

L’écoute active, la confrontation constructive et la responsabilisation mutuelle deviennent des réflexes partagés.

Ces dynamiques fluidifient les interactions, sécurisent la transmission des savoirs et facilitent l’intégration des nouveaux.

Le travail en binômes, les wikis vivants, les guildes thématiques ou les rapports d’étonnement enrichissent ce capital relationnel et entretiennent un apprentissage continu.

Une dynamique apprenante et innovante

Cette posture de facilitateur transforme l’équipe en communauté apprenante, capable d’évoluer rapidement, de décider collectivement et de concevoir des solutions nouvelles face aux défis complexes.

Comment développer l’intelligence collective en équipe par le management ?

L’intelligence collective progresse quand le management crée les conditions pour que chacun contribue pleinement et prenne part aux décisions.

Ce rôle dépasse la coordination des tâches : il s’agit d’orchestrer les interactions pour en faire un levier de performance collective.

Donner de la visibilité sur le travail de chacun

L’équipe coopère mieux quand chacun comprend la finalité de ce qu’il fait et ce que font les autres.

Le manager ou chef de projet peut afficher une vue d’ensemble simple des contributions (tableau des responsabilités, avancement par livrable) et la réactualiser régulièrement avec l’équipe.

Cela renforce la clarté et réduit les zones d’ombre qui freinent la collaboration.

Rendre les temps collectifs plus engageants

La manière d’animer les réunions influence directement l’envie de participer.

Le manager ou chef de projet peut commencer par clarifier à l’avance les objectifs de chaque temps collectif et les livrables attendus, puis varier les modes d’échange : séquences en petits groupes, tours de table ciblés, synthèse visuelle en direct.

Canaliser les tensions pour préserver l’élan du groupe

Dans les équipes pluridisciplinaires, les désaccords sont fréquents.

Le manager ou chef de projet les traite sans les laisser s’enliser : il reformule les points de blocage, recentre sur les faits, puis fait formaliser les options envisagées par les personnes concernées.

Capitaliser sur les moments clés de la vie d’équipe

Chaque arrivée, départ ou changement dans l’organisation du travail peut renforcer le collectif s’il est préparé.

Le chef de projet peut demander à un nouvel arrivant de partager son regard sur les pratiques de l’équipe après quelques semaines, et organiser des mini-bilans avec ceux qui changent de rôle ou de mission pour capter leur expérience.

Impliquer les cadres seniors dans la dynamique collective

Dans de nombreux projets, le collectif dépasse le cercle opérationnel : il inclut aussi des cadres seniors ou managers fonctionnels, souvent très sollicités et engagés sur plusieurs fronts. Leur participation influence directement la cohésion de l’équipe et la fluidité des décisions.

Le chef de projet peut rencontrer des résistances : disponibilité limitée, priorités concurrentes ou réticence à s’impliquer dans un projet qu’ils ne pilotent pas directement. Pour maintenir l’élan collectif, il devient essentiel de créer un climat de coopération adapté à ces profils expérimentés.

Créer des espaces d’échanges individuels

Des entretiens en face à face, menés dès les phases amont du projet, permettent d’identifier leurs attentes, leurs contraintes et leurs priorités. Ces échanges personnalisés favorisent un climat de confiance et posent les bases d’un dialogue constructif.

Adapter la communication à leurs modes de fonctionnement

Observer leur manière de traiter l’information aide à ajuster le canal et le format de communication : supports visuels synthétiques pour les profils analytiques, discussions orales pour ceux qui privilégient l’argumentation verbale. Cette personnalisation facilite la compréhension mutuelle et réduit les blocages.

Valoriser leurs apports dans les temps collectifs

Associer ces cadres à des décisions clés, leur confier des sujets à forte valeur ou souligner leurs contributions en réunion renforce leur engagement et légitime leur rôle auprès de l’équipe.

Entretenir la reconnaissance et le feedback

Partager les réussites, remercier leurs apports devant l’équipe ou organiser des bilans réguliers installe un climat de considération mutuelle. Cette reconnaissance entretient leur adhésion et renforce l’alignement collectif.

Quels sont les piliers de l’intelligence collective ?

L’application de l’intelligence collective exige la mise en œuvre de certains éléments. Ceux-ci déterminent l’organisation de l’équipe et son fonctionnement.

Ils sont généralement connus sous la notion des 5 C

  • Créativité
  • Compassion
  • Collaboration
  • Communication
  • Critique ou Réflexion collective

Le regroupement de chacun de ces éléments rend effective l’intelligence d’équipe. En tant que manager ou leader d’équipe, il est fondamental de prendre connaissance de ces piliers afin de savoir comment la mettre en œuvre.

Voyons chaque composante de plus près :

1.     La créativité

La créativité est le premier déterminant de l’intelligence collective. Dans l’approche des 5 C, elle consiste à innover dans le déploiement de stratégies de management. Pourquoi ?

Pour aboutir à de grands résultats, tout simplement. C’est donc un facteur qui fait appel à l’intelligence créative et à l’innovation collective. Chaque membre de l’équipe est donc appelé à mettre à contribution ses compétences relatives à la créativité pour proposer ou initier de nouvelles idées.

2.     La compassion

La compassion est à la base de toutes les actions de solidarité mise en œuvre par un groupe de personnes et de travailleurs. Dans son application, elle exige l’entraide, l’amitié, l’écoute et la convivialité entre les membres. Un tel mode de fonctionnement permet de renforcer les relations et d’établir une forte base d’entente. En plus d’être une qualité, la compassion constitue un facteur idéal pour parvenir réellement à une intelligence collective.

3.     La collaboration

Pour un bon déploiement de l’intelligence collective au sein d’une structure, il faut nécessairement une collaboration entre les membres de l’équipe concernée. Ceux-ci doivent forcément discuter de toutes les actions à mener. Ils doivent s’accorder, trouver des compromis si nécessaires, pour aboutir des décisions productives. La collaboration est plus qu’un simple déterminant. Elle représente un principe de base pour le bon fonctionnement des entreprises.

4.    La communication

Une équipe sans communication ne peut pas connaître l’intelligence collective. C’est pourquoi il existe de nos jours, plusieurs outils technologiques permettant aux membres d’une communauté de discuter et de collaborer de manière plus efficiente sur des questions d’ordre professionnel. Le manager ici se doit de laisser s’exprimer chaque coéquipier et faire preuve d’une bonne écoute. Ainsi, chacun peut communiquer librement et donner son point de vue sur les problématiques et défis.

5.    La réflexion collective

Elle est également connue sous le nom d’Esprit critique. La prise de recul face aux apports et aux idées est un élément très important pour développer l’intelligence collective de son équipe. Il s’agit alors d’élever le niveau des réflexions, de les peaufiner et d’amener chaque membre à réfléchir sur tous les aspects de chaque sujet important. La réflexion collective est essentielle pour une prise de décision collective véritablement efficace.

Les 5 C présentés sont les outils de l’intelligence d’équipe. Ils supposent alors que pour développer une telle intelligence, vous avez nécessairement besoin d’instaurer ces principes au sein de l’équipe. En bref, sachez que l’échange et l’interaction entre les membres constituent la clé principale pour le renforcement des activités de l’équipe.

Les outils de l’intelligence collective

Ces outils soutiennent les dynamiques collectives au quotidien. Ils servent à rendre visibles les apports de chacun, à structurer les échanges et à entretenir une mémoire vivante de l’équipe.

Outils de synchronisation visuelle

Des tableaux d’avancement simples (Kanban, planning mural, carte des responsabilités) permettent à chacun de situer son travail dans le collectif et de suivre les interdépendances. Cette visibilité favorise les ajustements rapides entre métiers, sans attendre les réunions formelles.

Outils d’animation et de mobilisation

Des formats légers comme la météo d’équipe en ouverture, les check-in express ou les bilans à chaud en clôture donnent du rythme aux temps collectifs. Ces outils relancent l’attention, fluidifient les interactions et renforcent la cohésion, même sur des sujets complexes.

Outils de capitalisation vivante

Les wikis internes, les espaces de partage de pratiques et les carnets d’onboarding alimentés par les nouveaux arrivants construisent un socle de connaissances accessible à tous. Ces supports renforcent l’autonomie et limitent les pertes de savoir lors des départs.

Outils de structuration des savoirs critiques

Des sessions flash de partage entre pairs (exposés de 15 minutes, guildes thématiques) permettent de diffuser rapidement des expertises clés et d’éviter l’hyperspécialisation. Ces échanges réguliers entretiennent un niveau homogène de compétences dans l’équipe.

Conclusion

L’intelligence collective est une technique d’organisation très avantageuse pour une équipe d’entreprise. Elle permet d’instaurer la cohésion et d’éveiller le sens de créativité de chaque membre au sein de la communauté. Pour la développer, le manager ou le leader doit mettre en œuvre les 5 outils de l’intelligence d’équipe. Il s’agit notamment de la créativité, la compassion, la collaboration, la communication et la réflexion collective.


Lamyae Joti

Ingénieur de formation, Lamyae est Product Manager, certifiée Scrum Master avec plus de 7 ans en tant que développeur & formateur en développement informatique.

Sa double compétence en informatique et en gestion lui confère une vision globale et équilibrée des produits qu’elle gère. Aujourd’hui, elle gère le contenu et produits de BGDP.

Avez-vous trop de réunions pour être réellement productif ?

Comment récupérer de votre temps : Vous n’avez peut-être pas besoin de cette réunion…

How to Get Your Time Back: You Might Not Need That Meeting par Johanna Rothman

https://www.jrothman.com/mpd/2025/05/how-to-get-your-time-back-you-might-not-need-that-meeting/

Si vous êtes comme la plupart des gens que je connais, vous avez beaucoup trop de réunions. Cela conduit à un agenda surchargé et à des décisions retardées. Pire, cela signifie que le temps que vous passez en réunion vous empêche de faire « votre » travail, quel qu’il soit. C’est d’autant plus important que vous avez de responsabilités.

Plus votre responsabilité est grande, plus vous avez besoin de temps pour réfléchir. Et trop de réunions ne sont pas structurées pour que nous puissions réfléchir aux grands problèmes et à la façon de les résoudre.

La plupart d’entre nous n’ont pas besoin du nombre de réunions que nous avons sur notre agenda. Que pouvez-vous faire ?

Jetez un coup d’œil à votre calendrier. Commencez par décider sur les invitations d’autres personnes.

Examinez les invitations venant d’autres personnes.

Tout d’abord, éliminez toutes les réunions qui n’ont pas d’ordre du jour. Vous pouvez refuser et faire savoir à la personne que vous n’allez pas à des réunions sans ordre du jour. (Voir Managez-le ! et tout le chapitre sur les réunions pour voir vos alternatives.)

Ensuite, posez-vous ces questions :

  • À combien de ces réunions voulez-vous vraiment assister ? S’il n’y en a aucune, y a-t-il quelqu’un qui devrait être présent à cette réunion ? Pouvez-vous déléguer cette réunion à cette personne ? (Vous devrez peut-être coacher cette personne pour qu’elle puisse être efficace lors de cette réunion.) Trop souvent, nous sommes coincés sur des réunions récurrentes parce que ces discussions faisaient partie de nos responsabilités précédentes.
  • Ces réunions vous obligent-elles à prendre une décision ? Sinon, vous n’êtes pas obligé d’y aller. Cependant, vous devrez peut-être connaître les résultats ou les décisions de ces réunions. Dans ce cas, dites à l’organisateur de la réunion que vous voulez ces informations même si vous n’avez pas besoin de prendre de décision.

Avec un peu de chance, vous venez d’éliminer la moitié des réunions. Cela vous donnera un peu de temps dans votre semaine. Maintenant, regardez vos propres réunions. Desquelles avez-vous besoin ?

Passez en revue les réunions que vous créez.

Tout d’abord, assurez-vous d’avoir un ordre du jour, afin que tout le monde soit prêt pour la réunion. (Voir le Manage It Templates pour un éventuel ordre du jour de réunion de projet.)

Quel que soit le type de réunion, commencez par ces données afin que d’autres personnes sachent si elles doivent assister à votre réunion :

  • La date, le sujet, le lieu et les personnes invitées en tête de l’ordre du jour.
  • Les points dont vous souhaitez discuter et les décisions que vous aimeriez voir. Il ne s’agit pas du « Nous nous mettrons d’accord sur cette stratégie de produit », mais de « Choisissez la stratégie de produit pour le prochain trimestre. Je connais ces options jusqu’à présent… »
  • Tous les détails préparatoires dont les gens ont besoin à l’avance, afin qu’ils soient prêts pour la réunion.

Prévoyez des créneaux de temps pour chaque point à l’ordre du jour. En général, si je pense que les gens ont besoin de temps pour réfléchir à un point, je rédige un document. Envoyez ce document à l’avance et rappelez aux gens 24 heures à l’avance que vous souhaitez qu’ils le lisent.

Je suis également ouverte à l’idée de laisser 5 à 10 minutes au début de la réunion pour lire et discuter de ce document avant de discuter de la ou des questions en cours.

Maintenant que vous avez un ordre du jour, assurez-vous d’avoir les bonnes personnes afin de pouvoir décider maintenant et choisir ensuite quand revoir cette décision.

Partenaire de DantotsuPM, visitez le site pour toutes les formations certifiantes proposées. En particuliers celles sur Prince2 et AgilePM.

Décidez une fois, choisissez quand examiner les résultats.

De nombreuses décisions de management nécessitent une décision maintenant et une revue périodique.

La plupart de ces décisions sont fondées sur des risques, telles que :

  • L’architecture du produit, qui peut affecter le backlog du produit, la feuille de route et même la stratégie de l’entreprise.
  • La stratégie produit qui peut affecter le backlog produit, la stratégie produit, le portefeuille de projets et la stratégie d’entreprise.
  • Des obstacles qui affectent le temps de cycle, ce qui peut affecter toutes les décisions relatives au produit et à la stratégie.

Vous pourriez avoir d’autres risques qui nécessitent différents types de décisions.

Dans toute mon expérience de coaching et de consultation avec des managers, j’ai appris ces vérités :

  • L’ambiguïté est en fait notre amie, car nous n’avons jamais assez de données « réelles » pour prendre une décision vraiment éclairée lorsque nous devons prendre cette décision.
  • Nous pouvons obtenir des données qui doivent être suffisantes pour l’instant présent. (Voir les différentes visualisations de données suffisantes dans How Multitasking Affects Capitalization and What You Can Try Instead.)
  • Étant donné que les données vont changer, nous pouvons gérer l’ambiguïté en décidant quand prendre éventuellement une autre décision.

C’est pourquoi nous avons besoin des bonnes personnes, et seulement des bonnes personnes, pour discuter et prendre une décision raisonnable. Si vous et vos collègues êtes bloqués dans de longs délais de décision, choisissez des données, décidez, puis choisissez (Voir Why Manage Management Decision Time pour plus de détails.)

Je ne connais pas d’organisation qui puisse tolérer de longs cycles pour les décisions de management. Alors que je ne connais que des organisations qui veulent prendre des décisions plus rapidement. Nous pouvons raccourcir les boucles de rétroaction de la direction.

Mais que se passe-t-il si vous n’avez pas besoin d’une décision basée sur les risques à l’échelle de l’organisation ? Et si vous aviez juste besoin d’un peu d’information et que vous pouviez continuer ?

==> Utilisez votre réseau et essayez d’écrire, pas d’avoir des réunions.

Écrivez et posez des questions à votre réseau au lieu de le rencontrer.

Trop de managers ne réalisent pas qu’ils peuvent utiliser leur réseau à l’échelle de l’organisation pour obtenir les informations dont ils ont besoin. Leurs réseaux comprennent les équipes qu’ils dirigent et servent, leurs suiveurs ou collègues, et des personnes « éloignées » de l’organisation. Pour les réseaux, pensez vers le haut et vers le bas, en interne et à l’extérieur.

Voici quelques alternatives :

  • Lancez un fil de discussion par e-mail. Gardez le nombre de participants au minimum (peut-être cinq ou six personnes). Énoncez le problème et quand vous avez besoin d’une réponse. Ensuite, facilitez le fil de discussion.
  • Considérez un fil de discussion sur Slack/Teams de la même manière. Je trouve cela plus difficile parce que je ne peux jamais dire quand je verrai une réponse, et je ne sais pas comment organiser les informations.
  • Si vous n’êtes pas un haut dirigeant, vous pouvez choisir ce que vous voulez faire et vous excuser par avance. « J’ai ce problème. Je vois cette réponse spécifique. Si vous ne commentez pas d’ici (un certain nombre de jours raisonnables plus tard), je mettrai en œuvre cette décision à moins que vous ne me disiez non, et que vous proposiez une alternative. »

J’avoue que j’aime beaucoup cette dernière technique. Vous ne l’aimez peut-être pas. Mais que diriez-vous d’écrire ces questions et ensuite d’écrire les décisions ? Cela permet aux gens de suivre par la suite votre processus de prise de décision. Cela aide les autres à comprendre pourquoi vous avez pensé de cette façon et quand.

Cela pourrait également vous aider à retrouver plus de temps dans votre journée.

Libérez davantage de votre temps pour pouvoir réfléchir.

Bien que j’aime les méthodes de travail collaboratives, ce n’est parfois pas la solution. Et même avec beaucoup de collaboration, nous avons parfois tous besoin de plus de temps pour réfléchir, la plupart du temps seuls.

En tant qu’extravertie, j’aime parler des problèmes. Je me rends souvent compte de ce que je pense quand je parle (certains d’entre vous, introvertis, ont juste frissonné et grincé des dents). Cependant, j’apprends aussi ce que je pense quand j’ écris.

Si je suis occupée toute la journée, je ne pense pas sous l’une ou l’autre forme. Pire, je ne fais pas mon travail en profondeur, le travail que je suis la seule à pouvoir faire pour offrir de la valeur à mes divers clients.

Lorsque nous reconsidérons les réunions dont nous avons besoin et quand, nous pouvons récupérer un peu de notre temps pour réfléchir.

Comment épater votre Comité de pilotage projet (le « copil » ou Steering Committee) ? (Best of #5)

Préparer et participer aux réunions de comité de pilotage est l’une de vos responsabilités les plus importantes en tant que manager de projet.

Suivez ces 7 astuces et vous prendrez un meilleur départ avec votre comité de projet.

Comment épater votre Comité de pilotage projet (le « copil » ou Steering Committee) ? (Collection « Best of »)

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Prenez de bonnes notes et minutes de réunions car ce sont elles qui font l’histoire !

Les faits ne prennent toute leur signification que lorsqu’ils sont bien articulés dans une histoire.

Prendre note des faits est important car les faits sont importants. Cependant les faits seuls ne permettent pas d’apprendre. Ce sont les histoires qui permettent de comprendre, de mémoriser et donc d’apprendre.

Une histoire peut changer notre compréhension des faits et du monde.

Les meilleurs professeurs que j’ai eu la chance d’avoir étaient des conteurs, ils et elles racontaient une histoire qui me parlait. Elle me permettait de mémoriser les faits en comprenant leur signification et leur logique.

Aussi, vos notes et minutes de réunions de projet ne doivent pas être une liste de faits et de « bullet points » (liste à puces).

Votre compte rendu est un outil pour raconter une histoire et permettre aux participants comme aux autres lecteurs de s’approprier les faits, leur cohérence et leur évolution. Elles permettent de comprendre les risques rencontrés et les décisions prises, avec la logique qui a amené à ces décisions et les rôles des protagonistes dans cette histoire (sponsor, participants, acteurs, bénéficiaires).

Lorsque vous relisez vos notes, elles doivent vous rappeler une histoire que vous comprenez déjà et que vous transmettez à d’autres à travers votre compte rendu.

Et voici d’autres idée pour vous améliorer dans ce domaine critique pour tous les managers de projets.

Collaboration agile : Qu’est-ce que c’est, comment cela se ressent et pourquoi est-ce si important ?

La collaboration agile est difficile, mais réalisable !

Agile Collaboration: What It Is, How It Feels, and Why It Matters par Mike Cohn

https://www.mountaingoatsoftware.com/blog/agile-collaboration-what-it-is-how-it-feels-and-why-it-matters

Le travail d’équipe et la collaboration sont des pratiques essentielles à cultiver dans les projets agiles.

Qu’est-ce que la collaboration agile ?

La collaboration agile est la pratique de travailler ensemble efficacement au sein d’un cadre agile, comme Scrum, pour atteindre des objectifs communs. La collaboration agile consiste à favoriser une culture d’équipe performante où les membres de l’équipe travaillent ensemble, se responsabilisent mutuellement et s’améliorent continuellement grâce à des objectifs communs et à un soutien mutuel.

Comment se ressent la collaboration dans les équipes agiles ?

Une métaphore courante de la collaboration d’équipe agile est celle d’un équipage d’aviron : 8 personnes tirant chacune une rame dans une coquille de noix.

À moins que vous n’ayez fait partie d’un équipage d’aviron, vous ne savez peut-être pas à quel point cela capture parfaitement le sens et l’esprit de la collaboration agile.

Les rameurs utilisent le terme swing pour désigner un équipage dont les membres sont tous parfaitement synchronisés. Et je veux dire parfaitement synchronisé. Cela signifie que chaque rameur :

  • Met une rame dans l’eau exactement au même moment,
  • tire sur le même temps et la même distance à la même vitesse,
  • soulève la rame hors de l’eau en même temps, et
  • glisse vers l’avant au même rythme.

Le swing n’arrive pas très souvent. Quelqu’un est généralement décalé d’une fraction de seconde à un moment donné à chaque coup de rame, et c’est suffisant pour que tout le monde dans l’embarcation le ressente. Quand je ramais, notre bateau aurait pu faire une course entière sans avoir une seule fois vraiment atteint son swing.

(Oui, c’était généralement de ma faute. Merci d’avoir posé la question.)

Avantages de la collaboration agile

Il y a beaucoup de bons résultats lorsqu’une équipe interfonctionnelle permet d’obtenir la sensation de swing qui découle de la collaboration en travail d’équipe agile.

Passages de relais petits et fréquents. Les transferts de travail entre les membres de l’équipe sont fréquents, petits et sans tambour ni trompette, car les tâches sont conçues pour se chevaucher. Les membres de l’équipe deviennent comme des couples qui sont ensemble depuis assez longtemps pour qu’ils terminent la … (Avez-vous terminé ma phrase pour moi ?). Mais, au lieu de finir les phrases de l’autre, ils finissent le travail de l’autre.

Des meetings courts et précieux. Quand les équipes réussissent le swing de collaboration interfonctionnelle, les réunions sont courtes et précieuses car les boucles de rétroaction sont courtes et se déroulent en temps réel. Les membres de l’équipe travaillent ensemble et communiquent souvent, de sorte que la plupart des gens sont déjà à niveau, ainsi les réunions peuvent se concentrer sur ce qui compte.

Planification collaborative. Les équipes travaillent vers un objectif, et elles atteignent généralement cet objectif. Lorsqu’elles n’atteignent pas un objectif, tout le monde (y compris les leaders) le comprend, les objectifs ne sont pas des garanties.

État d’esprit essayer-et-voir. Dans les cultures agiles et collaboratives, c’est l’état d’esprit d’essayer et voir qui prévaut. Au lieu de se disputer sur des pratiques (telles que les témoignages d’utilisateurs par rapport aux histoires utilisateurs ou points d’histoire par rapport au temps nécessaire) ou des cadres de travail (Scrum vs. SAFe vs. Kanban), les équipes expérimentent et décident elles-mêmes de ce qui fonctionne le mieux.

Environnement de travail amusant et engageant. Dans une équipe agile en plein essor, les membres de l’équipe s’amusent. Je décrie parfois le fait que le travail s’appelle travail. Je veux sincèrement que le travail soit amusant. Je ne suis pas naïf : Je sais que ce ne sera pas toujours le cas. Mais quand une équipe travaille bien ensemble, c’est amusant.

Un succès inévitable. Enfin, avec le swing, il y a un sentiment que le succès est inévitable. Au fur et à mesure qu’une équipe Scrum apporte de plus en plus de valeur, obtenant résultat après résultat, l’équipe commence presque à se considérer comme inarrêtable.

La collaboration agile est difficile, mais réalisable

Réaliser tout cela n’est pas facile, tout comme il n’est pas facile pour une équipe d’aviron de se synchroniser parfaitement. Mais lorsqu’une équipe collabore bien, c’est un signe que vous avez construit une équipe agile réussie.

En tant qu’entreprise, Mountain Goat Software a la chance de travailler avec de nombreuses équipes agiles différentes, en les formant pour améliorer la collaboration et trouver leur équilibre.

Mountain Goat Software a appris qu’il n’y a pas de voie unique pour y parvenir. Certaines équipes ont besoin d’affiner leur compréhension de l’agilité, d’autres doivent écrire ensemble de meilleures histoires d’utilisateurs ou collaborer sur des plans agiles.

Daily Scrum – Un format simple pour arriver à « Done » par Sam Adesoga

Le Daily Scrum ne doit pas être ni devenir une mise à jour de statut pour le Scrum Master, le Delivery Lead ou le Product Owner !

Daily Scrum – A simple format for getting to “Done” by Sam Adesoga

https://samadesoga.me/posts/daily-scrum-getting-to-done/

Les participants à notre formation Scrum me demandent souvent quel est le format que je préfère pour un Daily Scrum. Je ne sais pas si j’ai un format préféré, mais ce n’est certainement pas : « Ce que j’ai fait hier, ce que je prévois de faire aujourd’hui et discussion sur les bloqueurs ».

Cependant, si je peux vous amener à réfléchir à l’objectif du Guide Scrum,

… pour inspecter la progression vers l’objectif de sprint et adapter le backlog de sprint si nécessaire, en ajustant le travail prévu à venir. Guide Scrum, 2020

Un bon format pourrait être :

  1. Les développeurs se remémorent l’objectif du sprint ; ce simple point de départ permet de ramener les objectifs de sprint au centre de l’attention des développeurs.
  2. Passez en revue les éléments du backlog (l’arriéré de produit) dans le Sprint ; Discutez de l’état d’avancement de ces items et soulignez tout problème concernant chacun. Il est important de toujours penser à la « définition de Done » lorsque vous discutez de l’avancement des éléments du backlog qui contribuent à l’objectif du sprint.
  3. Assurez-vous qu’il existe un plan pour progresser vers les objectifs de sprint, par exemple, en s’assurant que chaque membre de l’équipe est clair sur la voie à suivre pour atteindre l’objectif de sprint.
  4. Dans le cadre de l’élaboration du plan pour les prochaines 24 heures, les développeurs doivent prêter attention aux membres de l’équipe qui pourraient avoir besoin d’aide ; des pratiques telles que le mobbing (une approche collaborative où un groupe de membres de l’équipe, souvent l’ensemble de l’équipe, se concentre simultanément sur une seule tâche ou un seul problème) ou le pairing (la programmation en binôme est une technique de développement logiciel Agile dans laquelle deux développeurs font équipe sur un seul ordinateur. Les deux personnes travaillent ensemble pour concevoir, coder et tester des user stories) peuvent aider à faire passer des éléments spécifiques du backlog de sprint à « Done ».
  5. Passez en revue tous les autres éléments du backlog du Sprint Backlog qui ne contribuent pas nécessairement à l’objectif du produit.

Quel que soit le format que vos équipes choisissent d’adopter, il est important que les développeurs comprennent l’objectif du Daily Scrum et continuent à y trouver de la valeur. En tant que coach agile chez J P Morgan, j’ai encouragé les développeurs à réfléchir régulièrement sur le Daily Scrum, à identifier les pratiques qui ne servaient pas l’équipe et les développeurs ont expérimenté différents formats de Daily Scrum jusqu’à ce qu’ils trouvent un format adapté à leur contexte.

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Nous savons tous que le Daily Scrum ne doit pas être une mise à jour de statut pour le Scrum Master, le Delivery Lead ou le Product Owner, mais une réunion de planification pour les développeurs. Cependant, j’ai observé que lorsque les équipes n’utilisent pas d’objectif de sprint, le Daily Scrum dégénère très rapidement en une mise à jour de statut.

Pour en savoir plus sur le Framework Scrum et ses principes, rejoignez l’un de nos Scrum Workshops dans les semaines à venir.

Sam Adesoga

Sam Adesoga

Coach Agile Principal et Formateur Principal at Valuehut, un cabinet de conseil en coaching et formation agile, qui aide les organisations à explorer les méthodes de travail agiles. Sam a beaucoup d’expérience dans le soutien aux dirigeants et à leurs équipes en matière d’agilité d’entreprise avec un objectif ambitieux : Aider les organisations à développer un état d’esprit agile nécessaire pour continuer à garder une longueur d’avance sur la concurrence et les marchés.

Comment pouvez-vous rapidement améliorer vos minutes de réunion de projet ?

Comment pouvez-vous rapidement améliorer vos minutes de réunion de projet ?

Il est parfois bon de revenir à l’essentiel, tant pour les débutants que pour les managers de projet expérimentés, en matière de prise de notes de réunion.

How to Master Project Meeting Minutes par Harry Hall

https://projectriskcoach.com/project-meeting-minutes/

Vous et les membres de votre équipe perdez-vous le fil de ce dont vous avez discuté lors de vos précédentes réunions de projet ? Qui devait mener à bien cette action ? À qui appartient ce risque ? Qu’avons-nous décidé de faire au final ? Cela vous semble-t-il familier ? Parlons de la façon de maîtriser vos minutes de réunion de projet.

relisez ce billet

Lorsque j’ai publié le billet 4 problèmes de réunion de projet : Lesquels voulez-vous surmonter ? , j’ai reçu plusieurs questions sur l’enregistrement des minutes de réunions.

Les questions comprenaient :

  • Qui devrait les écrire ?
  • Qu’est-ce qui fait un bon scribe ?
  • Que doivent contenir les minutes ?
  • Comment vous assurez-vous que les minutes sont exactes ?
  • Où devez-vous stocker les minutes ?

Permettez-moi de partager quelques conseils. Je me souviens du commentaire de George Orwell : « Parfois, le premier devoir des hommes intelligents est de reformuler l’évidence. »

Il est bon de revenir à l’essentiel, tant pour les débutants que pour les managers de projet expérimentés.

Qui devrait jouer le rôle de scribe ?

Certains managers de projet préfèrent les écrire eux-mêmes, en servant d’animateurs et de scribes. Cependant, je recommande fortement qu’une autre personne les rédige pour les réunions avec sept personnes ou plus.

Considérez les réunions comme des opportunités de développement personnel pour un administrateur de projet ou un chef de projet junior. En écrivant, ils découvrent l’entreprise, sa culture, sa dynamique d’équipe et le projet lui-même.

Caractéristiques des meilleurs scribes

Écouter et capturer les aspects critiques d’une réunion est un travail difficile. Voici quelques compétences que vous devriez rechercher chez un scribe.

  • À l’écoute
  • Penseur critique
  • Capacité à effectuer plusieurs tâches à la fois
  • Capacité à penser à plusieurs niveaux
  • Bon sens de l’organisation et de l’intégration

Que doivent contenir les minutes d’une réunion de projet ?

Les minutes ne doivent pas inclure chaque mot prononcé lors d’une réunion. Les minutes doivent plutôt être concises et comprendre les éléments suivants (RAID):

  • Risques. Capturez les menaces et les opportunités dans votre registre des risques.
  • Actions de suivi. Les mesures de suivi doivent inclure la date de l’action, les mesures à prendre, la personne responsable, la date d’échéance, le statut (ouvert ou fermé).
  • Issues (problèmes). Les problèmes sont des menaces qui se sont produites et qui nécessitent d’être managées. Les problèmes doivent inclure la date d’occurrence, la description, la personne responsable, la date d’échéance, le statut.
  • Décisions ou dépendances. Quelles décisions ont été prises ? Qui a pris la décision ? Quelle était la date de la décision ? Quels facteurs ont contribué à cette décision ?

Comment valider les minutes d’une réunion

L’animateur de la réunion, souvent le manager de projet, est responsable de l’exactitude des minutes. Comment les chefs de projet peuvent-ils garantir un compte rendu de qualité ?

  1. Résumez et examinez les RAID au cours de vos réunions au fur et à mesure qu’ils se produisent
  2. Examinez et validez les RAID à la fin de vos réunions
  3. Le scribe doit rédiger et envoyer les minutes au manager de projet
  4. Le manager de projet doit examiner et modifier les minutes
  5. Distribuez les minutes à l’équipe de projet et aux parties prenantes requises, ainsi qu’une note demandant leur relecture et leurs commentaires sur le contenu.

Où doit-on conserver les minutes d’une réunion ?

Si vous utilisez des documents de traitement de texte, stockez les compte-rendus dans un emplacement prédéfini. Assurez-vous que les membres de votre équipe y ont accès.

Vous pouvez capturer et transférer des RAID dans un système d’information de projet. Le système doit permettre une récupération et une navigation faciles. Il existe de nombreux outils sur le marché à cet effet. Ces outils permettent aux membres de l’équipe de projet d’afficher les RAID au sein d’un projet ou d’un programme (par exemple, plusieurs projets gérés en fonction d’un ensemble commun d’objectifs).

Modèle GRATUIT de minutes de réunion

Vous n’avez pas de modèle pour les minutes ? Cliquez ici pour télécharger mon modèle. Rangez-le dans un endroit facilement accessible. N’hésitez pas à modifier le modèle comme bon vous semble.

Faites vos devoirs

Examinez vos projets. Quels sont vos problèmes de communication ? Les problèmes sont-ils liés à de mauvaises minutes de réunions ? Déterminez comment vous pouvez améliorer le processus de capture des minutes de vos réunions.

Pour tenir dans la durée, construisez des journées équilibrées !

Les demandes sont si nombreuses et tout parait si important qu’il est souvent difficile de faire le tri…

#1 – Définissez vos priorités

En fin de semaine pour ce que vous allez accomplir la semaine suivante. Et chaque matin sur vos 3 actions du jour pour atteindre votre objectif hebdomadaire.

#2 – Prêtez attention aux réunions

Quelques suggestions:

  • Ni avant 9:00 et ni après 18:00
  • Une journée ou deux matinées sans réunion par semaine
  • Questionnez-vous sur la nécessité pour vous d’y participer
  • Refusez des réunions à des horaires inadaptés pour vous (ou proposez d’autres créneaux)

#3 – Chaque semaine, bloquez des créneaux de concentration pour produire vos livrables personnels.

#4 – Traitez les mails en batch sur quelques créneaux par jour, pas plus.

Quels sont les rôles des participants aux réunions de projet ?

Les réunions de projet peuvent être exaspérantes. Certaines personnes viennent sans préparation. D’autres s’écartent du chemin. Et qu’en est-il de ceux et celles qui vérifient constamment leurs e-mails ?

What are the Project Meeting Roles? par Harry Hall

https://projectriskcoach.com/project-meeting-roles/

Améliorez vos réunions grâce aux rôles de réunion de projet.

Les membres de l’équipe quittent les réunions sans décision, sans direction et sans savoir à quoi s’attendre ensuite. Les individus assoiffés de pouvoir dominent les discussions, tandis que les plus humbles ne disent rien.

Les réunions peuvent être une perte de temps et d’argent absolue.

Comment mieux gérer vos réunions et obtenir des résultats ?

Attribuez des rôles de réunion qui permettent de résoudre les problèmes de réunion courants.

Facilitateur / animateur

Le facilitateur commence chaque réunion en énonçant son objectif, en passant en revue les points à l’ordre du jour et en posant l’attribution des rôles de la réunion.

Il ou elle commence ensuite par le premier point de l’ordre du jour. Il ou elle engage les participants, en veillant à ce que chacun ait la possibilité de contribuer.

En outre, les facilitateurs devraient prendre l’initiative de résumer les résultats de chaque point de l’ordre du jour avant de passer au point suivant. Cela permet non seulement à l’équipe de valider le résumé, mais aussi de s’assurer que le scribe capture les informations les plus pertinentes et les plus précises.

Passez en revue les principales décisions, les mesures de suivi, les enjeux et les prochaines étapes à la fin de la réunion.

Scribe

L’un des rôles les moins appréciés mais les plus importants est celui de scribe. Le scribe a une position difficile. Un scribe doit être capable d’écouter, de résumer et de capturer les éléments essentiels pour le compte rendu de la réunion de projet.

Gardien

Le gardien maintient les participants à la réunion sur la bonne voie. Lorsque les individus s’écartent du sujet, le gardien les ramène au point de l’ordre du jour en cours.

Si les membres de l’équipe identifient un élément qui mérite une discussion plus approfondie, le facilitateur demande au scribe de capturer l’élément dans le « Parking Lot ».

Maître du temps

Le facilitateur devrait indiquer la durée de chaque point de l’ordre du jour. Le maître du temps surveille le temps écoulé sur chaque sujet.

Périodiquement, le maître du temps rappelle à tout le monde le temps restant, par exemple « Il reste cinq minutes ». Un peu plus tard, « Il reste deux minutes », et enfin, « Le temps est écoulé ».

Coach

Le rôle de coach est rarement utilisé, mais il peut être extrêmement utile. Le coach est chargé de faire des observations sur la réunion.

  • Comment s’est déroulée l’interaction entre les membres de l’équipe ?
  • Dans quelle mesure les membres ont-ils bien traité les points de l’ordre du jour avec les résultats souhaités ?
  • Les participants sont-ils restés sur le bon chemin et ont-ils atteint l’objectif de la réunion ?

À la fin de la réunion, le facilitateur demande au coach de prendre 2-3 minutes pour présenter ses observations.

De plus, en tant que coach, vous devez vous concentrer sur le processus de réunion, et non sur les individus. Votre rôle est de fournir une rétroaction constructive, en maintenant un environnement favorable et sans jugement qui encourage la croissance et l’amélioration.

Rendez vos réunions de projet merveilleuses

Engagez et éduquez vos parties prenantes. Tirez parti des commentaires du coach. Utilisez vos compétences en leadership pour influencer un bon comportement.

De combien de rôles avez-vous besoin ? Pour une réunion avec 3-4 personnes, vous n’aurez peut-être besoin que d’un animateur et d’un scribe. Pour une réunion avec 10 personnes ou plus, vous pouvez utiliser tous ces rôles.

Enfin, formez les membres de votre équipe sur les rôles de réunion. Pensez à partager cet article de blog. Attribuez des rôles le cas échéant, évaluez les résultats et aidez l’équipe à mûrir.

DantotsuPM – Meilleur billet de 2016 : « Brise-glace virtuels pour équipes travaillant à distance ! »

Si vous organisez une réunion, exécutez rapidement cette discussion « brise-glace ».

Le billet original de Lisette Sutherland.

Voici certaines de ses questions préférées.

  • Quelle sont vos mets préférés et moins appréciés ? Une question si simple dont les réponses semblent toujours faire découvrir quelque chose d’intéressant !
  • Quel était votre premier job ?
  • Racontez une histoire à propos de votre nom…
  • Complétez la phrase « Quand je danse, je ressemble à __________ »
  • Quelle est votre bande dessinée préférée ?
  • Quel est votre moment préféré [de l’année, du mois, de la semaine, de la journée… ] ?
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4 problèmes de réunion de projet : Lesquels voulez-vous surmonter ?

Chers amis, avez-vous vécu des réunions de projet inutiles ces derniers temps ?

Bien que les réunions soient un outil de communication fondamental, de nombreuses réunions ne permettent pas d’obtenir de résultats réels.

Four Project Meeting Problems – Which Ones Do You Want to Overcome? Par Harry Hall

https://projectriskcoach.com/project-meeting-problems/

Examinons quatre problèmes courants liés aux réunions de projet : objectif peu clair, changement de sujet, indécision et direction peu claire.

4 problèmes liés aux réunions de projet

#1 – Objectif peu clair

Bien trop souvent, les gens assistent aux réunions sans savoir pourquoi ils ont été invités. Vous pouvez parier alors que la réunion se déroulera sans but sans objectifs clairs.

L’animateur de la réunion doit spécifier l’objectif dans l’ordre du jour, par exemple :

Sélectionner les histoires utilisateur de l’arriéré de produit pour le prochain sprint.

Ensuite, commencez vos réunions en indiquant l’objectif de la réunion, par exemple :

Le but de cette réunion est de sélectionner les histoires utilisateur de l’arriéré de produit pour le prochain sprint.

De plus, passez en revue les sujets à l’ordre du jour et les règles de base. Demandez s’il y a des questions ou des points supplémentaires à mettre à l’ordre du jour.

Ces étapes permettent de s’assurer que tout le monde est sur la même longueur d’onde et comprend l’objectif, les sujets et la conduite souhaitée.

#2 – Changement de sujet

Beaucoup de gens sont des libres penseurs, sautant d’un sujet à l’autre. Cependant, cette digression diminue l’efficacité et l’efficience de vos réunions.

L’examen de votre objectif et des points de l’ordre du jour définit les limites de vos réunions. Qu’est-ce qui est dans le périmètre de cette rencontre ? Qu’est-ce qui est hors périmètre ?

De plus, utilisez un Parking-lot. Les réunions stimulent les idées. Les gens ne veulent pas les oublier. Capturez l’idée ou les sujets de discussion pour les traiter plus tard.

De plus, envisagez d’utiliser un gardien (du temps et de l’agenda). Ce membre de l’équipe maintient l’équipe sur la bonne voie. Si les membres de l’équipe errent sans but, le gardien redirige l’équipe vers le sujet actuel.

#3 – Indécision

Nous quittons souvent les réunions de projet sans aucune décision. Pourquoi ?

Premièrement, il y a un manque de clarté sur qui prendra les décisions. Deuxièmement, personne ne sait comment les décisions seront prises (par exemple, par consensus). Enfin, il y a un manque d’information ou d’analyse. Déterminez ces facteurs avant la réunion.

De plus, le nombre de participants à la réunion est important. Il existe une relation inverse entre le nombre de participants et la rapidité avec laquelle les décisions sont prises. Assurez-vous d’avoir une représentation adéquate des parties prenantes, mais limitez les participants à 8 personnes lorsque cela est possible.

#4 – Direction peu claire

Les managers de projet peuvent ne pas assurer le suivi de l’agenda de la réunion. De plus, il peut ne pas avoir de méthode pour capturer les actions et les décisions importantes.

Une réunion bien menée doit aboutir à une direction claire et faire progresser votre projet. Le facilitateur doit s’assurer que les éléments suivants sont saisis pendant la réunion et examinés à la fin de la réunion :

Le RAID

  • Risques. Capturez les menaces et les opportunités dans votre Registre des risques.
  • Actions : Les actions doivent inclure : la date de la mesure, les mesures à prendre, la personne responsable, la date d’échéance, le statut (ouvert ou fermé).
  • Issues / Problèmes. Les problèmes sont des menaces qui se sont matérialisées et qui nécessitent une gestion. Les questions doivent inclure : la date de début, la description, la personne responsable, la date d’échéance, le statut.
  • Décisions. Quelles décisions ont été prises ? Qui a pris la décision ? Quelle était la date de la décision ? Quels facteurs ont contribué à la décision ?

Réparez des réunions quotidiennes « Daily Scrum » devenues cauchemardesques !

Vos réunions quotidiennes débordent-elles la durée agréée ? Est-ce qu’une ou deux personnes s’accaparent la conversation ?

Découvrez plusieurs conseils pour aider les membres de l’équipe à reconnaître quand leur contribution a duré un peu trop longtemps (ou trop peu).

Troubleshooting Nightmarish Daily Scrums par Mike Cohn

https://www.mountaingoatsoftware.com/blog/troubleshooting-daily-scrums

La daily scrum est censée être une réunion de synchronisation d’équipe rapide et factuelle. Elle peut rapidement se transformer en cauchemars récurrents si les gens parlent trop ou trop peu. En tant que Scrum Masters, notre travail consiste à faciliter ces réunions quotidiennes afin qu’elles atteignent leur objectif et restent dans leur zone de temps.

Deux vidéos suivent. Et vous devrez peut-être regarder les deux, en fonction de votre équipe !

La première vidéo présente quatre choses que vous pouvez essayer pour faire bouger la réunion lorsque quelqu’un domine la conversation. La deuxième vidéo traite des choses à essayer lorsque certaines personnes donnent des réponses vagues (ou ne parlent pas du tout !). Si vous préférez lire, une transcription suit chaque vidéo.

Les deux vous aideront à éviter deux monstres des daily scrum : Les vampires qui sucent le temps et les zombies qui tuent l’énergie.

4 choses à essayer lorsque les gens parlent trop dans les mêlées quotidiennes

Certaines personnes ne veulent tout simplement pas se taire. Peut-être qu’elles sont nerveuses à propos de quelque chose, alors elles parlent. Peut-être pensent-elles que tout le monde veut entendre chacune de leurs pensées. Peut-être elles ne sont même pas conscientes qu’elles parlent autant. Mais trop parler peut être un énorme problème, surtout dans une réunion avec une limite de temps courte comme le daily scrum. Voyons ce que vous pouvez faire à ce sujet.

1. Mettez une minuterie

2 petites minutesUne solution courante pour un membre de l’équipe trop bavard consiste à lancer un chronomètre d’une minute lorsque chaque personne commence à donner sa mise à jour pendant le daily scrum. Ce n’est pas grave, mais je trouve que cela oblige souvent une équipe à finir trop vite. La mise à jour de quelqu’un gagnerait souvent à prendre 2 à 3 minutes. Ceci est déconseillé, cependant, avec une minuterie d’une minute par personne.

2. Faites en sorte que l’horloge soit bien visible

Un Scrum Master, Kayleigh, m’a enseigné notre deuxième technique. Au fur et à mesure que chaque personne donne une mise à jour, elle tient un ballon de 3 kg droit devant elle.

La balle n’est pas très lourde, mais la tenir bras tendus devant vous deviendra plus difficile au fur et à mesure que vous parlerez. Ce que j’aime dans cette technique, c’est que la position devient de plus en plus difficile à tenir au fil du temps. Cela le rend très efficace.

3. Interrompez poliment

Voici un troisième conseil pour faire face à un membre de l’équipe trop bavard. Interrompez-le, surtout si vous êtes le Scrum Master ou le coach. Nous hésitons à l’interrompre parce que nous pensons que ce serait impoli. En réalité, ce qui est impoli, c’est que cette personne monopolise la réunion avec son soliloque.

Si quelqu’un est vraiment en train de blablater, le Scrum Master (ou, vraiment, n’importe qui sur le Équipe Scrum) doit les interrompre. Sinon, c’est impoli envers tout le monde dans la réunion.

Voici une bonne façon de l’interrompre poliment. Dites à la personne qui parle qu’il semble qu’elle ait encore beaucoup à dire sur ce sujet. Ajoutez ensuite que tout le monde doit avoir la possibilité de faire le point dans le délai prescrit de 15 minutes. Enfin, proposez de revenir vers l’orateur loquace une fois que tout le monde aura eu l’occasion de partager.

Certaines équipes utilisent l’idée bien connue d’un parking (parking lot) pour de tels sujets. Annoncez simplement que vous ajoutez cet élément au parking et que vous y reviendrez une fois que chacun aura fourni sa mise à jour.

D’autres équipes s’intéressent un peu plus à l’esprit agile des choses et se référeront au parking comme à la « seizième minute ».

4. Créez un signal

demander la permissionSi vous avez du mal à interrompre quelqu’un, voici une technique qui vous aidera. Au lieu d’interrompre la personne, donnez aux membres de l’équipe un moyen de signaler poliment à la personne qu’elle est trop longue. Pensez aux discours de remise des Oscars. Parlez trop longtemps et l’orchestre commence à jouer. Continuez à parler et ils jouent plus fort.

Une façon amusante d’obtenir le même effet est d’utiliser Elmo, le personnage de Sesame Street. Ensuite, utilisez son nom comme acronyme : Assez, passons à autre chose. Si vous êtes tous en présentiel, achetez un Elmo en peluche et gardez-le dans votre salle de réunion. N’importe qui peut brandir l’Elmo en peluche s’il pense que quelqu’un se perd. Cela fonctionne encore mieux pour les visioconférences. Encouragez tout le monde à trouver leur arrière-plan Elmo préféré et à le remonter lorsque quelqu’un parle trop longtemps.

Les daily Scrum sont censées être des réunions rapides et précises. Je ne veux pas qu’une équipe en termine en 5 minutes. C’est certainement trop court pour que quoi que ce soit de significatif ait été discuté ou partagé.

Mais je ne veux pas non plus que la réunion dure trop longtemps, et je ne veux certainement pas qu’une personne monopolise la conversation.

4 choses à essayer lorsque les gens ne parlent pas dans les mêlées quotidiennes

Parlons maintenant de ne pas parler. Comment faire en sorte que quelqu’un s’exprime lors d’une réunion quotidienne ?

Cela ne me dérange pas si quelqu’un reste silencieux lors d’une réunion alors qu’il n’a rien à apporter. C’est très bien, et il faut le féliciter davantage pour ce comportement de quelqu’un qui se sent obligé d’intervenir sur tout.

Mais, rester silencieux dans un stand-up quotidien est un problème parce que chaque personne est censée contribuer.

Pendant des années, les réunions quotidiennes scrum (ou réunions debout quotidiennes) ont suivi le même format. Chaque participant devait dire ce qu’il avait fait depuis la réunion précédente, ce qu’il ferait avant la prochaine réunion et décrire tout ce qui entravait ses progrès. Ces trois éléments représentaient les progrès, les plans et les problèmes d’une personne.

Ces trois éléments ne sont plus exigés d’une équipe Scrum dans ses daily scrum. Ils restent une bonne option par défaut pour la plupart des équipes sur ce qui devrait être couvert lors de la réunion. Mais la façon dont vous arrivez aux progrès, aux plans et aux problèmes n’est pas gravée dans le marbre. Vous devriez changer un peu, surtout si vos mêlées quotidiennes ne fonctionnent pas. Je recommande d’y aller  histoire par histoire, plutôt que personne par personne.

Mais que devez-vous faire si vous êtes un Scrum Master ou un coach avec des membres de l’équipe qui fournissent une mise à jour mais ne disent rien de significatif ? Quelque chose comme : « Hier, j’ai travaillé sur quelques tâches. Aujourd’hui, je vais travailler sur quelques tâches. Pas de bloqueurs. »

J’ai entendu cela trop de fois pour les compter. Et ça ne vaut rien.

1. Recherchez les détails

Quand quelqu’un donne une mise à jour comme celle-ci, vous devez le pousser sur les détails. S’ils disent simplement qu’ils ont « travaillé sur certaines tâches », demandez-leur de nommer les tâches spécifiques. Ou si vous êtes physiquement avec un tableau des tâches sur Kanban, demandez-leur de pointer vers les lignes ou les cartes spécifiques.

2. Revenez à la structure

Posez une question à la fois aux personnes qui donnent des mises à jour vagues. Si votre équipe suit la convention de parler des progrès, des plans et des problèmes, posez d’abord des questions sur les progrès.

Ne laissez pas cette personne vous parler des trois aspects de son travail. S’ils commencent à se transformer en plans ou en problèmes, ramenez-les d’abord au progrès. Dites quelque chose comme : « C’est génial, et nous voudrons tous en savoir plus dans une minute sur votre plan pour aujourd’hui, mais sur quelles tâches spécifiques avez-vous travaillé hier ? » Ramenez-les à un seul sujet.

Donnez une structure et rappelez-la souvent.

Souvent, quelqu’un qui donne une mise à jour vague, comme dire qu’il a travaillé sur certaines tâches, est introverti. Et je peux comprendre : moi aussi. Mais ce qu’il faut savoir sur les introvertis, c’est que même si nous redoutons les bavardages, la plupart d’entre nous se débrouillent bien avec les conversations structurées. Alors, renforcez la structure de ces réunions.

Si vous voulez que les gens parlent des progrès, des plans et des problèmes, mettez l’accent sur cette structure en posant des questions sur chacun d’entre eux à tour de rôle.

En fait, je ne suis pas un grand fan d’un Scrum Master ou d’un coach qui appelle les gens et pose des questions de cette manière. Je préfère laisser une équipe s’organiser elle-même dans la façon dont elle aborde la réunion. Mais avec des individus calmes, ramenez un peu de structure. Cela aidera les introvertis de l’équipe.

3. Encouragez un ordre

chacun à son tour

Une autre façon d’ajouter de la structure à la réunion est de demander aux gens de donner leurs mises à jour dans un ordre connu. Et envisagez de demander aux membres de l’équipe, calmes et vagues, de passer en premier. Ou vous pouvez même y aller en premier vous-même. (Oui : je pense que les Scrum Masters et les coachs devraient aussi donner des mises à jour.)

Une bonne façon de le faire est de commencer par quelque chose comme : « OK, écoutons d’abord Ajay, puis Astrid, mais je vais commencer. » Ensuite, donnez votre propre mise à jour, ce qui donne aux deux personnes que vous avez nommées une chance de préparer les leurs.

Pourquoi est-ce que j’aime commencer par les gens qui donnent des mises à jour vagues? Parce que sinon, ils sont nerveux tout au long de la réunion à l’idée qu’ils seront appelés ensuite. Il est préférable de leur faire savoir quand ils parleront. Et quand vous y allez en premier, vous leur offrez un moment pour rassembler leurs pensées.

4. Renforcez l’objectif

Une autre mesure que vous pouvez prendre est de renforcer l’objectif des réunions debout quotidiennes. Il ne s’agit pas de microgérer une équipe. Les daily scrum ne sont pas des réunions d’étape  conçues pour vérifier l’état des choses. Ce sont des réunions de synchronisation. Les membres de l’équipe synchronisent leurs efforts pour s’assurer que rien d’important n’est négligé et que deux personnes ne font pas la même chose sans être conscientes l’une de l’autre.

Lorsque les gens connaissent le but d’une réunion, ils sont plus susceptibles de comprendre la bonne façon de participer, en ne parlant ni trop ni trop peu, mais juste assez !

Ce ne sont là que quelques-unes des nombreuses façons de créer des réunions quotidiennes plus efficaces pour vos équipes.

De quelles autres façons avez-vous fait passer vos sessions Daily Scrum de hantées et horribles à productives et déterminées ?

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Voici de nombreux billets sur le sujet des Daily Scrum car il sont au cœur de l’approche et restent difficiles à organiser et bien utiliser.

  1. Les 3 questions du Daily Scrum ne mourront pas : Faites-les fonctionner pour votre projet !
  2. Le Manager dans les Daily Scrum : Quelles sont les choses à ne pas faire en dehors d’éviter totalement sa présence.
  3. Comment surmonter 4 objections communes au « Daily Scrum » ?
  4. Comment réussir vos « Daily Scrum » avec des équipes géographiquement distribuées ?
  5. 5 manières pour le #ScrumMaster d’améliorer ses réunions quotidiennes « Daily Standups »
  6. 5 pièges à éviter dans les réunions debout, les désormais célèbres Daily Stand-Up meetings de Scrum
  7. 3 questions pour grandement améliorer l’efficacité de vos réunions quotidiennes ou « daily stand-up meeting »
  8. Comment votre équipe manage-t-elle ses standups ?

Billets les plus lus sur le blog du management de projets DantotsuPM au mois de Mars 2023 : La règle du dixième homme, gagner le respect et qualités de managers de projets.

Remettez en question votre processus de prise de décision avec la règle du dixième homme !

« Celui qui suit la foule n’ira généralement pas plus loin que la foule. Celui qui marche seul est susceptible de se retrouver dans des endroits où personne n’est jamais allé » Albert Einstein.

7 façons pour les leaders de gagner le respect de leurs employés

8 choses que tous les excellents managers de projet ont en commun

Livre sur Amazon

 

Plusieurs vidéos intéressantes sur Scrum en langue anglaise

Je vous propose de commencer par Scrum.Org avant de zoomer sur les valeurs de Scrum, le Sprint Planning et les Sprint Reviews.

Ces vidéos peuvent s’avérer très utile pour sensibiliser votre comité de projet, votre sponsor et autres parties prenantes à ce qu’est Scrum avec ses valeurs ainsi que certaines de ses « cérémonies » les plus utiles.

Dans cette vidéo de 2 minutes, apprenez-en davantage sur ce que Scrum.org est et fait.

Voici quelques exemples de comment appliquer les valeurs Scrum de courage, engagement, focus, ouverture et respect.

Comment faciliter le Sprint Planning ?

Dans cette vidéo introductive, comprenez comment et quand utiliser certaines techniques de facilitation comme le vote romain, la visualisation et le questionnement afin que votre équipe puisse quitter la session de planification du sprint avec un objectif de sprint en direction de l’objectif du produit et un plan initial pour le sprint.

Comment faciliter les primordiales sessions de Sprint Review ?

Voici au moins une technique de facilitation qui va vous aider à transformer la revue de sprint en une session plus engageante et collaborative. Vous pourrez alors y recueillir des commentaires précieux des parties prenantes pour déterminer les futures adaptations de votre approche et de votre produit.

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Les 3 questions du Daily Scrum ne mourront pas : Faites-les fonctionner pour votre projet !

Le Daily Scrum n’a qu’un seul but : Inspecter les progrès vers l’objectif de sprint en réfléchissant à l’apprentissage d’hier.

The Three Daily Scrum Questions Won’t Die par Stefan Wolpers

Le Daily Scrum n’a qu’un seul but : Inspecter les progrès vers l’objectif de sprint en réfléchissant à l’apprentissage d’hier. Ensuite, si le besoin s’en fait sentir, les développeurs adaptent leur plan pour atteindre l’objectif de sprint. Bien que la théorie puisse être généralement acceptée, passer de l’idée à la pratique est plus difficile. L’un des problèmes récurrents est la popularité continue des « 3 questions du Daily Scrum» selon le Guide Scrum 2017.

Réfléchissons à la raison pour laquelle répondre à ces questions obsolètes influence négativement l’équipe Scrum.

Le but du Daily Scrum

Le but du Daily Scrum est clairement décrit dans le Guide Scrum, aucune supposition n’est nécessaire :

« Le but du Daily Scrum est d’inspecter les progrès vers l’objectif de sprint et d’adapter le backlog de sprint si nécessaire, en ajustant le travail prévu à venir.

Guide téléchargeable gratuitement

Le Daily Scrum est un événement de 15 minutes pour les développeurs de l’équipe Scrum. Pour réduire la complexité, il a lieu à la même heure et au même endroit chaque jour ouvrable du Sprint. Si le Product Owner ou le Scrum Master travaillent activement sur des éléments du Sprint Backlog, ils participent en tant que développeurs. »

Source et détails : Guide Scrum 2020.

Par conséquent, le Daily Scrum est un événement important pour l’inspection et l’adaptation, géré par les développeurs, et les guidant pour les prochaines 24 heures sur leur chemin vers la réalisation de l’objectif de sprint. Le Daily Scrum est également l’horizon de planification le plus court dans Scrum et donc très efficace pour guider les efforts de l’équipe Scrum : se concentrer sur le résultat.

Le problème avec les 3 questions quotidiennes

Cependant, cette noble idée est entachée d’une habitude répandue : Centrer la réunion quotidienne autour de la réponse à trois questions

  1. Qu’est-ce que j’ai fait hier ?
  2. Que vais-je faire aujourd’hui ?
  3. Y a-t-il un obstacle ?

Initialement, ces trois questions du Daily Scrum ont été ajoutées au Guide Scrum 2017 comme exemple de la façon dont les membres de l’équipe Scrum peuvent inspecter les progrès vers l’objectif de sprint. Cependant, ces trois questions sont rapidement devenues synonymes de Daily Scrum. Depuis lors, il s’agissait de répondre à ces trois questions, de transformer le Daily Scrum en une sorte de réunion de rapport d’état d’avancement, avec des développeurs faisant la queue pour « répondre à ces trois questions » au Scrum Master, au Product Owner, ou peut-être même à une partie prenante.

Malheureusement, les « trois questions du Daily Scrum» plaisent à de nombreux praticiens : Elles sont simples, efficaces et créent une routine réconfortante. Cependant, en tant qu’équipe Scrum, nous nous soucions moins de détailler notre travail précédent et de justifier pourquoi nous méritons un chèque de paie à la fin du mois.

Au lieu de cela, nous voulons comprendre si nous atteindrons l’objectif de sprint. Si les progrès de l’équipe Scrum sont douteux, compte tenu des développements récents et des apprentissages, nous voulons prendre des mesures pour nous remettre sur les rails. Toute forme de rapport de situation est une simple distraction et un gaspillage à cet égard.

Scrum en tant que pratique est axée sur les résultats

Il ne s’agit pas de maximiser le nombre de tickets obtenus pendant le Sprint. Au lieu de cela, en tant qu’équipe, nous sommes intéressés par atteindre l’objectif de sprint.

Il existe d’innombrables façons d’exécuter votre Daily Scrum sans tomber dans cette routine des 3 questions. Par exemple, parcourez le tableau et déterminez ce qui doit être fait pour déplacer les billets les plus proches de « terminés » sur la ligne d’arrivée.

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Consultez les pratiques d’utilisation des liberating structures pour faciliter le Daily Scrum.

S’il vous plaît, faites-vous une faveur et évitez de transformer votre Daily Scrum en une session de reporting ennuyeuse.

Comment gérez-vous vos Daily Scrum ? S’il vous plaît, partagez vos conseils et astuces dans les commentaires.
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A propos des sessions de communication synchrone (aussi appelées « réunions »…)

Les calendriers surchargés, les réservations de créneaux en double ou triple, sont devenus la norme dans nos vies au point que le travail ressemble à quelque chose que nous essayons « de caser tant bien que mal entre les réunions ».

Synchronous Communication Sessions (aka Meetings) by Andy Cleff

https://www.andycleff.com/2023/02/synchronous-communication-sessions-aka-meetings/

Quelque part au fil du temps, « réunion » est devenu un gros mot.

Les calendriers surchargés, les réservations de créneaux en double ou triple, sont devenus la norme dans nos vies au point que le travail ressemble à quelque chose que nous essayons « de caser tant bien que mal entre les réunions ».

Le matin, on entend souvent lors de la synchro de l’équipe…

Hier, j’étais en réunion toute la journée, je n’ai rien produit. Aujourd’hui, ce sera probablement la même chose.

Des voix devraient-elles s’élever et dire « éliminez complètement les réunions… elles sont toxiques ! » ?

Peut-être devrions-nous avoir une réunion pour en discuter ? (Je plaisante.)

Envisagez une alternative à la réunion : la communication asynchrone

Avant de planifier cette prochaine réunion, réfléchissez : y a-t-il un autre moyen ?

Chat, e-mail, wiki, blog, RFC [« appel à commentaires« ]: L’avantage de ces méthodes de communication asynchrone par rapport à une interruption programmée, pardon, réunion… est que la conversation peut facilement être « mise en attente ».

Quelqu’un qui ne craint pas d’être interrompu peut surveiller ses canaux de messagerie et y répondre (s’il le souhaite) quasiment en temps réel. Quelqu’un qui se trouve dans sa zone de concentration optimale peut désactiver les notifications et ne leur répondre que quand cela lui conviendra.

Collaboration et discussion en temps réel

Certaines choses sont vraiment mieux accomplies via la communication synchrone: rétrospectives / post-mortems, discussions 1-1, planification de sprint, kick-offs, affinement du backlog, revues de sprint

Ces rencontres aident les gens à communiquer rapidement entre eux, à atteindre efficacement un point de compréhension commune au lieu d’échanger plus de 20 courriels ou messages instantanés dans les deux sens.

Il y a moins de risques de malentendus (à condition que les gens disent ce qu’ils veulent dire et pensent ce qu’ils disent). De bonnes réunions offrent l’occasion d’un conflit significatif ainsi que d’une résolution significative.

De bonnes réunions aident à s’assurer que les équipes ne se contentent pas de « faire des choses », mais qu’elles font les bonnes choses au bon moment…

Les astuces qui vous aideront à rendre les bonnes réunions excellentes, incluent :
  • Ayez un ordre du jour et objectif clairement définis
  • Invitez le moins de personnes possible
  • Assurez-vous que les réunions se terminent le plus rapidement possible (définir une limite de temps…)
  • Assurez-vous que les participants ont suffisamment de temps pour préparer la rencontre (planifiez à l’avance…)
  • Veillez à ce que tous les invités participent pleinement
  • Vérifiez que les mesures de suivi soient claires et bien assignées

De quel genre de réunion s’agit-il?

Soyez clair sur l’objectif de la réunion et communiquez-le dès le départ.

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Kim Scott dans Radical Candor fournit un bon cadre pour faire entrer des choses sur votre agenda :

  • Conversations 1:1 – Les employés établissent l’ordre du jour, et les managers les écoutent et les aident à clarifier
  • Réunions du personnel – Utilisées pour examiner les paramètres, fournir des mises à jour et nouvelles générales et identifier les décisions clés à venir (sans les prendre)
  • Créneaux de temps de réflexion – Utilisé pour bloquer du temps pour être stratégique et planifier.  David Marquets appelle cela « Blue Work »
  • Réunions « Grand débat » – Réduisez la tension en indiquant clairement que vous êtes là pour discuter et non pas décider.
  • Réunions « Grandes décisions » – Poussez vos décisions jusque dans les faits, ramenez les faits dans vos décisions et gardez les egos à distance
  • Réunions de tous les membres – Faites venir tout le monde
  • Zones de temps sans réunion – Temps bloqué pour ne pas avoir de réunions

Quelques petites  choses sur lesquelles méditer…

  • Quel pourcentage de votre temps de travail total est consacré aux réunions : Bonnes, mauvaises, indifférentes ?
  • Et si vous éliminiez les réunions dénuées de sens et/ou improductives et les remplaciez par un espace pour réfléchir et travailler sur la chose la plus importante pour vous ?
(re-)Découvrez ces billets précédents sur les réunions qui rythment votre vie de manager de projet

 

8 choses que tous les excellents managers de projet ont en commun

Comme à mon habitude, je vais reprendre ce billet de Harry Hall en me concentrant sur les aspects  positifs plutôt que négatifs des managers de projets.

Billet original: 8 Things All Bad Project Managers Have in Common par Harry Hall – https://projectriskcoach.com/8-things-all-bad-project-managers-have-in-common/

Les bon(ne)s managers de projet créent des cultures de projet dénuées de stress et confusion et facilitant la progression. Avez-vous déjà adopté ces bons comportements ou bien sont-ils déjà vôtres même inconsciemment ?

Passons en revue une liste de huit comportements que tous les excellent(e)s managers de projet ont en commun. De plus, parlons de la façon d’accentuer ces bons comportements.

#1 – Vous organisez un nombre réduit de réunions de projet

Vous savez éliminer les réunions récurrentes lorsque cela est possible. De même, vous avez déjà éliminé les réunions d’avancement car vous collectez ces informations à travers votre système d’information de projet et les partagez électroniquement par le biais de rapports d’avancement.

Avant de proposer une réunion, vous vous demandez toujours : Y aurait-il une autre façon de manager cela sans une longue réunion avec beaucoup d’intervenants ? Peut-être une rapide visio ou conférence téléphonique ? Peut-être un simple e-mail, message instantané, ou coup de fil à la bonne personne ?

à considérer pour toutes vos réunions, à distance comme en présentiel

Sinon un stand-up meeting serait-il approprié pour faire bref et avoir le minimum de participants nécessaires et utiles.

#2 – Vous produisez (ou faites produire) le minimum nécessaire de documentation

Vous limitez la taille et le nombre de documentations sur tout le projet. Vous de produisez au sein du projet que des documentations dont vous êtes certains qu’elles seront lues et utilisées. S’il y a une raison légitime pour un long document, vous en fournissez un résumé qui permet aux personnes d’en digérer rapidement les points les plus importants.

#3 – Vous faites preuve d’intégrité

S’il y a un manque de confiance, les équipes ralentissent jusqu’à s’arrêter. Vous ne faites que des promesses que vous saurez tenir et vous les tenez. Si vous avez de bonnes et justes intentions mais ne les exécutez pas, les gens n’auront plus confiance en vous.

#4 – Vous faites la promotion des membres de votre équipe, pas la vôtre.

Vous refusez d’être le/la manager de projet qui se promeut continuellement en donnant peu de crédit à l’équipe. A l’inverse, vous cherchez constamment des moyens de reconnaître et de remercier les membres de votre équipe pour leur travail. Lorsqu’il y a des problèmes, vous en prenez la responsabilité, vous dites à vos parties prenantes que vous êtes responsable et ce que vous ferez pour résoudre les problèmes. En cas de succès, vous mettez surtout en évidence les contributions concrètes du ou des membres de l’équipe.

#5 – Vous savez écouter

Plutôt que d’interrompre pour faire valoir votre point de vue, vous écoutez dans l’intention de creuser plus profondément et de comprendre le point de vue de l’autre personne.

Vous savez concentrer toute votre attention sur la personne qui parle et sur le message qu’elle veut vous faire passer. Vous établissez un bon contact visuel. Et vous posez des questions de clarification appropriées qui montrent votre empathie et votre souci de ce sujet.

#6 – Vous savez déléguer

Vous vous assurez d’être clairs comme de l’eau de roche sur ce qui est attendu, qui va le faire et quand les choses sont dues.

Vous n’improvisez pas la délégation mais au contraire, vous la planifiez. Puis, vous communiquez ce que vous déléguez, le niveau d’autonomie accordé, les dates d’échéance et le moment où vous ferez un suivi. Vous êtes disponible pour discuter des problèmes et fournir un soutien et la personne à laquelle vous déléguer une tâche le sait parfaitement.

#7 – Vous savez animer la collaboration

Vous planifiez vos réunions avec un ordre du jour clair et des questions préparatoires pour engager l’équipe. Lorsque vous demandez si les participants ont des commentaires, vous ne laissez pas le silence vous inciter à le combler trop vite en parlant prématurément. Vous donnez aux autres le temps de réfléchir et de réagir. Vous appréciez les personnes lorsqu’elles répondent.

#8 – Vous êtes capable de manager les membres de l’équipe qui posent problèmes

Vous coachez individuellement les membres problématiques de votre équipe quand vous commencez à rencontrer des problèmes avec eux et vous clarifiez vos attentes. Vous demandez à la personne de s’engager venir vous voir le plus tôt possible si quelque chose commence à nuire à sa capacité d’accomplir les tâches qui lui sont assignées. Si vous n’êtes pas en mesure d’obtenir les réponses souhaitées au fil du temps, vous en parlez avec votre sponsor de projet et établissez les étapes à suivre pour éventuellement remplacer la personne.

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Améliorez vos compétences en leadership et en relations interpersonnelles

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Avez-vous remarqué que bon nombre des  comportements dans ce post sont liés au leadership et aux compétences relationnelles et interpersonnelles ?

Si vous souhaitez renforcer vos compétences générales, consultez le livre : The Purpose Driven Project Manager .

Harry Hall y aborde 10 problèmes de projet courants et comment appliquer vos compétences générales pour atteindre vos objectifs et faire progresser votre carrière.

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« Ce livre donne au manager de projet les outils dont il a besoin immédiatement pour améliorer la performance de ses équipes. C’est une lecture rapide qui vous donnera un retour immédiat.

Harry fait un excellent travail pour résumer les problèmes complexes auxquels sont confrontés les PM aujourd’hui et présente les solutions d’une manière que même un manager de projet novice peut comprendre et appliquer. »

Jeremy Causey, PGP

Comment votre équipe manage-t-elle ses standups ?

Quelle que soit la façon dont votre équipe coordonne son travail, il est important que de tels événements ne soient pas perçus comme une perte de temps par l’équipe ou par les principales parties prenantes.

How does your team run their standups? par Kiron Bondale

https://kbondale.wordpress.com/2022/07/10/how-does-your-team-run-their-standups/

Que vous les appeliez Scrums, stand-ups ou daily, une façon de planifier au fur et à mesure avec une approche adaptative est d’organiser régulièrement des événements de coordination pour s’assurer que tout le monde travaille de manière alignée et sur le travail le plus important.

L’un des sujets les plus courants pour de tels événements est de discuter de l’arriéré de travail de l’équipe à court terme.

Mais de telles discussions peuvent avoir lieu de différentes manières.

Pour s’assurer que tout le monde a la possibilité de s’exprimer, une approche pourrait être de discuter du travail incomplet personne après personne.

Bien que cela ait l’avantage de s’assurer que la voix de chacun soit entendue et donne à chaque membre de l’équipe l’occasion de remonter ses préoccupations ou de confirmer les hypothèses qu’il pourrait faire, cela peut également amener les membres de l’équipe qui ont déjà parlé à se désengager de ce qui est discuté par les membres de l’équipe qui viennent après eux. Bien que cela ne soit pas très préoccupant si le travail de chaque membre de l’équipe est indépendant des autres, dans la plupart des cas, il est probable qu’il y ait des dépendances entre les membres de l’équipe au niveau d’un élément de travail ou d’une activité.

Dans de tels cas, si un membre de l’équipe « s’est déconnecté » de la conversation, il pourrait manquer quelque chose d’important pour son travail ou manquer l’opportunité de corriger une hypothèse invalide faite par les autres.

Une alternative qui résout cet inconvénient est de travailler élément de travail par élément de travail. Cela est susceptible de garder la plupart des membres de l’équipe engagés plus longtemps que l’approche personne par personne, en particulier lorsque plusieurs membres de l’équipe doivent collaborer ensemble pour terminer un élément de travail. Cependant, lorsque certains membres de l’équipe ont terminé les éléments de travail qu’ils ont choisis et soutiennent maintenant activement les autres dans l’achèvement d’éléments de travail « étrangers », tous les membres de l’équipe peuvent ne pas avoir la chance de s’exprimer.

Lorsque les éléments de travail passent par un flux de travail bien défini, une autre option consiste à discuter des éléments de travail en fonction de la phase de développement dans laquelle ils se trouvent. En supposant que les membres de l’équipe travaillent sur des éléments à travers différentes phases, cela réduira la probabilité qu’un membre de l’équipe se désengage de la conversation générale, même s’il a déjà terminé la discussion des éléments de travail dans la phase en cours.

La plupart des outils de management du travail fournissent une méthode pour organiser les éléments dans les colonnes d’un tableau de travail afin que l’équipe puisse discuter des éléments incomplets dans l’ordre dans lequel ils sont présentés. Cependant, une approche plus efficace pourrait consister à donner la priorité aux quelques éléments vitaux qui méritent vraiment d’être discutés.

Il y a 3 façons courantes de le faire

Par coût du retard

Cela comprend des considérations telles que la valeur commerciale, la réduction des risques, la dépendance d’éléments de travail à venir ou la capacité d’exploiter une opportunité.

Par durée des éléments de travail

Visualisation sous forme de tableau Kanban

En supposant que l’équipe a atteint une maturité suffisante pour n’avoir que quelques tailles d’éléments de travail différentes, l’équipe pourrait se concentrer sur la discussion des éléments de travail actifs qui sont en dehors des attentes normales en matière de durée pour leur taille.

Par statut de l’élément de travail

Cela peut être fait en commençant par les éléments de travail bloqués, puis ceux avec des obstacles identifiés, puis (si nécessaire) les autres.

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Beaucoup d’équipes avec lesquelles j’ai travaillé utilisent une méthode personne par personne pour leurs événements de coordination, mais je voulais comprendre quelle était la répartition entre les différentes approches.

J’ai mené un sondage d’une semaine dans le groupe de discussion LinkedIn Project, Program and Portfolio Management de PMI et dans la communauté ProjectManagement.com.

Sur les 369 réponses reçues :

  • 66 % ont utilisé une approche élément de travail par élément de travail,
  • 20 % ont été traitées personne par personne,
  • 11 % ont discuté des éléments de travail par étape de développement et
  • 3 % ont eu une autre méthode.

Dans ce dernier cas, j’avais demandé aux répondants de fournir des détails, mais dans la plupart des cas, les commentaires reflétaient une approche par élément de travail et par ordre de priorité.

Quelle que soit la façon dont votre équipe coordonne son travail, il est important que de tels événements ne soient pas perçus comme une perte de temps par l’équipe ou par les principales parties prenantes. Discuter de l’efficacité et de l’efficience de tous les événements standard dans les sessions d’amélioration des processus, tels que les rétrospectives, est un moyen de s’assurer que cela ne se produise pas.

le livre de Kiron Bonale : « Easy in Theory, Difficult in Practice » contient 100 autres leçons sur le leadership de projet

(Si vous avez aimé cet article, pourquoi ne pas lire le livre de Kiron Easy in Theory, Difficult in Practice qui contient 100 autres leçons sur le leadership de projet ?)


Petit retour sur 7 précédents billets au sujet des Daily Scrum meetings