A la fois surprenant et tragique mais qui a permis d’obtenir la journée de 8 heures.
articles, méthodes, partages d'expérience et rdv du management de projets et de l'agilité
http://sethgodin.typepad.com/seths_blog/2018/04/the-placebo-ratchet.html par Seth Godin

Un placebo qui fonctionne devient plus puissant.
Ce qui rend plus probable qu’il marche la prochaine fois.
C’est aussi simple que cela, mais c’est magique.
Les placebos fonctionnent pour deux raisons :
Et ainsi, nous finissons avec des médicaments ou horoscopes ou mantras ou méthodes ou autres dispositifs qui nous aident. Sans beaucoup de dépense, sans effets secondaires, sans lutte.
Le déclic positif du renforcement peut nous aider si nous le laissons faire.
Relisez ce billet: les chefs de projets auraient-ils un effet placebo ?
http://sethgodin.typepad.com/seths_blog/2018/03/300-seconds.html par Seth Godin
Ne calez pas.
Faites une pause.

Combien de décisions ou d’engagements se termineraient plus positivement si vous aviez en main un bouton « 5 minutes d’arrêt sur image » ?
L’esprit d’escalier* n’est pas aussi difficile à vivre avec que son opposé.
Le bon mot hâtif, la réaction précipitée, l’action que nous finissons par regretter : Tous peuvent être éliminés avec l’utilisation judicieuse du bouton « pause ».

C’est une plaie qu’il n’y en ait pas un d’encastré sur nos claviers quand nous communiquons en ligne…
Alors, dans le doute, allez faire le tour du quartier.
*esprit d’escalier: le sentiment qui se produit quand nous pensons à une réponse pleine d’esprit en rentrant à la maison au lieu de l’avoir eu pendant le dîner, quand cela aurait été la parfaite répartie.
Pour rappel, la date du 20 mars a été retenue en commémoration de la signature, le 20 mars 1970 à Niamey (Niger), du Traité portant création de l’Agence de Coopération Culturelle et Technique (ACCT), première institution intergouvernementale de la Francophonie devenue en 1998 l’Agence intergouvernementale de la Francophonie (AIF).
Sites à visiter : www.espacefrancais.com et www.francophonie.org
En effet, je sélectionne et publie en français sur ce blog des billets liés au management de projets, programmes, PMOs et Portfolios, aux compétences douces / « soft skills » ainsi que sur le leadership.
Je m’efforce de les rendre attractifs en les illustrant d’images, vidéos, pointeurs utiles, partages d’expérience, bonnes pratiques, méthodes et outils, astuces, annonces de rencontres et wébinaires….
Vous pouvez suivre ces contenus directement sur ce blog, ou sur vos médias sociaux favoris : Twitter, LinkedIn, Viadeo, Pinterest !
http://sethgodin.typepad.com/seths_blog/2018/03/when-your-ideas-get-stolen.html par Seth Godin
C’est bon pour vous.N’est-ce pas mieux que vos idées valent la peine d’être volées ? Qu’arriverait-il si vous aviez travaillé tout ce temps, créé ce livre ou ce film ou ce concept et que personne n’en veut, ne souhaite les développer ou partir avec ? Serait-ce mieux ?
En fait, plus de gens se saisissent vos idées et en font des choses magiques, plus un vide se créée dans votre vie, ce qui signifie que vous serez incité à trouver encore plus d’idées, non ?
Elles enrichissent notre culture, créent des connexions et améliorent nos vies. N’est-ce pas pourquoi vous avez créé votre idée en premier lieu ?
Le but n’est pas le crédit. Le but est le changement.

La Suède et la France comptent parmi les États que la Banque mondiale a trouvés pour entériner l’égalité des sexes dans les lois, même si la mise en œuvre reste parfois aléatoire.
Si vous êtes une femme et que vous voulez être sur un pied d’égalité avec les hommes, il est donc préférable de vivre et travailler en Belgique, au Danemark, en France, en Lettonie, au Luxembourg ou en Suède !
La Banque mondiale, qui a suivi les changements juridiques de la dernière décennie, a constaté que ces pays étaient les seuls au monde à avoir porté l’égalité des sexes jusque dans les lois touchant au travail.
à l’occasion du #IWD2019, lisez l’article du Guardian en entier (en anglais).
Chaque jour, nous entendons parler de fusillades, d’inégalité, de pollution, de dictature, de guerres et de la propagation des armes nucléaires. Ce ne sont que quelques-unes des raisons qui ont fait que 2016 a été appelée la « pire année possible ». Jusqu’à ce que 2017 revendique ce record et laisse les gens envier les décennies précédentes, quand le monde semblait plus sûr, plus propre et plus égalitaire.
Comme l’a souligné Franklin Pierce Adams:
Steven Pinker ouvre nos yeux sur une réalité d’ensemble mais aussi de détails qui est bien différente de celle propagée par la presse et les journaux télévisés qui sont toujours à la recherche de sensationnel, scandales et catastrophes…
Les risques dont nous entendons le plus parler dans notre écosystème et qui paraissent effrayants ont-ils une réelle chance de se matérialiser sur notre projet ? Ne dépensons-nous pas trop de temps, ressources et énergie à nous protéger de risques qui ont très peu de probabilité de survenir mais une si forte presse que notre management et nos clients nous demandent sans cesse de nous en prémunir ?
http://sethgodin.typepad.com/seths_blog/2018/02/im-not-selling-anything.html par Seth Godin
Bien sûr que si. Vous vendez une connexion ou une avancée. Vous vendez une nouvelle manière de penser, un meilleur endroit où travailler, une chance de faire la différence. Ou peut-être vendez-vous la possibilité, la générosité ou du travail pur et dur.
Il se pourrait que la vente que vous faites consomme du temps et des efforts, pas de l’argent, mais si vous essayez de changer quoi que ce soit, alors vous vendez quelque chose.
Si vous n’essayez pas d’améliorer les choses, pourquoi êtes-vous ici ?
Alors, bien sûr, vous vendez quelque chose.
Peut-être serait-il plus précis de dire « je ne vends pas quelque chose trop agressivement, en envahissant votre espace, volant votre attention et vous poussant à faire quelque chose qui ne correspond pas à vos objectifs. »
Ceci est probablement vrai. Du moins je l’espère.
https://www.guidedinsights.com/cant-we-all-just-disagree-reviving-the-lost-art-of-civilized-disagreement/ par Nancy Settle-Murphy
1) Après une conversation amicale et polie, chacun consent facilement à suivre la majorité ou
2) un débat échauffé avec des personnes de points de vue opposés discutant passionnément de leurs positions respectives ?
Si vous me demandez quel scénario me rendrait plus confortable dans l’instant, mon choix pourrait être le scénario 1. Mais si vous voulez savoir quel scénario va plus probablement mener à une meilleure décision, le second est le clair gagnant, mais seulement si le leader de la réunion sait comment aider des participants à avoir un débat constructif.

Nous semblons avoir perdu la capacité (ou l’appétit) d’avoir des désaccords civilisés. Et non pas seulement parce que notre pays est devenu si polarisé, bien que ce soit certainement un facteur contributif. Beaucoup d’entre nous n’ont pas l’état d’esprit, les compétences ou le désir de s’engager avec des personnes qui ont des perspectives divergentes. Nous sélectionnons soigneusement nos informations et conversations, préférant nous engager seulement avec ceux qui ont des vues semblables aux nôtres. Et quand nous rencontrons des points de vue opposés au nôtre, nous faisons l’équivalent du désabonnement sur FaceBook ou Twitter : Nous cessons simplement d’échanger et nous nous éloignons.
Alors, comment pouvons-nous encourager et permettre des conversations où des gens de points de vue opposés peuvent s’écouter sans jugement, apprendre les uns des autres et atteindre peut-être même un vrai accord sur des questions importantes, plutôt que simplement lâcher l’affaire pour éviter un désaccord ?
Je les ai sélectionnées tant sur mes observations personnelles que celles d’auteurs de quelques excellents articles récents et plusieurs livres éternels.
Il peut être difficile de saisir ce qui se passe vraiment dans le tumulte du conflit, particulièrement pendant que vous essayez désespérément de penser à une façon de remettre la conversation sur les rails. Mais cela aide si vous avez un soupçon quant à la cause du conflit. Vous pouvez alors décider comment intervenir le plus efficacement. Par exemple, si la source de conflit est le fait qu’une personne en interrompt constamment d’autres vous pourriez essayer une approche et adopter une autre tactique si vous sentez que la source de désaccord est une différence dans des valeurs ou des principes.

Quand les gens s’interrompent et se disputent, en tant que leader de la réunion, vous devez trouver une façon d’intervenir. Si vous êtes en face à face, vous pouvez utiliser votre voix en la haussant de quelques décibels pour surmonter le volume, ou votre langage corporel, en faisant peut-être un « T » de vos deux mains pour demander un temps mort, ou vous déplaçant vers ceux en conflit, en établissant un contact yeux dans les yeux significatif. Lors d’une réunion virtuelle, votre voix est votre seul moyen d’essayer de changer une dynamique dysfonctionnelle. Essayez quelque chose comme : “Désolé d’interrompre, mais je dois vous demander de faire une pause pour décrire ce que j’observe.” Laissez un moment du silence avant de continuer pour vous assurer que vous avez bien tout l’attention de chacun.
Utilisez un langage neutre et concentrez-vous sur la dynamique dont vous êtes témoin, plutôt que sur les comportements individuels. Au lieu de dire : “Laura et John, vous avez tous les deux besoin de vous calmer et d’arrêter de vous interrompre”, essayez quelque chose comme : “je remarque que certains d’entre vous sont passionnés par leurs idées, dont je soupçonne que nous pouvons tous apprendre. En fait, j’espère que chacun ici a des perspectives tout aussi passionnées à partager. Je suis soucieux, cependant, que si chacun n’a pas l’opportunité d’exposer ses perspectives, nous pourrions finir par prendre une décision mal informée. De plus, je sens que certains d’entre vous pourraient laisser tomber juste pour changer la dynamique.” Faites une nouvelle pause pour validation. En présentiel, vous pouvez chercher confirmation à travers le contact visuel et le langage du corps. A distance, essayez de demander quelque chose comme : “quelqu’un d’autre partage-t-il ma préoccupation ?”. Attendez aussi longtemps que nécessaire pour avoir l’accord d’au moins une ou deux personnes avant de poursuivre.
« La meilleure » solution dépendra du temps disponible, du nombre et de la distribution géographique des participants, du sens relatif de l’urgence, de la qualité des relations et d’autres facteurs. Vous pouvez vouloir proposer un processus qui permette à chacun d’exposer ses perspectives, avec son raisonnement et ses suppositions, un par un. (Si vous utilisez un outil de réunion collaborative virtuelle, permettez aux gens de participer tant oralement que par écrit.) Soyez spécifique sur le processus proposé. Par exemple : “Faisons un tour de table et laissons chacun d’entre nous compléter cette phrase : ‘ l’option que j’aime le mieux est _____ et la raison principale est ______. ’ J’enregistrerai vos réponses et vous pourrez tous les voir. Puisque nous avons seulement 10 minutes et 10 personnes, attribuons à chacun une minute maximum pour répondre. Mais d’abord, je vous donnerai un moment de réflexion silencieuse pour rassembler vos idées”. Faites cette pause puis répétez rapidement la phrase à compléter.
Les émotions ou l’enthousiasme peuvent prendre le dessus chez quelques personnes et elles peuvent transgresser « les règles », inconsciemment ou intentionnellement. Si cela arrive, intervenez pour remettre les gens sur les rails ou chercher un consensus sur un changement de processus. Par exemple : “ Laura, désolé d’interrompre, mais il ne vous reste que 15 secondes pour partager votre raisonnement et c’est quelque chose d’important pour tous afin de bien vous comprendre. Chacun a seulement 60 secondes pour exposer ses opinions”. Si le processus ne fonctionne pas, proposez des options, comme allonger le créneau de temps prévu pour la réunion, demander aux gens d’envoyer leurs idées par écrit, ou prévoir une autre réunion. Assurez-vous que tous les participants ont une égale opportunité d’être entendus et compris.

Si nous parlons (ou écoutons) seulement les gens avec lesquels nous sommes d’accord, nous nous privons de l’occasion d’apprendre et de former de nouvelles idées. Grâce à notre capacité à créer nos propres sources d’information personnalisées, il est plus facile (et d’habitude plus confortable) de s’entretenir avec ceux dont les valeurs et croyances sont le miroir des nôtres. Rappelez à tous (et à vous-même !) que pour prendre des décisions bien informées ou produire des idées vraiment innovatrices, nous avons besoin de perspectives diverses et de points de vue divergents. Ceci signifie nous ouvrir intentionnellement aux idées qui défient nos propres idées.

La plupart des personnes veulent être appréciées. Si quelqu’un n’est pas d’accord avec nos idées, nous le prenons souvent comme un affront personnel. De même nous pouvons être peu disposés à critiquer les idées de quelqu’un d’autre de crainte de heurter leurs sentiments. Ainsi, bien que nous puissions nous demander : “à quoi pensait-elle ? ”, nous pourrions extérieurement exprimer seulement un léger scepticisme, avec une bonne dose de compliments. Il est utile de rappeler à tous qu’ils doivent examiner la qualité de leurs idées respectives, plutôt que de s’évaluer en tant que personnes. Avoir un principe de réunion comme « Challengez les idées, pas ceux qui les proposent » pourrait être utile.

Encouragez les gens à exposer leurs multiples avis et perspectives, particulièrement quand la décision aura un impact significatif. Créez un environnement où les gens peuvent se challenger les uns les autres sans risque, de façon respectueuse.

Advanced Facilitation Strategies: Tools and Techniques to Master Difficult Situations Ingrid Bens
Comment travailler efficacement avec des parties prenantes de projet « difficiles » ?
https://www.ginaabudi.com/engaging-difficult-stakeholders/ Par Gina Abudi
Chaque projet a des parties prenantes que l’on peut qualifier de « difficiles ». Même si je peux reconnaître que quelques personnes veulent juste être difficiles et contrariantes, il y a souvent une raison valable pour que certaines soit difficiles. C’est souvent plutôt qu’elles ne s’expriment pas de la meilleure façon possible. Cela ne doit pas excuser leur comportement. Mais, regardez plus en avant pourquoi elles sont difficiles.
Par exemple, quand je traite avec des parties prenantes « difficiles », j’écoute et pose des questions pour comprendre ce qui se passe.
Par l’écoute active et en posant des questions, j’ai parfois appris des soucis légitimes et des inquiétudes qui n’ont pas été adressées, comme :
Ce sont toutes des préoccupations très valides et certaines parties prenantes, plutôt qu’avoir une conversation sur ces sujets, peuvent se renfermer et résister et être donc perçues comme difficiles.
Ne collez pas de simples étiquettes sur vos parties prenantes. Ayez une conversation avec elles pour comprendre ce qui se passe. Vous serez davantage capable d’adresser la situation si vous avez des détails plutôt que de seulement essayer de gérer une partie prenante « difficile ».
Chacun des éléments de la liste ci-dessus est beaucoup plus réalisable (il peut être adressé) que d’essayer de faire changer une partie prenante difficile. Adressez les soucis et les problèmes (perçus) et managez la partie prenante.
Essayez ceci sur votre prochain projet avec une partie prenante « difficile ». Vous verrez la différence !

http://projectbliss.net/project-status-meeting-agenda/ par Leigh Espy
Si vous managez des projets, on s’attendra à ce que vous meniez des réunions d’avancement de projet.
Vous souhaitez évidemment les diriger efficacement et bien utiliser le temps.
Vous voulez aussi que votre équipe ait confiance en vos capacités de leader.
Suivez ces indications pour une réunion productive qui aide votre projet à aller de l’avant.

La réunion de projet est une occasion pour l’équipe de partager de l’information sur le projet et la progression, tant avec le chef de projet que les uns avec les autres.
Bien que les équipes puissent travailler dans des groupes séparés, il existe souvent des dépendances et des impacts transverses.
Pour cette raison, il est important pour chacun d’obtenir des nouvelles.
La réunion de projet fournit une occasion de partager l’information à travers toute l’équipe.
Les membres fournissent des mises à jour sur l’avancement des tâches en cours et perçoivent déjà les prochains défis, tâches, ou questions.
Chacun de ces domaines aura ses propres progrès et statut à partager. La réunion de projet n’est pas le seul moment où vous parlerez à chacun de ces domaines. Mais il est important d’avoir cette communication transverse dans l’équipe pour réduire les risques et avancer sereinement.
Incluez ces éléments importants dans votre réunion de projet. Adaptez-les comme nécessaire mais commencez avec ceux-ci en mémoire.
Détails logistiques. Incluez la date de la réunion, la durée, l’emplacement et les participants

Assurez-vous que les participants sachent d’avance à quoi s’attendre en publiant l’ordre du jour à l’avance.Quelques points complémentaires à garder à l’esprit :
Le Lundi matin n’est pas un bon moment pour avoir vos réunions de statut. Les membres d’équipe ne seront pas comme préparés pour discuter le statut.
France, Canada, États Unis, Maroc, Tunisie, Belgique, Suisse, Algérie, Côte d’Ivoire, Cameroun…

Merci du temps que vous avez consacré en 2018 à lire les 400 nouveaux articles publiés sur le blog, en particulier pour les 38% de fidèles lecteurs sur les plus de 400000 accès en 2018.
Merci à mes partenaires et sponsors qui me permettent, et pour certains depuis de nombreuses années, de faire vivre ce blog :
Nouvelles techniques et méthodes, domaines de compétences à défricher ou approfondir, retour d’expérience, pointeurs à suivre et événements auxquels vous avez participé en 2018.
Belle année 2019 à toutes et tous, beaux projets, belles expériences, belle vie !Très sincèrement, Michel.
PS: N’hésitez pas à commenter ce billet pour partager sur les bénéfices que vous avez tiré de la lecture de ces billets journaliers, indiquez-moi aussi ce que vous aimeriez y trouver cette année, ce qui manque…


Relisez le livre blanc de QRP International sur les différences liées à cette nouvelle version:

Plusieurs améliorations ont déjà été déployées depuis l’été dernier: Nouveau Thème WordPress plus moderne et favorisant la mise en avant des illustrations des articles, fréquence hebdomadaire de publication des annonces de rencontres pour regrouper ces types de billets, récapitulatifs des articles les plus lus chaque mois (publiés à l’occasion des périodes de congés estivaux et de fin d’année).
Pour les capacités de recherche, nous avons les catégories de billets qui ont été remaniées, les mots clés enrichis de nouvelles entrées, et bien sur la zone « Chercher mot ou expression » (à mettre entre guillemets).
Voici pour commencer un aperçu de la distribution des lectrices et lecteurs du blog en fonction de leur profession.
Je remarque que des personnes pratiquant tous les jours l’agilité comme les product owners et scrum master nous rejoignent, ou bien est-ce le signe que certains des chefs de projet évoluent vers ces nouveaux métiers ?
Suivront des billets sur:
Contribuez activement au projet du siècle: la réduction des émissions de gaz à effet de serre.
Favorisez dès cette semaine les transports partagés comme le covoiturage, l’autopartage, le vélo, la trottinette… ou bien la toute simple marche à pied !
J’ai créé une enquête pour récolter des informations sur les lecteurs, leurs centres d’intérêt, ce qu’ils aiment ou pas sur le blog francophone du management de projet DantotsuPM.
Je vous invite à y répondre et vous remercie par avance de vos idées d’amélioration.
Certaines suggestions des lecteurs soumises début juillet ont déjà été implémentées dont cette nouvelle interface de consultation et lecture des billets.
Par avance, merci !