Chaque fois que vous avez une réunion en face à face, ou même une réunion sur Zoom, votre langage corporel est crucial. Votre apparence lorsque vous dites quelque chose est souvent aussi importante que ce que vous dites et la façon dont vous le dites.
Tout comme vous choisissez vos mots avec soin, il est important de vous assurer que votre langage corporel n’envoie pas de messages involontaires. Si rien n’est fait, un mauvais langage corporel peut faire dérailler des communicants très forts. Voici sept des problèmes de langage corporel les plus gênants e j’observe chez des leaders.
#1 – Vous avez une posture non engagée.
Nous avons tous vu des gens qui s’affalent pendant les réunions, se dirigent d’un côté, parfois l’air à moitié endormis. Une posture non engagée envoie un message de faiblesse. Asseyez-vous dans une posture droite mais détendue, tenez-vous immobile et montrez que vous prêtez attention.
#2 – Vous manquez de contact visuel.
Beaucoup de gens ne parviennent pas à établir un contact visuel, les yeux dans le vague ou regardant leurs mains ou leurs notes. Ce comportement envoie un message méprisant. À moins que vous ne preniez activement des notes, maintenez un contact visuel avec la personne qui parle. Mais restez naturel, ne fixez pas.
#3 – Vous tambourinez des doigts.
C’est peut-être un tic nerveux ou une vieille habitude, mais tambouriner avec vos doigts sur la table est irritant. Cela vous donne l’air gamin et impatient. Même si vous êtes assis là à attendre impatiemment la fin de la réunion, ne le communiquez pas à la salle.
#4 – Vous avez l’air distrait.
Si vous avez l’air distrait, vous êtes distrait. Et si les gens n’ont pas toute votre attention, ils ne vous accorderont pas tout leur respect. Résistez à la tentation de vérifier votre téléphone, votre montre, vos ongles ou de regarder vers la sortie.
#5 – Vous croisez les bras.
Croiser les bras est une posture défensive qui met de la distance entre vous et ceux qui vous entourent. Cela communique un esprit fermé et un manque de confiance.
Gardez vos bras ouverts et si vous ne savez pas quoi faire de vos mains, posez-les sur vos genoux.
#6 – Vous gigotez.
Si vous vous êtes déjà assis avec quelqu’un qui bouge constamment ses mains, ses pieds ou ses jambes, vous savez à quel point cela peut être perturbant. Cela envoie un message d’anxiété. Si vous vous agitez lorsque vous êtes nerveux, travaillez avec un coach ou un conseiller pour trouver de meilleures stratégies pour gérer ce stress. Si la situation persiste, parlez-en à votre médecin car il peut y avoir un problème de santé sous-jacent.
#7 – Vous faites du multitâche.
Si vous vérifiez vos outils digitaux pendant une réunion, vous ne pouvez pas rester concentré. Le multitâche signifie simplement que rien ne retient toute votre attention. Et même sur Zoom, les gens le remarquent.
Le langage corporel envoie des messages forts avant même que vous ne disiez un mot. Assurez-vous d’envoyer le bon message avec vos paroles et vos actions.
Diriger de l’intérieur : Le langage corporel est un outil puissant. La plus haute forme de respect est d’envoyer le bon message avec votre présence sincère et entière.
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J’ajouterais, prêtez attention à l’aspect culturel de vos gestes qui peuvent avoir des significations totalement différentes d’une culture et d’un pays à l’autre.
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Je pense que nous avons tous expérimenté cette situation.
Nous avons tous été plongés dans un nouvel environnement business où la technologie régit notre vie. Nous avons tous reçu des courriels troublants à un moment où nous jonglions avec des responsabilités familiales. À l’heure actuelle, je m’inquiète du fait que beaucoup d’amis et de clients éprouvent des symptômes Covid assez graves.
2 questions à vous poser (avant de rejoindre votre prochaine visioconférence)
1. Comment allez-vous vous y présenter ?
Quelle est votre réalité actuelle ? Quelles sont vos émotions, vos humeurs et votre attitude actuelles ?
Steve Gutzler
Vous vous sentez peut-être …
Vidé
Inquiet
Fatigué
Troublé
Stressé
Inquiet
Nous savons que ces émotions sont contagieuses.
« Que vous en soyez conscients ou pas, votre leadership est contagieux ! » Relisez ou découvrez ce billet
Une recherche de l’Université de Harvard supporte l’idée que les émotions que vous ressentez sont contagieuses, même lors d’une réunion virtuelle comme sur Zoom. Elles seront ressenties par chaque participant et affecteront leur état émotionnel.
Soyez conscient de vous-même. Soyez à l’écoute de la façon dont vous vous présentez. Soyez conscient de l’état émotionnel que vous partagez avec vos pairs. Vont-ils quitter cette réunion pleins d’énergie ou allez-vous les quitter en les laissant se sentir épuisés ?
2. Comment voulez-vous y arriver ?
Je sais que cette question m’incite à être intentionnel avec mes émotions. C’est une simple réinitialisation de 60 secondes quand vous vous dites « Je choisis d’arriver maintenant avec les bonnes émotions ».
Le genre d’émotions qui affectent positivement les autres.
Un type d’énergie qui est attractif pour les autres et qui projette l’optimisme.
Un langage corporel unique et confiant. OUI ! Même sur Zoom, votre posture, votre sourire, votre contact visuel et vos expressions parlent haut et fort et montrent si vous êtes un leader confiant qui a une grande présence.
Ne vous laissez pas distraire. Ne vous présentez pas avec un manque d’énergie. N’ignorez pas la contagiosité de vos émotions.
Essayez et je suis sûr que vous aimerez cette approche. Les gens ressentiront votre différence en tant que leader personnel.
J’aime dire : « Vous êtes contagieux avec vos émotions – et j’espère que les gens capturent de bonnes émotions ! »
Découvrez la chaine YouTube de Steve Gutzler et de nombreuses brèves vidéos sur l’Intelligence Emotionnelle.
Voici venir votre prochaine réunion Zoom : Apportez-y de l’énergie positive ! – Steve Gutzler.
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Apprendre à paraître plus confiant dans les réunions peut vous aider à vous faire remarquer et à projeter une présence plus soignée et professionnelle. Il est encore plus difficile d’avoir l’air confiant et de maintenir une présence forte dans les réunions virtuelles.
Mais pour en tirer le meilleur parti, il est important de savoir comment élever votre présence lorsque vous vous réunissez à distance.
Comment paraître plus confiant dans les réunions en ligne ?
Si vous voulez savoir comment paraître plus confiant dans les réunions virtuelles, ces conseils vous aideront. Cela peut vous aider à tirer le meilleur parti de la réunion et à booster votre carrière.
1. Habillez-vous de façon appropriée.
Si vous vous sentez mal à l’aise dans certains vêtements, ne les portez pas.
Enfilez une tenue appropriée au type de réunion à laquelle vous assisterez.
Si vous voulez paraître professionnel, ne portez pas de t-shirts usés ou de hauts à bretelles. Cela ne signifie pas que vous devez porter un costume.
Évaluez simplement la situation et habillez-vous en fonction.
2. Préparez-vous à l’avance.
Avant d’assister à une réunion en ligne, préparez-vous mentalement.
Cela vous aide à participer plus efficacement.
Cela inclut également la préparation de tout matériel dont vous pourriez avoir besoin.
3. Arrivez tôt.
Arriver tôt vous aide à vous installer et à être prêt à commencer dès que tout le monde arrive. Cela vous donne également plus de temps pour examiner les documents ou les présentations avant de commencer la session. Vous aurez également le temps de discuter de manière informelle avant que la réunion commence vraiment, ce qui peut vous aider à vous connecter avec les autres.
4. Positionnez-vous face caméra.
Positionnez la caméra pour qu’elle soit droite devant vous ou légèrement plus haute. N’ayez pas l’appareil sur le côté ou en dessous de vous. Asseyez-vous assez près pour être au milieu du cadre.
Remplissez au moins un tiers de l’écran.
Si vous vous asseyez trop loin, vous apparaîtrez petit sur la caméra.
5. Préparez votre arrière-plan.
Regardez ce qui se trouve derrière vous et ce que les autres verront lorsque vous serez devant la caméra. Ne montrez pas une pièce pleine de linge sale ou trop encombrée.
Asseyez-vous devant un mur épuré ou déplacez certains objets hors de la vue de la caméra.
Et assurez-vous que les autres personnes dans votre maison savent que vous serez en vidéo pour éviter toute situation potentiellement embarrassante.
6. Utilisez l’éclairage.
Lorsque vous utilisez une webcam, évitez la lumière directe du soleil, car cela peut être trop dure. Ne vous asseyez pas avec une lumière vive derrière vous, car il sera difficile pour les autres de voir votre visage. Évitez également les plafonniers trop lumineux ou à lumière froide. Ils délavent les tons de peau. Au lieu de cela, choisissez un éclairage doux qui permet aux autres de voir facilement vos expressions faciales.
7. Tenez-vous debout ou asseyez-vous bien droit.
Lorsque vous êtes debout ou assis face à un écran d’ordinateur, gardez vos épaules en arrière et la tête droite.
Gardez vos bras détendus à vos côtés.
Votre posture doit refléter la confiance et la force.
8. Regardez la caméra.
Le contact visuel transmet l’intérêt et l’engagement. Lorsque vous parlez, regardez votre caméra pour qu’elle donne l’impression d’établir un contact visuel avec ceux à qui vous parlez.
9. Prêtez toute votre attention.
Restez centré sur la réunion.
Assurez-vous de comprendre tout ce qui se passe.
Restez concentré pendant toute la durée de la réunion.
10. Évitez le multitâche.
Le multitâche détourne votre attention de ce qui se passe dans la réunion.
Concentrez-vous plutôt sur une seule chose à la fois.
11. Désactivez les alertes de votre téléphone.
Votre téléphone présente de multiples distractions telles que les appels entrants, les SMS, les e-mails et les notifications sur les réseaux sociaux.
Ceux-ci éloignent votre esprit de la conversation. Coupez-les !
12. Parlez clairement.
Parler fort peut sembler approprié lors d’une communication en face à face, mais cela ne fonctionne pas bien à distance.
Essayez d’utiliser un langage clair et des phrases courtes.
13. N’interrompez pas.
L’interruption rend difficile pour les autres de finir de partager leurs pensées. De plus, c’est impoli. Au lieu de cela, attendez qu’ils aient fini de parler avant de répondre.
14. Posez des questions pertinentes.
Posez des questions plutôt que de penser à votre réponse.
Les questions montrent que vous vous souciez vraiment d’apprendre de ce que les autres partagent.
Cela montre que vous êtes engagé et attentif.
Même si vous n’avez rien d’autre à dire lors d’une réunion, poser une question vous donne la chance de participer et de vous faire remarquer.
15. Participez pleinement.
Ne vous contentez pas d’écouter ; prenez des notes si nécessaire.
Posez des questions et offrez vos propres commentaires.
Soyez prêt à partager des informations et des idées de votre point de vue.
16. Ne propagez pas de commérages.
Soyez respectueux des autres.
Même si vous avez une réunion plus décontractée, la diffusion de commérages vous donne l’air peu professionnel et diminuera la confiance des autres en vous.
17. Restez positif.
Être négatif n’aide en rien l’humeur de quiconque. Au lieu de cela, concentrez-vous sur les solutions plutôt que sur les problèmes.
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Que retenir de ces idées et constatations ?
L’utilisation de ces conseils peut vous aider à paraître plus confiant et à améliorer votre présence dans les réunions virtuelles. Cela peut vous aider à vous faire remarquer, et d’autres vous prendront plus au sérieux au travail. Et ils vous aideront à établir des relations qui peuvent aider votre carrière.
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Je suis tombé par hasard, merci sérendipité, sur cette vidéo TEDx Dunkerque en français que j’ai trouvée à la fois amusante et éducative sur le pouvoir des couleurs.
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Dans nos vies comme notre travail et projets, les couleurs peuvent être utilisées pour servir nos objectifs plutôt que l’inverse.
En fait, nous voyons les couleurs mais ne comprenons pas vraiment l’influence qu’elles ont sur nous.
Les histoires aident les gens à gérer le changement
Voici une vidéo sur « Comment votre cerveau réagit aux histoires et pourquoi elles sont cruciales pour les leaders » en anglais de Karen Eber pour TED
Comment les meilleurs leaders et visionnaires du monde gagnent-ils la confiance ?
Ils ne se contentent pas de présenter des données, ils racontent aussi de belles histoires.
Karen Eber, consultante en leadership, démystifie ce qui rend la narration efficace et explique comment chacun peut l’exploiter pour créer de l’empathie et inspirer l’action.
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3 Biais Cognitifs de plus cette semaine : Valeur perçue, supériorité des images et effet Von Restorff
1 – Biais de Valeur Perçue
Nous percevons la valeur d’un produit ou d’un service en fonction de son apparence et de comment il est servi ou livré. Tout est dans l’emballage !
En quoi suis-je concerné dans mes projets ?
Le design et l’interface utilisateur sont beaucoup plus importants qu’il n’y parait. En fait, ils sont même souvent plus critiques à la réussite que la richesse de fonctionnalités de votre produit. Construire un produit complet et de valeur pour le business de votre client est inutile si le produit n’est pas utilisé parce que jugé trop complexe, peu attirant, de mauvaise ergonomie ou peu pratique.
Comment éviter le plus possible ce travers ?
Toutes les activités autour du design centré sur les utilisateurs et leurs futurs usages du produit sont à valoriser dans vos projets. Le parcours utilisateur doit être soigné de même que les documents servant à présenter le produit, les maquettes, les démonstrations de fin de sprint en approche Agile comme Scrum, la facilité de mise en service, le support à l’installation et au démarrage…
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Ce biais peut-il vous être utile ?
La maquette de votre interface utilisateur doit donner envie de voir le produit fini.
Une belle maquette votre futur livrable avec un design soigné, un choix de couleurs et de présentation soignés, va déjà faire beaucoup pour donner envie à l’utilisateur de posséder votre produit. Même si au départ les fonctionnalités sont très limitées, la qualité visuelle de celles qui sont présentées doit être irréprochable. Une maquette ou un prototype n’est pas un brouillon réalisé à la va vite sur un coin de table.
2 – Effet de Supériorité des images
Ma référence pour préparer des présentations mémorables (sur Amazon)
Les images et photos, films ou autres supports visuellement riches vont davantage marquer les esprits que de grandes déclarations et documents textuels. Cet effet a été démontré dans de nombreuses expériences et avec différentes méthodes. Il se base sur la notion que la mémoire humaine est plus sensible à la symbolique de présentation des informations qu’aux détails de celles-ci.
En quoi suis-je concerné dans mes projets ?
Le métier du management de projet est à 80% centré sur la communication. Même si la plus forte partie de la communication n’est ni écrite ni verbale mais plutôt gestuelle et relationnelle, il y a de grandes chances que les écrits sur le projet soient regardés par un grand nombre de personnes. Certaines seront familières du projet, d’autres plus éloignées survoleront votre document et les images capteront bien plus leur attention que les longs laïus.
Comment éviter le plus possible cet effet ?
Donc, tout document de projet, présentation au comité de projet, description de livrable, état d’avancement, doit être soigné au niveau visuel et le plus possible illustré d’images pertinentes pour donner un aspect à la fois professionnel et positif du projet. Incluez toujours des images dans votre contenu.
La supériorité des images peut-elle vous être utile ?
En choisissant de bons visuels, vous donnez déjà un sentiment positif au lecteur.
Et vous lui donnez aussi envie d’en savoir davantage voire de participer à votre projet quels que soient la qualité et les bienfaits de votre produit final.
Ce désir, ces attentes, ces espoirs, ces rêves vont motiver vos partie prenantes.
3. Effet Von Restorff (Effet d’Isolement)
L’effet Von Restorff, nommé d’après la psychiatre Hedwig von Restorff, ou effet d’isolation, dit qu’un objet qui se détache des autres est plus susceptible d’être retenu. Cet objet suscite ainsi un biais cognitif qui est de percevoir instantanément et sans réfléchir ce qui est inhabituel, distinctif. Quand des objets homogènes multiples sont présentés ensemble, l’objet qui diffère du reste sort du lot et l’on va plus probablement s’en rappeler.
En quoi suis-je concerné dans mes projets ?
L’homogénéité est intéressante mais pas la monotonie.
Si toute votre présentation du projet est sur la même tonalité, dans la même police de caractère, dans le même format, que pensez-vous que votre audience va retenir ? En fait, pas grand-chose car rien de saillant auquel se raccrocher ne facilite la mémorisation.
Comment éviter le plus possible ce travers ?
Lors de présentations, utiliser des images comme vu plus haut, des polices de caractères et effets ou couleurs différentes. Dans une interface utilisateur si votre projet livre une application, mettez le bouton principal sur lequel vous voulez que les utilisateurs appuient dans une couleur et taille distinctives, faites appel à des ergonomes pour améliorer vos design, utilisez des panels de futurs utilisateurs pour avoir leurs retours sur leur usage de votre produit en cours de construction et ajustez vos livrables en conséquence.
Ce biais peut-il vous être utile ?
Sans devenir machiavélique, apprenez dans vos présentations à mettre visuellement en emphase les sujets dont vous voulez parler et que vous souhaitez que les gens retiennent.
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Les soft skills étaient encore à l’ordre du jour en Octobre: Déstresser, moins se préoccuper de ce que l’on peut penser de nous, mais aussi être courageux et reconnaitre nos limites !
Nous voulons tous être aimés et appréciés pour nos nombreux talents, notre vive intelligence, notre bonne nature, notre personnalité brillante.
Mais quand nous commençons à dépendre de ce que d’autres gens pensent de nous et nous mettons leur opinion au cœur de notre succès, nous nous créons des ennuis. Nous commençons à façonner nos vies pour les adapter aux attentes d’autres et à partir de là nous entrons dans un cercle vicieux.
La ou le Manager de projet doit clarifier avec toutes les personnes travaillant sur le projet leur charge de travail induite par le projet et les résultats attendus. Il s’agit de bien aligner les demandes dirigées vers les membres de l’équipe projet pour ne pas générer de demandes contradictoires voire conflictuelles. Il peut s’agir de choses aussi simples que des créneaux de réunions en conflit entre projet et équipe opérationnelle, ou encore des journées de formations ou de congés.
Bien maitriser la gestion des plannings et des risques, savoir utiliser aux mieux les méthodes d’analyse sont des compétences incontournables mais pas suffisantes pour les chefs de projet.
En effet, ces requis historiques sont en train de passer un peu au second plan par rapport à de nouvelles compétences, plus humaines, qui sont demandées avec insistance.
Avec sa connaissance et sa passion pour son sujet, David Phillips est devenu la figure de proue suédoise dans l’art de faire des présentations
David Phillips est l’auteur du livre « How To Avoid Death By Powerpoint » publié dans plus de 30 pays.
Bien que datant un peu car elle fut délivrée en 2014, cette intervention et ses constats restent d’actualité dans bien des entreprises et organisations.
Mais le plus intéressant est bien sûr comment s’améliorer ?
Je retiens ces 5 idées et conseils simples et pourtant si peu mis en pratique
Une et une seule idée par planche
Un maximum de 6 objets par planche
Un texte très large (donc peu de mots) et/ou une image
Utiliser un fond d’écran noir
Travailler les contrastes
Faites le test et partagez les résultats observés !
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La Journée mondiale du sourire, le 1er vendredi d’octobre, a été inventée par un artiste de Worcester (USA), Harvey Ball, qui a créé le célèbre smiley en 1963.
Curieusement, si les Smileyet émoticônes sont toujours aussi présents dans nos vies, nous utilisons désormais le terme « emoji » venu du Japon pour les désigner. Comme quoi, le sourire est très international !
Selon, Ron Gutman qui a mené de nombreuses études dans le monde entier sur le sourire :
Moins de 3€ sur Amazon en format Kindle, de quoi sourire !
Les personnes qui ont un grand sourire réussissent mieux dans la vie
Donnez une présentation de quatre minutes et prenez votre temps.
L’alternative est d’essayer de délivrer un speech de six ou sept minutes en cinq minutes. De vous précipiter. De vous énerver. De dépasser la durée. D’agir d’une façon qui contredit votre professionnalisme.
Non. Mieux vaut rester fidèle à l’approche des quatre minutes.
Le truc est que vous n’aurez jamais assez de temps pour détailler suffisamment chaque aspect. Cela vous prendrait des années.
Servez juste la bonne portion, avec les meilleurs ingrédients.
Le contrôle de la quantité est votre ami. Déterminez la taille du plat et servez-en juste la bonne quantité.
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Un partage d’expérience très utile à tous les managers de projets et leaders pour partager leurs idées
Storytelling, effet de primauté, mise en action des 5 sens, phénomène d’ancrage sur des choses connues, utilisation d’analogies, effet de proximité… sont autant de sujets abordés lors de cette intervention.
Le schéma permet de visualiser d’un coup d’œil l’ensemble du sujet, le canal auditif et intelligence verbale sont mobilisés et enfin on utilise aussi le canal kinesthésique avec les chemins par exemple sur les mind maps.
Clarence a toujours été très rebelle face au monde de l’éducation et de la manière dont les professeurs lui enseignaient leur savoir de façon automatique et rarement pédagogique. A la suite d’une expérience en tant que chef de produit dans un grande entreprise, Clarence Thiery s’est rendue compte de son besoin de maîtriser l’ensemble des décisions de l’entreprise pour être heureuse dans son travail.
Clarence s’est alors associée en 2010 pour créer une agence de conseil en pédagogie, SYDO, dont l’objectif est de faire évoluer l’enseignement dans les établissements scolaires et la formation dans les entreprises. Il s’agit de constamment développer des solutions intelligentes et innovantes pour que les gens apprennent, comprennent et retiennent mieux.
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Nancy Duarte à écrit ce livre disponible sur Amazon
Récemment nous avons reçu un tweet d’un suiveur de @Duarte demandant des conseils pour aider un présentateur qui bégaie. “Le présentateur est compétent avec le matériel” disait le message “mais sur scène, il devient nerveux et commence à bafouiller.”
Comme pathologiste du discours, j’ai immédiatement commencé à penser au bégaiement d’une perspective clinique. J’avais des flashbacks d’un projet que mon professeur m’avait assigné à l’école. Nous devions nous rendre dans un endroit public et parler avec un bégaiement. Plein d’hésitations, de blocages, d’arrêts et de répétitions. On nous a demandé de noter les réactions des auditeurs.
La gamme de réactions que j’ai reçues était fascinante. Oui, la plupart des personnes étaient visiblement inconfortables. Mais ils donnaient des sourires encourageants, essayaient de finir mes phrases pour m’aider et montraient en général une énorme quantité de patience et d’empathie. J’ai senti que les gens étaient vraiment compatissants.
Comme vous pouvez l’imaginer, il est incroyablement irritant d’être incapable de s’exprimer.
C’était une expérience de valeur pour moi, comme professionnelle de la communication, parce que je me rends compte que, même si parler en public n’est nullement comparable avec un diagnostic clinique de bégaiement, le combat pour communiquer est le lien qui les relie. Comme le mentionnait la personne sur Twitter, il y a des moments dans les prises de parole en public où vos nerfs prennent le dessus et votre qualité de discours en souffre.
Heureusement, il y a des techniques des thérapies cliniques pour aider un bègue à soulager son expression orale, et les orateurs publics ont aussi des options.
7 astuces sur la façon de vous arrêter de bafouiller quand vous donnez une présentation
Reconnaissez que le bégaiement est en fait le trac qui dresse son hideux visage. Utilisez les astuces suivantes pour vous aider à vous détendre et parler clairement.
1. Visualiser quelque chose de positif
Visualisez quelque chose qui vous détend.
Il y a deux types de visualisations que vous pouvez essayer pour réduire votre trac pendant une présentation. La première est, avant de monter en scène, de vous visualiser donnant avec succès une intervention sans accroc. De multiples études ont montré que les gens qui se visualisent réussissant leur prise de parole, exécutent mieux que ceux qui ne le font pas. Vous pouvez aussi essayer de visualiser quelque chose qui vous rend heureux et détendu. Ou imaginez quelqu’un ou quelque chose que vous aimez, cela vous calmera et vous réconfortera. Par exemple, j’ai vu de grands orateurs utiliser cette technique avec les images de leurs enfants sur le podium.
2. Familiarisez-vous avec l’espace où vous allez présenter
Visitez le lieu du rendez-vous quelques jours avant votre prise de parole.
Assurez-vous que vous êtes familier avec l’espace dans lequel vous donnerez votre discours. Ainsi, pas de surprise sur ce plan là quand vient le moment de présenter. Si possible, visitez le lieu du rendez-vous quelques jours avant votre prise de parole, pratiquez-y autant que possible et posez des questions sur l’installation pour vous sentir bien préparé. Le bégaiement arrive souvent quand nous sommes distraits. Se familiariser avec l’espace et son environnement réduira au minimum ces distractions et réduira l’accélération de votre rythme cardiaque ou une respiration irrégulière qui peuvent mener au bégaiement.
3. Répétez, Répétez, Répétez.
Pensez à vous enregistrer en vidéo.
Une des façons d’empêcher le bafouillage dans une présentation est de répéter. La répétition est clef pour avoir l’assurance de bien connaitre votre matériel avant que vous ne montiez sur scène. Si vous avez l’occasion de répéter à l’endroit où vous livrerez votre speech, c’est idéal. Si vous ne le pouvez pas, essayez de pratiquer devant un auditoire familier, de vous enregistrer en vidéo, ou même en audio. Recevoir quelques réactions aidera à guider votre façon de répéter. Il est difficile de retenir votre présentation en entier, mais assurez-vous de vous concentrer sur l’ouverture et la conclusion. Si vous commencez avec une entrée en matière réussie, vous allez probablement continuer sur ce mode. Et bien sûr, vous voulez finir sur un temps fort. Même si vous bégayez un peu au milieu de votre discours, votre auditoire se rappellera surtout de vos intro et conclusion impressionnantes.
4. Prenez une ou plusieurs profondes respirations
Inhalez et exhalez longuement, une respiration lente calme et réduit votre rythme cardiaque.
Avant d’entrer en scène, concentrez-vous sur le rythme de votre respiration. Inhalez et exhalez longuement, une respiration lente calme et réduit votre rythme cardiaque. Une fois que vous sentez bien avec un rythme contrôlé de respiration, essayez d’en prendre conscience quand vous êtes dans l’action. Si des surcharges d’adrénaline surviennent, que votre rythme cardiaque s’emballe et que vous commencez à bégayer, il devient difficile pour votre auditoire de vous comprendre. Utilisez les techniques de respiration profonde pour réprimer l’inquiétude et vous débarrasser de ses symptômes physiques. Dans une étude sur l’inquiétude de prise de parole en public, des chercheurs australiens ont constaté que les musiciens qui ont pratiqué la respiration profonde avant le concert étaient capables de faire baisser leur tension et d’augmenter la concentration d’oxygène dans le sang. Ils recommandent :
“Avant de penser aux bêtabloquants, quelqu’un faisant face à une situation provoquant de l’inquiétude pourrait vouloir essayer une alternative extrêmement bon marché, garantissant aucun effet secondaire négatif. La manière peut-être la plus simple de chasser sa crainte est d’exhaler lentement, consciemment.”
5. Canalisez l’énergie de la nervosité avec le mouvement du corps
Pensez à l’adrénaline que votre corps vous libère avant une activité physique ou une compétition. Cette adrénaline vous donne l’énergie dont vous avez besoin pour être performant. Au sport, nous sommes formés pour considérer cela comme une bonne chose. Pourquoi sommes-nous formés pour penser que c’est mauvais dans un cadre business ? Utilisez-la en positif ! Si vous avez besoin d’une manière plus physique de canaliser votre énergie, déplacez-vous un peu sur la scène.
Vous pouvez canaliser votre énergie en utilisant des gestes variés qui soutiennent votre contenu.
Une marche lente, stable à travers la scène peut imposer un rythme qui ralentira votre pensée, repositionnera la vitesse de votre discours et réduira la confusion qui mène souvent au bégaiement. Assurez-vous de ne pas vous déplacer constamment ou trop rapidement, cependant, sinon cela distraira votre auditoire. Vous pouvez aussi canaliser cette énergie en utilisant des gestes variés qui soutiennent votre contenu. Essayez de ne pas utiliser les mêmes mouvements répétitifs parce que cela peut aussi distraire votre auditoire. Les auditeurs apprécieront que vous ayez partagé votre grande énergie à travers des mouvements naturels, souples et ne remarquerons probablement pas même votre nervosité.
6. Ralentissez
Quand le bégaiement survient dans le discours, c’est souvent parce que votre esprit et votre bouche ne sont plus synchrones. La solution évidente pour vous est de ralentir. Plus facile à dire qu’à faire quand vous êtes sur l’estrade et nerveux. Il y a deux solutions faciles pour réduire le débit de votre discours. Le premier est de sur-articuler. Utilisez vos lèvres, langue et la mâchoire pour exagérer votre prononciation des mots. Vous allez vous sentir comme si vous parlez à un public d’une autre langue maternelle ou à votre grand-mère qui est dure d’oreille. C’est très bien ! Sur-articuler allonge vos mots et vous ralentit. La deuxième option est de faire une pause. Les orateurs ont si peur du silence… Quelques secondes semblent une éternité pour quelqu’un qui est nerveux. Mais, quand vous arrêtez de parler, vous permettez à votre cerveau de rattraper le fil. Vous êtes capable de réfléchir à votre idée suivante et de vous remettre en piste.
7. Prenez du sommeil
Beaucoup d’orateurs pensent que s’ils répètent jusqu’à la toute dernière minute, la présentation se passera davantage sans à-coup. Bien que nous suggérions absolument de répéter, la sur-préparation peut vous nuire. Autrement dit, s’il vous plaît ne restez debout toute la nuit à répéter et retenir ! Cela ne fera pas le calme en vous et peut, en fait, vous rendre plus nerveux et causer les bégaiements. A la place, assurez-vous que vous êtes bien reposé pour votre speech. Les études montrent que les gens qui sautent du sommeil pour étudier réussissent moins bien aux tests que ceux qui ont moins étudié mais ont pris le temps de se reposer. La fatigue va aussi probablement entraver votre exécution que le manque de préparation, parce que quand nous sommes fatigués, il est difficile de nous concentrer. La préparation n’est pas seulement affaire de répétitions. C’est aussi permettre à votre esprit de prendre une pause bien méritée.
Nous avons travaillé avec une large variété de speakers. Des débutants aux cadres expérimentés des C-suite. A un moment ou à un autre, tous ont été nerveux et cela a affecté la façon dont ils présentaient. Si vous avez souffert de bégaiement lors d’un discours, ces astuces peuvent vous aider à donner une présentation cruciale à votre équipe ou un discours très important à un client. Il est normal d’être nerveux, mais la prise de mesures concrètes pour surmonter vos appréhensions lors de présentations en public vous aidera à rester calme. En travaillant sur vos symptômes physiques de l’inquiétude, vous pouvez être capable d’éliminer le bégaiement une fois pour toutes.
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Je vous ai déjà parlé du concept japonais nommé Ikigai (生き甲斐) qui signifie “la raison d’être”.
L’auteur de cette vidéo propose de l’appliquer de manière pratique pour trouver que faire de sa vie quand on a rien pour se guider dans le vaste océan des possibles.
Réponses à l’enquête 2018 menée par le blog DantotsuPM auprès de ses lectrices et lecteurs.
La lourdeur des processus, le manque de temps et les problématiques d’engagement de la direction, des équipes, des managers transverses et bien sûr les réticences aux changements sont ressortis de manière particulièrement exacerbée cette année.
Ce fut certainement l’un des points les plus troublants lors de mes voyages professionnels au Japon : On n’y dit jamais non !
« Exprimer son désaccord en japonais n’est pas qu’une affaire de mots mais aussi de coutumes, de règles et de respect de l’autre. Un « non » direct est considéré comme trop franc, trop fort et est, en général, mal perçu. Aussi, les japonais disposent-ils de tout un attirail d’expressions leur permettant de refuser poliment tout en respectant leurs interlocuteurs… »
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Quand vous avez une idée, proposition, ou recommandation en laquelle vous croyez fermement, il est facile de présumer que l’obtention de son approbation sera facile. Si vous voyez combien l’idée est brillante, pourquoi tous les autres ne feraient pas de même ? Cependant, ce qui fait qu’une audience accepte une idée est souvent moins lié à l’idée elle-même qu’à comment vous la présentez.
Quand vous avez besoin d’une approbation, ne supposez pas que, simplement parce que l’idée est excellente, d’autres la verront comme vous : il faut les en convaincre.
Ce que disent les experts
Quand on recherche l’approbation, le style peut être aussi important que la substance. « Le choix des mots a son importance » dit John P. Kotter, Officier En chef de l’Innovation chez Kotter International et professeur honoraire à Harvard dans son livre
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« Buy-in: Saving Your Good Idea from Getting Shot Down ». Et souvent, vous n’aurez qu’une seule opportunité devant votre patron, Comité exécutif, ou tout autre groupe qui décidera du destin de votre idée. « Les impressions initiales sont très fortes et elles peuvent être difficiles à contrecarrer » dit Michel I. Norton, un Professeur Associé d’administration des affaires à l’École de commerce de Harvard. Il ne s’agit pas de forcer l’idée et ses nombreux mérites dans la gorge de votre auditoire. Pensez à comment vous pouvez soigneusement faire passer votre idée à travers le processus d’approbation. « Plus les intérêts sont élevés, plus cela vaut la peine de prendre le temps de bien le faire » dit Kotter. Voici 5 façons de donner une chance à votre proposition.
1. Former des alliances très tôt
Avant que vous ne présentiez une idée ou demandiez des ressources ou une approbation, c’est une bonne idée de la tester avec les responsables qui peuvent ou pas donner le feu vert. « Parfois cela ne nuit pas d’en parler un peu et de voir ce qui allume une étincelle dans les yeux des personnes ou les referme » dit Kotter. Cela peut aussi faire remonter à la surface tôt dans le processus des questions ou des commentaires. Une fois que vous avez testé le terrain, vous pouvez prévoir des rencontres plus formelles avec des parties prenantes clefs pour demander leur support.
Ces réunions servent trois buts :
Elles construisent la nécessaire adhésion à votre idée.
Elles montrent à vos parties prenantes que vous êtes intéressé par leurs avis.
Elles vous aident à améliorer et développer votre idée. Il est possible que ces parties prenantes voient quelque chose dans votre idée que vous n’avez pas vu.
Plus vous comprenez les sentiments de votre audience envers votre proposition, mieux vous pouvez vous préparer pour la faire approuver.
2. Préparez-vous, préparez-vous, préparez-vous
La manière dont vous répondez aux questions et préoccupations jouera un grand rôle dans votre succès ou échec. « En premier lieu, quand vous regardez quelqu’un trébucher sur la réponse à une question, vous en déduisez qu’ils ne savent pas de quoi ils parlent » dit Norton. Affichez de la confiance afin que les personnes pensent que votre recommandation est bonne. Avant que vous n’entriez dans votre présentation, réfléchissez bien aux préoccupations possibles de votre auditoire.
Dans Buy-In, Kotter et Lorne Whitehead exposent les 4 stratégies de base les plus souvent utilisées pour tuer une idée :
Remettre la décision à plus tard donc la retarder jusqu’à ce que mort s’en suive
Créer la confusion par un barrage de questions ou de détails inutiles
Remuer des problèmes ou craintes irrationnels
Vous attaquer personnellement
Faites entrer les lions !
Plutôt qu’éviter ces attaques, Kotter et Whitehead suggèrent de « faire entrer les lions dans l’arène » pour critiquer votre idée. Ne marginalisez pas les personnes qui démoliront votre idée. Au lieu de cela, développez des réponses concises, honnêtes à chacune des tactiques qu’ils peuvent utiliser. En le faisant à l’avance, vous construisez votre confiance en vous-même et pouvez éviter de devenir inquiets ou irrités quand les gens défient votre idée.
3. La positionner pour votre auditoire
« Vous voudrez absolument façonner les détails de votre présentation en fonction votre auditoire » dit Norton. Comment votre idée leur bénéficie-t-elle ? Ils peuvent chercher à gagner en prestige, à réduire des coûts, ou trouver une opportunité de construire leur environnement autour de votre idée. Construisez votre présentation pour qu’elle parle directement de ces avantages et des manières dont votre auditoire en bénéficiera.
En faisant cela, dit Kotter, vous créez un état d’esprit positif (positive mindset) autour de l’acceptation de votre idée ou proposition.
4. Faire simple
ne perdez pas les gens en présentant trop d’idées.
« La malédiction du présentateur est que vous en savez beaucoup plus que votre auditoire sur le sujet » dit Norton. Concentrez-vous sur un ou deux points principaux et évitez d’essayer de prouver votre connaissance. Soyez judicieux sur la quantité de données et d’analyse que vous présentez. Des présentations excessivement détaillées peuvent distraire les gens, les faisant se sentir stupides de ne pas parvenir à vous suivre. De plus, ces détails peuvent consommer trop de temps. Même si votre auditoire demande plus de détails, soyez économe.
Ici, Kotter indique qu’une des tactiques utilisées par les personnes pour tuer une idée est de présenter des informations qui font diversion ou demander tant de détails que les autres s’y perdent.
5. Répondre aux questions avec confiance
Ne cherchez pas à surinterpréter les questions.
Quand vous présentez une idée nouvelle, « les personnes auront toutes sortes de réactions et voudront en discuter » dit Norton. Beaucoup de présentateurs se laissent distraire en essayant de discerner l’intention derrière les questions ou les commentaires. Essaye-t-il de me rejeter ? Déteste-t-il l’idée ? N’a-t-elle pas confiance en mon jugement ? Ne vous donnez pas la peine d’essayer de découvrir ces motivations. Concentrez-vous sur répondre à la question aussi simplement et franchement que possible. Peu importe l’agressivité, le comportement négatif, ou apparemment idiot que la question peut refléter: « Vous voulez ressembler à un homme d’état » dit Kotter. « Traitez-la toujours comme une question raisonnable venant d’une personne raisonnable ».
Si vous recevez une question hors sujet ou potentiellement déviante, vous pouvez répondre à la question que vous auriez aimé que la personne pose au lieu de celle-ci.
Dans un papier de réflexion récent « l’art de répondre à une mauvaise question de la bonne façon » Norton et Todd Rogers ont trouvé que l’on a plus confiance dans les personnes qui se dérobent astucieusement à une question qu’en ceux qui y répondent de manière moins élégante (people who « artfully dodge » questions are trusted more than those who respond directly to questions in a less elegant way). « Si nous savons que quelqu’un esquive la question, nous ne l’aimons pas. Mais très, très souvent, nous ne le remarquons pas. » dit Norton. Vous pouvez donner une réponse qui est vaguement proche de la question, mais qui ramène avec assurance votre auditoire sur votre point principal.
Quelques principes à garder à l’esprit
Faire :
Rencontrer vos parties prenantes importantes avant d’avoir besoin de leur approbation formelle
Présenter votre idée en termes d’avantages dont votre auditoire tirera bénéfices
Répondre aux questions avec concision et assurance
Ne pas faire:
Image courtesy of iosphere at FreeDigitalPhotos.net
Supposer que votre auditoire pensera que c’est une bonne idée simplement parce que vous le pensez
Écraser votre auditoire par une analyse détaillée ou des spécificités
Devenir défensif ou se mettre en colère quand les gens questionnent votre idée
Ami Gallo, l’auteur de ce billet nous propose ensuite dans son article original deux exemples précis : Construire et démultiplier les alliances ; Persister de manière cohérente.
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Je vous invite à lire et/ou cet article de Garr Reynolds, Professeur de Management à la Kansai Gaidai University au Japon où il enseigne le global marketing et le design de présentations multimédias.
13 enseignements de communication et de vie provenant des enfants
Nous pouvons apprendre beaucoup d’un enfant. Beaucoup d’adultes ont parfois des comportements enfantins, mais trop peu d’adultes se permettent de redevenir vraiment comme des enfants et avoir une approche et des comportements qui mettent en exergue le meilleur d’être un enfant.
Évidemment, le point n’est pas que nous devrions devenir littéralement comme un groupe d’enfants de maternelle car celui-ci ne va pas construire la prochaine navette spatiale ni trouver un remède à une maladie infectieuse cette année. Mais considérons cela comme un exercice de développement personnel.
Observer la nature innocente d’un petit enfant offre des suggestions pratiques et lumineuses pour changer notre approche envers la vie et le travail « d’adultes sérieux » comprenant les tâches de présentation, facilitation et enseignement.
Vous pourriez probablement trouver 100 choses que font les enfants et que vous voudriez être encore capable de faire aujourd’hui. En voici seulement 13.
(1) Soyez totalement présent dans le moment.
Selon les paroles de David M. Bader: « Soyez ici maintenant. Soyez ailleurs plus tard. Est-ce si compliqué ? » Nous les adultes vivons souvent dans le passé (ou bien avons nos pensées dans l’avenir). Beaucoup d’adultes trainent des préconceptions, des préjugés et peuvent même encore irrités par quelque chose qui s’est produit il y a des années voire même des centaines d’années et bien avant qui que ce soit qu’ils connaissent ne soit né.
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Alors que les très petits enfants ne s’inquiètent pas et ne se tourmentent pas à propos du passé ni de l’avenir. Qu’est-ce qui est le plus important en ce moment ? “Le cadeau le plus précieux que nous puissions offrir aux autres est notre présence » dit Thich Nhat Hanh.
(2) Permettez à votre spontanéité de s’exprimer.
Nous sommes souvent excessivement rigides et nous nous inquiétons trop de ce que d’autres peuvent penser ou dire et, en conséquence, nous nous autocensurons avant même d’essayer. Je ne parle pas d’anarchie, je parle du retour à un peu de ce comportement enfantin où vous agissiez davantage sur votre intuition et permettiez à vos caprices et impulsions de l’instant de vous mener vers toutes sortes de découvertes accidentelles. Notre crainte et notre tendance à garder nos pensées fixées sur le passé ou l’avenir nous empêchent d’être spontanés sur le moment.
(3) Bougez votre corps!
Bouger c’est vivre et grandir. Quand nous étions enfants, personne n’avait besoin de nous dire de sortir de la maison et de faire de l’exercice. Nous jouions au football dans la cour jusqu’à ce qu’il fasse si sombre que nous ne pouvions plus voir la balle. Le mouvement et l’exercice sont la façon dont les enfants apprennent et l’exercice physique améliore chez les adultes la connaissance et la mémoire à court terme comme à long terme.
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L’homo sapiens s’est développé pour se déplacer beaucoup plus que les mouvements moyens d’une personne de nos jours. Le déplacement est la chose la plus naturelle d’entre toutes, certainement plus naturelle que rester assis sur son derrière toute la journée à regarder fixement dans une boîte ou à supporter cours après cours en restant immobile sur des chaises inconfortables. Bougez et encouragez les autres à faire de même. « Nos cerveaux ont été construits pour marcher à pied 2 kilomètres par jour! » dit Dr. John Medina.
(4) Jouez et soyez joueur.
Jouer c’est explorer et découvrir. Le jeu nous aide à apprendre et découvrir de nouveaux points de vue. Vous pouvez être « une personne sérieuse » et jouer. Les astronautes de la NASA sont sérieux, méchamment intelligents et physiquement affutés et sont en même temps des hommes et des femmes de science. Pourtant, ils font le job dont ils ont rêvé étant enfants et ils ne sont pas au-dessus du fait d’être joueur comme le Commandant d’Apollo 14, Alain Shepard, l’a démontré en utilisant son fer de 6 pour frapper des balles de golf sur la lune. Le fait d’être joueur est une attitude créatrice qui révèle le meilleur en vous et chez les autres. Confucius a dit, « Trouvez un job que vous aimez et vous ne travaillerez plus même un seul jour de votre vie. »
(5) Faites des erreurs.
Les enfants font des tas « d’erreurs », c’est comme cela qu’ils apprennent. Bien que nous soyons des professionnels, nous pouvons aussi apprendre d’erreurs, si nous sommes enclins à risquer d’en faire. Même les experts font des erreurs. Un vieux proverbe japonais dit « Même les singes tombent des arbres » (Saru mo ki kara ochiru — も木から落ちる). Ne vous soucier pas de faire des erreurs, apprenez de celles-ci. « L’Échec est la clé du succès. » a dit le Grand Maître Morihei Ueshiba. « Chaque erreur nous apprend quelque chose. »
(6) Ne cherchez pas à impressionner les gens.
Au final, la pression des pairs surviendra, bien sûr, mais j’ai constaté que les très jeunes enfants sont naturellement capables d’être dans l’instant présent et sans crainte de ce que d’autres peuvent penser de leur comportement « stupide ».
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« N’essayez pas de faire croire à quelqu’un que vous êtes plus intelligent que vous ne l’êtes » dit l’auteur Brenda Ueland. « Pour quoi faire ? Vous ne pouvez jamais être plus intelligent que vous l’êtes. »
Dans les paroles de Benjamin Zander, “C’est le moment — c’est le moment le plus important immédiatement…. Il ne s’agit pas d’impressionner les gens. Il ne s’agit par d’obtenir le prochain boulot. Il s’agit de contribuer à quelque chose.
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« Quand vous êtes dans l’instant présent et vraiment engagés dans votre travail et vos idées, l’idée d’essayer d’impressionner d’autres personnes n’est qu’une distraction inconfortable. »
(7) Montrez votre enthousiasme.
« Le simple enthousiasme est le tout en tout, » dit Brenda Ueland. Vous ne devez pas dire à des petits enfants d’être enthousiastes sur quasiment quoi que ce soit (excepté peut-être les brocolis). Il y a longtemps, quand je visitais de nombreuses écoles au Japon, j’ai remarqué que les écoles primaires étaient bourdonnantes d’activité et pleines d’étudiants totalement engagés, enthousiastes. Cela continuait de même dans les premières semaines de collège, mais le niveau d’enthousiasme en prenait un grand coup quand ils progressaient dans ce système piloté par les examens de l’enseignement secondaire. Cet étudiant de classe élémentaire énergique est toujours à l’intérieur de vous. Imaginez ce qui pourrait se produire si vous aviez combiné cet enfant que vous aviez l’habitude d’être avec la personne qualifiée, bien informée et sage que vous êtes devenue aujourd’hui.
(8) Restez ouvert aux possibilités et aux idées « folles ».
Cela se rapproche de l’idée de conserver l’état d’esprit du débutant. Shunryu Suzuki a dit « Dans l’esprit du débutant il y a beaucoup de possibilités, dans l’esprit de l’expert il y en a peu. » Vous pouvez être un expert, mais pour apprendre, votre sac à dos doit être vide. Mais pour beaucoup d’adultes, leurs sacs à dos débordent d’excuses et ils sont dans un état d’esprit négatif et fermé déguisé en scepticisme.
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Le scepticisme sain et impartial est une bonne chose, mais trop d’adultes peuvent vous donner un million de raisons pour lesquelles cela ne peut être fait ou n’a jamais été fait. Les sceptiques abondent, mais la vie est trop courte pour traîner avec des pessimistes chroniques et obtus d’esprit.
(9) Soyez follement curieux, posez plein de questions.
Nous pensons à l’enseignement formel essentiellement comme l’obtention de réponses, mais les questions sont souvent plus importantes. La connaissance est importante, évidemment, mais les « et si ? » et « je me demande pourquoi ? » sont la substance de l’imagination et de l’engagement avec le monde matériel. En premier viennent les questions, ensuite commence l’exploration et les découvertes c’est-à-dire l’étude. Les enfants sont des sortes de gentils scientifiques miniatures en ce sens qu’ils sont naturellement et insatiablement curieux du monde qui les entoure. Un adulte avec une curiosité insatiable n’arrêtera jamais d’apprendre et grandir. C’est la curiosité qui nous fait avancer. Pourtant, en tant qu’adultes, nous pouvons être devenus blasés. Les meilleurs enseignants et les meilleurs présentateurs stimulent notre curiosité naturelle. « Vous n’apprenez jamais rien quand on vous donne la bonne réponse, pourtant vous êtes récompensés pour le faire dans les écoles » dit le fondateur de TED Richard Saul Wurman.
(10) Sachez que vous êtes un créateur/créatrice né/e.
Demandez aux enfants de n’importe quelle première classe de primaire qui parmi eux est un artiste et toutes les mains se lèvent. Au moment où ils entrent à l’université, vous obtiendrez à grand peine qu’une main se lève dans une classe quand vous demandez « qui se considère créatif ? » Est-ce parce qu’ils ont été éduqués pour perdre leur créativité comme Monsieur Ken Robinson le suggère ? Indépendamment de votre profession ou éducation — si vous êtes un artiste, designer, enseignant, ou ingénieur — vous êtes un individu suprêmement créatif. Si vous en doutez, vous volez le monde et vous-même de votre vrai potentiel et d’une grande contribution.
(11) Souriez, riez, aimez.
Prenez votre travail, très, très sérieusement, bien sûr. Mais il n’y a aucune raison de vous prendre tant au sérieux. Le plaisir véritable que vous projetez avec vos sourires et votre rire spontané est communicatif. Votre solitude maussade est une humeur qui est également communicative. Quelle humeur est la plus engageante ? Quelle humeur voulez-vous vous voir reflétée en retour ? Le rire et le sourire sont des cadeaux à vous-même et aux autres.
(12) Ralentissez.
Oui, se concentrer est bien sûr important, mais toutes les distractions ne sont pas de mauvaises choses. Arrêtez-vous et observez le monde autour de vous. Cela stimule votre imagination. Dit Brenda Ueland : « l’imagination a besoin de temps, de longues périodes inefficaces, d’heureux moments de fainéantise, de flânerie. Les gens qui font toujours les choses en vitesse et sont aussi occupés que des souris en cage, auront quelques d’idées pointues, impromptues… Mais ils n’auront aucune lente et grande idée. » Un petit enfant marchant sur un chemin s’arrêtera et remarquera la nouveauté tout autour de lui, tandis que nous autres, adultes impatients, voulons seulement arriver à notre destination aussi tôt que possible. Les adultes ressentent aussi le bonheur de cette manière. Le bonheur est toujours dans le futur, là-bas, si je peux juste arriver « là-bas » en un certain endroit ou situation dans l’avenir. Cette constante orientation sur le futur pousse beaucoup d’entre nous à manquer les choses remarquables qui abondent naturellement dans la vie, ici et maintenant. Ralentissez et autorisez-vous à être distrait de temps en temps par les miracles de vie autour de vous.
(13) Encouragez les autres.
C’est une chose étonnante de voir que même les petits enfants s’aident et encouragent les autres. Les bons enseignants et les bons leaders inspirent et encouragent aussi. Anatole France a dit « les neuf dixièmes de l’enseignement sont de l’encouragement.” Mais que devriez-vous faire quand vous vous sentez vous-même découragés ? Un vieux proverbe Zen a une réponse simple : « Encouragez les autres. »
Il y bien plus de choses que nous pouvons apprendre des enfants, bien sûr, alors n’hésitez pas s’il vous plaît à partager ici vos idées dans les commentaires !
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Ma référence pour préparer des présentations mémorables (sur Amazon)
Garr Reynolds a révolutionné ma manière de préparer et de donner des présentations en public. Si j’en juge par les commentaires de mes collègues et amis et des personnes assistant à ces présentations, il m’a permis de rendre mes interventions plus dynamiques, inspirantes et mémorables. Je ne saurai donc que vous recommander son livre présentationzen.
Dans ce billet, il nous propose quelques leçons à puiser dans l’Aïkido pour améliorer nos performances lors de présentations interactives où il arrive souvent que le présentateur soit challengé par des membres de l’auditoire.
À un certain point dans une présentation future vous pouvez rencontrer des questions difficiles ou même un membre de l’auditoire hostile plus intéressé par vous faire paraître idiot ou vous faire dérailler pendant votre conversation que de rechercher la vérité. Cela arrive. Même si un membre de l’auditoire veut vraiment assumer le rôle « d’adversaire », votre irritation ou toute expression de colère ne donnera certainement rien de bon, ni pour vous, ni pour le de votre auditoire (dont 98 % pourraient soutenir vos idées). L’art martial japonais moderne d’Aïkido (合気道) est porteur de nombreuses leçons sur comment nous comporter efficacement dans des situations quotidiennes de challenge, y compris comment répondre à des questions et personnes difficiles. L’aïkido signifie « la voie d’harmonie spirituelle » et a été établi dans les années 1920 par Morihei Ueshiba. L’aïkido est pratiqué dans un dojo mais il nous offre aussi des applications d’harmonie et de paix dans la vie quotidienne qui s’étendent bien au-delà du tatami. L’aïkido est une réponse efficace au conflit ainsi qu’une approche envers la vie et un mode de vie qui cherche à promouvoir des solutions harmonieuses.
La non-résistance, l’harmonie et l’assertivité
Ueshiba-sensei, aussi appelé O-sensei (le grand enseignant), n’était pas un homme imposant par sa taille, mais ses compétences d’artiste des arts martiaux étaient réputées pour être inégalées. Et comme indiqué par John Steven dans Budo Secrets, Ueshiba était aussi un philosophe et un homme très spirituel qui a passé beaucoup de temps à parler avec ses étudiants des significations plus profondes reflétées dans l’Aïkido. « L’univers nous apprend toujours l’Aïkido, même si nous échouons à le percevoir » a dit Ueshiba. O-sensei pensait que l’univers est notre plus grand enseignant et notre plus grand ami. L’aïkido est non violent et souligne le concept d’utiliser plutôt que s’opposer à la force d’une autre personne ou d’une situation. « La voie du Guerrier n’est pas de tuer et de détruire, mais de favoriser la vie, de continuellement créer. » Dans l’Aïkido on n’attaque pas. « Si vous voulez frapper d’abord pour gagner l’avantage sur quelqu’un, c’est la preuve que votre formation est insuffisante » a dit O-sensei. Cependant, on ne s’enfuit pas ni ne se recroqueville devant l’attaque. L’aïkido n’est pas passif. Plutôt, l’Aikidoka laisse l’autre attaquer et utilise l’agressivité ou l’énergie de l’attaquant contre lui. De cette façon on peut défaire un adversaire par la non-résistance en démultipliant la force de l’autre plutôt qu’en utilisant sa propre force brutale pour résister.
Voici 7 leçons pratiques de l’esprit de l’Aïkido que nous pouvons appliquer à la communication en général et en particulier pour gérer un membre d’auditoire agressif.
1 – Ici et Maintenant.
Dans Aikido, Harmony, and the Business of Living (Zanshin Press), Richard Moon appelle la pratique d’être entièrement présent et entièrement conscient « Ressentez Où Vous Êtes ». Si vous devez vraiment écouter, pour engager et entrer en empathie avec quelqu’un qui vous défie, alors vous devez vous-même être complètement conscient de votre situation et conscient de leur situation et de tous les signaux faibles. Celui qui est entièrement dans le présent ne peut pas être pris par surprise. « L’action de ressentir où vous êtes » dit Moon « affine la conscience en attention. » Chaque personne dans votre auditoire mérite votre pleine attention. Il y a de l’énergie en votre présence, c’est-à-dire quand vous êtes totalement présent.
2 – La taille n’importe pas.
L’aïkido n’est pas de la force brutale. Un aïkidoka qualifié peut neutraliser un adversaire beaucoup plus grand, non pas en s’opposant à sa force, mais en s’intégrant à l’énergie de l’adversaire et le guidant, le contrôlant. Vous n’avez pas besoin de vous sentir intimidé par le fait que d’autres peuvent préjuger de vous ou supposer que vous êtes dans une position plus faible. Peut-être êtes-vous nouveau ou jeune ou un étranger, mais ces choses n’importent pas. Ce qui importe est que vous êtes préparé, totalement prêt et écoutez pleinement (avec vos oreilles et aussi vos yeux et votre cœur).
3 – Rechercher l’harmonie.
Ki (気) peut être traduit par « la force de vie » ou « la force vitale » ou plus communément par « l’esprit » ou « l’énergie ». C’est l’énergie vivante qui coule en toutes choses. L’aïkido apprend à l’étudiant comment être en harmonie avec l’esprit/énergie de l’univers et comment utiliser cette énergie de vie plutôt qu’y résister. Dans l’Aïkido, la force et l’énergie ne concernent pas la force du corps, qui est limitée, mais la puissance du ki, qui est illimitée. « Nous ne pouvons pas contrôler le ki mais nous pouvons créer la situation idéale en nous pour que le ki fonctionne, » dit le dernier Maître d’Aïkido Kensho Furuya. L’attention appropriée, le calme, la présence, aussi bien que la relaxation dans le mouvement peut aider à créer la situation idéale dans laquelle cette énergie peut couler.
4 – Ne pas se mettre sur la défensive.
Si un membre de l’auditoire est agressif ou même hostile envers vous, ne réagissez pas en retour par de l’hostilité. Cette sorte de résistance ne marche jamais. Quand vous permettez au stress sous forme de sentiments liés à la défensive comme l’irritation, la crainte, l’impatience et colère, votre pensée devient brumeuse et vos actions – dont les paroles – peuvent devenir impulsives et idiotes. Rappelez-vous que nous ne sommes pas concernés par la victoire ou la défaite, seulement par « la vraie nature de choses ». Pendant une session de questions-réponses ou dans la discussion, nous sommes intéressés par la vérité de même que peut l’être la personne nous posant des questions difficiles. Si nous nous présentons vraiment à nu avec honnêteté, intégrité et bonne intention, nous n’avons pas besoin de craindre d’être exposés puisque nous n’avons rien à cacher. Nous aspirons non pas à dominer les gens et les situations, mais pensons davantage en termes de collaboration. En restant calme nous pouvons donner des réponses mesurées au lieu de réactions émotionnelles. « Le caractère impulsif et l’obstination font place à la patience et la compréhension » dit Richard Moon, quand nous restons calmes, concentrés et focalisés.
5 – Rester équilibré.
Une respiration appropriée est une façon cruciale de créer la situation idéale pour que notre ki puisse s’écouler. Pratiquez une bonne respiration à tout moment, mais particulièrement si vos émotions essayent d’intervenir quand vous ressentez une attaque. Prenez conscience de votre centre. Le Kikai tanden est le centre de votre corps qui se trouve dans votre ventre environ trois doigts au-dessous de votre nombril. Ce centre est votre boussole intérieure. Vous devez maintenir la bonne position dans laquelle vous êtes bien équilibré physiquement et mentalement. Quand vous traitez une question difficile, il ne faudrait pas pencher de côté ou avoir plus de poids sur un pied que sur l’autre. Ce déséquilibre peut vous faire vous sentir (et paraître) plus faible à un certain niveau, bien que vous puissiez ne pas en être conscient. Quand vous respirez, imaginez que votre souffle est centré dans le kikai tanden. Respirer de ce centre est une technique commune à de nombreuses formes de méditation.
6 – Ne pas considérer les autres comme l’ennemi.
Ceux qui peuvent nous défier ne sont pas l’ennemi. Le seul ennemi réel est à l’intérieur de nous. O-sensei a dit « je ne sais pas comment vaincre les autres. Je sais seulement comment gagner sur moi-même ». Évidemment, O-sensei a contrecarré toutes les attaques, mais cet état de préparation a été rendu possible par une formation constante et savoir que les ennemis réels sont la crainte, le fait de douter de soi-même, la colère, la confusion et la jalousie et d’autres émotions à l’intérieur de nous qui peuvent déranger le flux de ki. La chose importante est de se rappeler qu’ils ne sont jamais l’ennemi. Pensez au lieu de cela en termes de bien-être mutuel et d’avantage. Un principe clef des arts martiaux est le respect mutuel entre adversaires. Dans l’Aïkido vous pouvez neutraliser ou faire dévier une attaque en vous servant de l’énergie de l’autre sans causer de mal à l’adversaire. Si vous pensez à votre échange comme un combat alors vous résistez. Le combat, c’est résister et produire encore plus de conflits qui gaspillent l’énergie et sont en fin de compte stérile. Le combat avec l’autre ne change pas l’avis ou les cœurs. Dans le mode des affaires comme dans la vie, essayer de faire passer l’autre pour un idiot ou s’engager dans des attaques ad hominem (contre la personne) est ignoble, imprudent et le contre-productif.
7 – Aller avec le flux.
Cela peut vous sembler être une expression dépassée des hippies des années 60, mais c’est en réalité très utile en pratique. « Aller avec le flux » ne signifie pas être passif bien au contraire. Aller avec le flux provient d’une position de conscience totale et de compréhension de comment les choses sont dans la réalité. Rappelez-vous, l’univers et la nature sont nos plus grandes sources d’enseignement. Comme l’énergie d’une source, par exemple, qui coule à travers la forêt et qui a créé son chemin autour des innombrables roches et obstacles naturels. Ou bien, observez comment le bambou dans cette même forêt plie sous le vent mais ne rompt jamais. Quand vous restez calme et en harmonie avec votre propre état personnel et votre environnement, votre énergie naturelle peut couler sans à-coup, mais si vous résistez et repoussez depuis une zone de stress et de colère, votre énergie crée une discordance menant à de mauvais résultats pour tous ceux concernés.
Il peut y avoir des moments, particulièrement pendant une session questions-réponses, ou la ligne de questionnement peut sembler particulièrement contestataire voire même hostile. Mais il n’y a aucune raison de se sentir intimidé. La seule personne qui peut vous déséquilibrer est vous-même.
Nous ne pouvons pas contrôler comment les gens pensent ou se comportent, mais le seul ennemi réel est à l’intérieur de nous et cela nous pouvons le contrôler. La façon dont nous répondons à une situation difficile dépend entièrement de nous.
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À un certain point dans votre vie professionnelle, vous devrez donner une présentation et si vous êtes comme moi, cela peut vous paraître une expérience anxiogène.
J’ai donné des centaines de conférences et présentations et voici 10 idées pour vous aider à maitriser votre nervosité. À la fin j’ai un enregistrement vidéo pour réunir tout cela pour vous…
1. Couleur locale
Peu importe où vous êtes, trouvez un commentaire intéressant ou drôle sur la ville où vous êtes ou bien sur le groupe qui vous reçoit. Une référence à la météo, à votre dernière visite, à une équipe sportive locale, ou un événement qui puisse être amusant. Trouvez quelque chose qui vous rapproche des gens, capte leur attention et génère peut-être un rire.
Les gens se sentent plus à l’aise quand vous prenez le temps de commencer par une histoire sur leur ville ou leur organisation.
2. Maitrisez votre nervosité
Voici un secret. Vous devez juste tenir les deux premières minutes. Si vous pouvez passer les deux premières minutes, vous vous détendrez et serez excellent.
Alors voici une astuce. Quand vous trouvez votre morceau “couleur locale” pour entamer votre prestation, mémorisez le. Répétez-le à de nombreuses reprises, ainsi quand vous montez sur la scène, vous avez vos deux premières minutes à froid de prêtes, les gens riront et vous serez lancé.
3. Soignez vos visuels
Beaucoup de coachs de présentation en public recommandent que vous vous débarrassiez totalement de diapositives. Parfois c’est bien, mais les images peuvent aussi vous aider à créer de l’entrain et à rendre la présentation intéressante.
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Chaque fois que je fais une intervention, je me mets au défi d’ajouter quelque chose de visuel et rafraichissant qui aidera l’auditoire à se me rappeler de moi. Avec toutes les sources d’éléments visuels libres ou à bon marché sur Internet aujourd’hui, ceci est plus facile que jamais. Pour moins de €20 vous pouvez même acheter des animations à intégrer directement dans votre PowerPoint. Y a-t-il quelque chose que vous pourriez faire visuellement pour les surprendre ? Les faire rire ? Les faire vous écouter attentivement ?
4. Utilisez des supports visuels, pas des listes à puces
À ce jour, il ne devrait pas y avoir un présentateur sur la terre parlant d’une liste à puces. Ce serait très années 2000. Mais pour vous aider à animer 45 minutes de discours, vous pourriez avoir besoin certains visuels de soutien, utilisez alors de grandes photos et imagespour accompagner votre histoire, pas la faire dérailler.
5. Impliquez l’auditoire de manière subtile
Il n’y a rien de plus maladroit que de poser une question à votre auditoire et obtenir en retour un silence total. Au lieu de cela, posez une question qui appelle simplement à lever la main, comme “combien de bloggers dans l’assistance ?”. Cela fait s’impliquer les gens sans les mettre sur le grill.
6. La présentation de 7 minutes
Faites un test. La prochaine fois que vous écoutez un grand speaker, comptez combien de fois votre esprit commence à divaguer sur les choses à faire au bureau ou la prochaine pause déjeuner.
Bien sûr cela varie en fonction de la personne et même de l’occasion, mais les personnes commencent en général à s’évader ailleurs toutes les sept minutes même si elles sont intéressées par votre propos !
Aussi, toutes les sept minutes j’ai une action pour reprendre leur attention. J’ai déjà mentionné quelques idées comme la présentation de quelque chose de visuellement profond ou poser une question à l’auditoire. D’autres idées pourraient être de dire quelque chose de drôle, de changer physiquement de position, d’élever dramatiquement ou baisser la voix, ou de changer le ton émotionnel de la présentation.
Toutes les sept minutes, faites quelque chose pour les secouer un peu dans leurs sièges.
7. Dirigez les diapositives
J’ai récemment déployé un tout nouveau discours sur l’avenir des médias sociaux. J’ai pratiqué cette chose tellement de fois que j’ai fini par en avoir assez. Mais je vous dirai que, quand c’était « showtime », j’étais en parfaite harmonie sans même regarder les diapositives.
Quand je donnais souvent cette présentation, je pouvais respecter parfaitement le délai fixé de 45 minutes sans jamais regarder la montre. Les organisateurs apprécient ceci, croyez-moi. C’est bien de finir un peu avant, mais jamais après le délai fixé.
Dirigez les diapositives, ne les laissez pas vous diriger.
8. Distrayez pour enseigner
Quand j’ai commencé à donner des conférences, je l’ai approché comme si c’était une extension de mon enseignement. C’était une erreur.
Quand les gens suivent un discours, ils s’attendent à un peu de divertissement. À un certain point, j’ai passé un cap et je suis devenu plus fantaisiste qu’enseignant… mais cela fait de moi un enseignant plus efficace. Ceci a-t-il du sens pour vous ?
9. Assemblez des histoires
assemblez les pièces du puzzle de votre présentation en combinant plusieurs histoires efficaces
Beaucoup des meilleurs conférenciers créent rarement de tout-nouveaux discours. Ils rassemblent des histoires différentes de leurs carrières et les assemblent ensuite de façon à la rendre appropriée à un auditoire. On m’a dit que l’ancien Président américain Bill Clinton, un des orateurs les mieux payés au monde, tient une pile de cartes de notes avec ses « histoires » et les assemble ensuite juste avant son discours.
Je m’y améliore. J’ai assez d’histoires maintenant et je sais lesquelles connectent le mieux aux différents auditoires mais ceci ne vient qu’avec l’expérience.
Commencer à en collecter dès maintenant !
10. L’avertissement 2 minutes
La plupart des interventions standards incluent une période Q&A et vous ne voulez pas expérimenter un silence de mort !
Voici astuce pour le garder la session Q&A vive et active. Deux minutes avant cette session, dites : “je voudrais passer à mon point final avant de prendre vos questions … aussi, commencez à réfléchir à vos questions dès maintenant.”
Cela donne une tâche à l’auditoire et le signal qu’ils doivent préparer une question maintenant. Cette astuce fonctionne avec tous les auditoires sauf les collégiens. Les gens qui posent des questions empêchent le reste de la classe de quitter la pièce donc cela n’arrive pas normalement dans une salle de classe ! 🙂
Réunir le tout…
Voici un enregistrement de 45 minutes de ma récente intervention sur l’Avenir des Médias Sociaux à une conférence à Minneapolis. Surveillez comment j’incorpore certaines des idées pour rendre la présentation intéressante :
Animation visuelle puissante
Couleur locale bien répétée
Demander une réponse à main levée
Valeur divertissante
Une intervention physique sous la forme d’une pause prolongée.
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Maintenir une ligne de communication ouverte et efficace avec les parties prenantes est important. Il y a deux ou trois ans je suis tombé sur cette liste d’astuces pour mieux présenter aux parties prenantes, qui méritent d’être revues. Parfois il semble que l’efficacité d’une réunion de trente minutes puisse être conclue dans les dans soixante premières secondes. Les parties prenantes ont parfois des laps de temps d’attention très courts. Si vous ne captez pas leur attention dans les deux premières minutes, ils commenceront à vérifier leur courrier électronique et regarder l’horloge ou pire, quitteront votre réunion.
Toute personne impliquée dans un projet doit traiter avec des sponsors et des parties prenantes.
Voici dix conseils qui pourraient aider vos interactions
1. Piquez leur curiosité : Un ordre du jour est toujours une bonne idée, mais un bref résumé de ce qui sera discuté est encore mieux. En plus, on donne aux parties prenantes quelque chose à prendre dans la rencontre et cela leur permet de venir préparées avec leurs questions.
2. Ne supposez pas qu’ils connaissent le travail attendu de leur part en tant que partie prenante : Ils pourraient en avoir une vue de haut niveau, mais vous devrez probablement expliciter les détails de ce qu’ils devront faire.
3. Faites simple : Exposez-leur la situation en termes directs. Ne les noyez pas d’informations. Restez-en à l’essentiel. (Cependant, soyez prêt à entrer dans les détails s’ils commencent à poser des questions.)
4. Utilisez des chiffres et des images :
Ma bible pour préparer des présentations mémorables (disponible sur Amazon)
PowerPoint est un excellent outil pour présenter des graphiques et des chiffres aux parties prenantes. C’est la façon dont elles se présentent les informations entre elles. Vous devriez en faire autant.
5. Parfois vous devez utiliser la logique : Acceptez le fait qu’il pourrait ne pas toujours y avoir des données pour supporter une situation particulière. Ne pas avoir de chiffres pour soutenir votre position pourrait rendre un bon argument problématique, dans ce cas vous devriez vous tourner vers une logique « si … alors … » pour expliquer une situation. Cependant, ne vous attendez pas aux mêmes résultats ou à la même réponse de la part des parties prenantes car avec elles les chiffres font loi.
6. Temporiser n’est jamais une bonne option : n’attendez pas qu’un problème soit évident — il est souvent plus difficile de résoudre le problème à ce moment-là.
7. Offrez toujours une solution : si vous venez exposer un problème sans offrir une solution potentielle, vous pourriez aussi bien demander les parties prenantes : « Virez-moi tout de suite. » Trouver des solutions fait partie de votre travail de chef de projet.
8. Spécifiez les actions qu’ils doivent entreprendre : si les parties prenantes doivent agir, ne supposez pas que ce sera évident pour elles. Récapitulez — sous forme de liste — quelles actions doivent être prises et quand.
9. Dites toujours « oui », mais assurez-vous qu’ils comprennent combien coûtera ce « oui« : les Sponsors et des parties prenantes n’aiment pas entendre « Non », donc ne le dites pas. Assurez-vous simplement qu’ils comprennent le coût de leur requête, alors ils peuvent juger par eux-mêmes si « oui » vaut vraiment le coup.
10. N’arrêtez pas de reporter sur le statut du projet parce que les parties prenantes arrêtent de l’exiger : la perception est la réalité. Si les parties prenantes perçoivent que vous ne faites rien : c’est que vous ne faites rien. Ne laissez pas votre tête être la suivante sur le billot.
Indépendamment de la méthodologie de management du travail de votre société, il y a beaucoup d’outils de management de projets disponibles pour faciliter la gestion des tâches et des délais. Ils vous aideront aussi à communiquer plus efficacement avec les parties prenantes dans votre organisation. Que votre outil de management de projet facilite ou pas cette forme de communication, ignorer cette partie importante de votre rôle de chef de projet est dangereux.
Que faites-vous dans votre organisation pour encourager une relation positive avec les parties prenantes ?
Méta Projets Management est partenaire de DantotsuPM
Avis personnel
La neuvième recommandation qui suggère de toujours répondre par « oui » aux demandes des parties prenantes en indiquant simplement le coût associé à ce « oui » me semble dangereuse.
Par exemple : « Oui, nous pouvons effectivement réaliser cette nouvelle fonctionnalité en augmentant le budget de 10% et en reculant d’un mois la date de livraison. »
Mon expérience personnelle est que trop souvent la contrepartie ou les conditions nécessaires pour autoriser ce « oui » seront occultées par une grande majorité des parties prenantes. Elles n’entendront que le « oui » de début de phrase. Or, les conditions qui permettraient ce « oui » ne sont pas réalisées au moment où il est prononcé : Besoin de budget additionnel, report au niveau des délais, ajout de personnels et de compétences, compromis sur le contenu des livrables ou la qualité…
Je suggérerais donc, dans cette situation, de choisir d’adopter la position de dire « non » suivi d’un « sauf à » faire ceci ou cela (à augmenter les ressources, à réduire les exigences, à reporter la date de livraison…).
Par exemple :
« Cet augmentation de fonctionnalité semble en effet attractive, mais nous ne pouvons pas y répondre sauf à augmenter le budget de 10% et reculer la date de livraison d’un mois ».
Ceci permet à mon avis d’être beaucoup plus clair sur l’incidence de passer outre à ce « non ».
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Si vous êtes le modérateur d’une table ronde et voulez prendre de toute urgence encore une question…
Ou si vous êtes l’intervenant et devez parcourir encore trois diapositives…
Ou si vous êtes l’auteur ou le designer et voulez encore ajouter juste un idée…
Ou si vous êtes l’enseignant et il y a juste encore un concept à discuter bien que la cloche soit sur le point de sonner.
Trop tard.
Finissez sur une pause.
Finissez avec calme et confiance et oui, s’il vous plaît, respectez suffisamment votre auditoire pour pas vous attendre à ce que ce compactage de dernière minute ne les aide ni vous-même.
Personne, pas une fois dans l’histoire des chronométreurs, n’a jamais dit, « je suis vraiment heureux qu’ils aient dépassé leur temps de trente secondes, soufflant et haletant et nous suppliant de leur prêter notre attention. C’était la meilleure partie et je les respecte d’avoir fait le forcing pour cela. »
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Nous sommes le 1er vendredi du mois d’octobre, il est grand temps de sourire…
Cette Journée mondiale du sourire fut inventée par un artiste de Worcester (USA), Harvey Ball, qui se trouve être passé à la postérité en créant le fameux smiley en 1963. Cette journée est célébrée dans de nombreux pays depuis 1999.
Je vous propose aujourd’hui cette petite compilation des expressions et anglicismes employés au quotidien par les publicitaires, mais aussi dans le monde « corporate ». Vous en reconnaitrez certainement que vous déjà entendus ou utilisés vous-mêmes dans vos présentations projets !
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