Le plus grand défi lorsqu’il s’agit de dire Non est que nous avons peur d’être considérés comme négatifs ou inutiles. Alors que dire Oui est vu comme courageux et gracieux.
Mais le simple fait de dire non possède du pouvoir et peut souvent être un acte de grand courage et il est très probable que beaucoup d’entre nous devraient le dire plus souvent.
La prochaine fois vous êtes tentée de répondre Oui quasi automatiquement, souvenez-vous qu’il y a une grande puissance dans le mot Non, et parfois c’est la meilleure des réponses pour tout le monde.
Voici quelques raisons pour lesquelles dire non est puissant :
Tout n’est pas de votre responsabilité.
Si vous êtes une personne qui cherche à faire plaisir à tout le monde, vous pourriez estimer que c’est votre responsabilité de dire oui à tout le monde et sur tout. Mais la vérité est celle-ci : rendre les autres heureux n’est pas votre travail et tout ne relève pas de votre responsabilité. Vous ne ferez jamais plaisir à tout le monde et vous sur-engager peut vous empêcher de réaliser quoi que ce soit bien. Décidez ce dont vous voulez être responsables et attachez-vous à toujours respecter vos engagements.
Ce que les autres pensent de vous ne vous regarde pas.
Si vous dites oui parce que vous voulez être vus comme agréable ou gentil – oubliez cette raison. Les gens penseront ce qu’ils pensent de vous quel que soit ce que vous dites. La plupart du temps leurs jugements sont plus fondés dans leurs propres projections que sur ce que vous faites. La seule chose qui doit vous concerner est qui vous êtes et si vous êtes fidèles à vous-même.
Vous êtes l’expert de vos propres priorités.
Allez voir le livre !
Personne d’autre n’a la connaissance pleine et entière de ce qui est important pour vous et personne ne devrait vous dire quelles sont vos priorités. Si vous essayez de faire quelque chose de significatif avec votre vie, dire oui tout le temps est juste un long calvaire dans la frustration. Vous savez ce qui est le plus important pour vous et ces priorités peuvent vous guider à savoir quand dire oui et quand dire non.
Vous devez vous engager personnellement.
Nous pensons d’habitude aux engagements comme à des promesses que nous faisons envers d’autres personnes, mais il est important pour vos engagements de vous inclure dans le panorama. Parce que tout ce que nous faisons, doit commencer nos engagements envers nous-mêmes.
CSP est partenaire de DantotsuPM
Vous avez le droit de vivre votre vie de la façon que vous voulez.
Il ne manque probablement pas de gens qui essayent de vous dire comment vivre votre vie, comment faire tourner votre business et comment faire votre travail dans la société. Souvenez-vous, tout de même : Comment vous vivez est votre choix. Comment vous dépensez votre temps est votre choix. Parfois dire non signifie mener la vie que nous désirons, dire oui permet à d’autres de nous dire que faire.
Bien sûr, souvent vous pouvez, et devriez, dire oui. Mais il y a aussi des moments pour dire non. Ce non peut vouloir dire que vous êtes fidèles à vous-même et à ce que vous désirez. Si vous estimez votre vie et vos succès, vous devez devenir bons à savoir dire non.
MENEZ DE L’INTÉRIEUR
Il y a du pouvoir dans l’acte de dire non, mais pour beaucoup d’entre nous c’est le mot le plus dur à dire. Quand vous dites non; ne mentez pas. Ne faites pas d’excuses, ne vous perdez pas en explications. Refusez simplement. C’est aussi simple que puissant.
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Quand quelqu’un ne dit pas oui, il vous donnera souvent une raison de ce refus.
Un piège commun : Croire la raison.
Si vous commencez à modifier votre produit, votre lancement et vos communications en vous basant sur la raison exposée, vous êtes en train de conduire en regardant uniquement dans le rétroviseur.
Les personnes qui vous opposent un refus ont une raison, mais ils presque certain qu’elles ne vous disent pas pourquoi.
Fausses raisons : je n’aime pas la couleur, c’est trop cher, vous n’avez pas assez de références, il y avait une faute d’orthographe dans votre CV.
Vraies raisons : Mon patron ne me laissera pas faire, je n’ai pas confiance en vous, j’ai peur du changement.
Bien sûr, améliorez votre livrable. Mais, plus important, concentrez-vous sur les raisons non exposées qui conduisent à la plupart de ces rejets.
Et plus important encore : Évitez les non-croyants et vendez aux gens qui veulent être du voyage avec vous.
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Dans sa forme traditionnelle, le Storytelling est l’art de raconter des histoires.
Steve Denning, l’un des maîtres incontestés en la matière et que j’ai eu le plaisir de rencontrer quelques fois, nous propose une démarche en 6 étapes pour créer une bonne culture de Storytelling dans l’organisation.
Que faut-il faire pour créer d’une culture de Storytelling dans une organisation ?
Comment créez-vous une organisation dans laquelle un authentique Storytelling est la façon naturelle et normale de communiquer ?
Comment réaliser cela d’une manière très productive pour l’organisation aussi bien que profondément satisfaisante pour les participants ?
Je crois que six étapes sont nécessaires.
1. Le but qui est poursuivi dans l’établissement d’une culture de Storytelling est de favoriser des rapports humains interactifs de haute qualité.
La première étape est de reconnaître que la mise en place d’une culture de Storytelling ne doit pas seulement encourager le bon Storytelling : elle doit aussi répondre à d’autres objectifs. Ainsi une culture de Storytelling dans laquelle les gens resteraient assis toute la journée à se raconter des histoires et ne réaliseraient rien ne serait pas tenable. Nous devons non seulement avoir un bon Storytelling: il doit aussi contribuer à réaliser des choses dans l’organisation. Autrement, on le verra comme une gêne pour l’organisation et il ne survivra pas.
Nous devons aussi reconnaître que le Storytelling n’est pas une fin en soi. Cela a été identifié dans la question que Paul Costello a posée à la fin de la session Smithsonian le mois dernier. Il a demandé : Que faudrait-il mettre dans la création d’une structure analytique pour s’assurer qu’un Storytelling positif a été encouragé et que le Storytelling déshumanisant est identifié et découragé ?
La question de Paul implique qu’il y a un bon Storytelling (qui améliore la vie) et un mauvais (qui la déshumanise). Dans la promotion d’une culture de Storytelling, nous sommes intéressés par la promotion du premier plutôt que du second. Cela met à son tour en évidence le fait que le Storytelling n’est pas une fin en soi. C’est un outil qui peut être utilisé dans de bons buts (améliorer la vie) ou mauvais (la déshumaniser).
Quand nous parlons « d’améliorer la vie », nous avons à l’esprit les interactions qui enrichissent les rapports humains, qui élèvent l’esprit humain et font appel aux plus hautes qualités d’esprit, de corps et d’âme, qui peuvent même favoriser la vérité, la beauté et l’amour.
Quand nous disons « déshumaniser », nous pouvons penser aux interactions qui détruisent l’esprit humain, qui favorisent la crainte, la haine, la bassesse, l’égoïsme et la traîtrise, qui créent des environnements ennuyeux, étouffants, malhonnêtes, laids et qui provoquent de l’abattement. Éventuellement, de telles cultures mènent à la répression, la discrimination et même les guerres.
Une fois que nous reconnaissons que le Storytelling n’est pas une fin en soi, nous devons être clairs sur le but pour lequel il devrait être déployé. Pourquoi aimons-nous le Storytelling ? Pourquoi voulons-nous une culture de Storytelling ? Une réponse courte est que le but pour lequel le Storytelling devrait être déployé est de favoriser des rapports humains interactifs de haute qualité.
2. Les histoires devraient être reconnues comme l’une des façons de favoriser des rapports humains de haute qualité, mais pas la seule.
L’étape suivante est de reconnaître que le Storytelling n’est pas la seule façon de créer des rapports humains interactifs de haute qualité.
Le Storytelling permet en grande partie de l’accomplir, mais ce n’est pas la seule manière : des questions ouvertes sont souvent une façon plus puissante et appropriée de favoriser des rapports humains de haute qualité : au lieu de raconter des histoires aux gens, on écoute ce que les autres personnes ont à contribuer.
Le but n’est pas de raconter des histoires, mais plutôt d’avoir des conversations ouvertes d’esprit, au travers des histoires, des questions ou indépendamment de la façon de communiquer qui le permette.
3. L’organisation doit avoir pour but de satisfaire, faire plaisir et même enchanter les autres personnes.
Il faut aussi reconnaître que quelques attitudes et pratiques caractéristiques des organisations sont hostiles à la stimulation de conversations ouvertes d’esprit et de rapports humains de haute qualité. Une de ces attitudes et pratiques concerne le but que vise l’organisation. Si l’objectif de l’organisation est simplement de produire des marchandises et des services ou de faire de l’argent pour la société, il mènera inexorablement à une bureaucratie de commande-et-contrôle à base d’autorité, qui sera hostile aux rapports humains de haute qualité et au Storytelling.
Quelques organisations ont surmonté ce problème en se rendant compte que le but de l’organisation n’est pas de produire une chose (un produit ou un service, ou même juste un apport à un produit ou service, ou de faire de l’argent) : le but du travail est de satisfaire, faire plaisir et même enchanter les personnes pour qui le travail est réalisé.
À moins que vous n’ayez un objectif de ce type, orienté vers les gens, l’organisation glissera inévitablement vers une bureaucratie de commande-et-contrôle, parce que c’est la meilleure façon de produire des choses. Et une bureaucratie de commande-et-contrôle détruira inexorablement les rapports humains ouverts, interactifs aussi bien que positif du Storytelling.
Donc la mise en place d’une culture de Storytelling implique de faire quelque chose à propos de l’objectif final du travail dans l’organisation. À moins que le but ne soit orienté vers les gens pour qui le travail est fait, le Storytelling ne s’épanouira pas de façon durable.
4. Le travail devrait être conduit dans des équipes auto-organisées.
La manière standard d’organiser le travail, avec une bureaucratie de commande-et-contrôle dans laquelle le rapport des individus aux chefs, est également hostile aux rapports humains de haute qualité et au Storytelling.
Au lieu de cela, le travail doit être organisé avec des équipes auto-organisées, dans lesquelles des rapports humains de haute qualité peuvent se développer, une communication ouverte peut être favorisée et les personnes sont capables de donner leur meilleur.
5. Le travail devrait être réalisé dans des cycles relativement courts.
L’étape suivante est de reconnaître que cette façon d’organiser le travail, avec des équipes auto-organisées, doit procéder par cycles de travail relativement courts. En partie, parce que, pour favoriser des rapports de haute qualité, vous avez constamment besoin des réactions des personnes pour lesquelles vous travaillez pour savoir si ils sont satisfaits, heureux ou même enchantés par votre travail.
En partie, parce que pour que des équipes auto-organisées soient durables, elles doivent être continuellement productives et ne pas tourner au chaos, ni diverger vers un travail qui ne répondrait aux besoins d’aucun client.
Quand chaque cycle de travail est focalisé sur la livraison de quelque chose de valeur aux personnes pour qui le travail est réalisé, il y a en permanence des réactions sur le progrès vers l’objectif. De cette façon, il peut y avoir une conversation entre les personnes faisant le travail et celles pour qui le travail est réalisé : en fait, ils peuvent partager leurs histoires sur la signification de ce qui se passe.
6. Les communications devraient être plus ouvertes que dans une bureaucratie de type commande-et-contrôle.
L’étape finale est de reconnaître qu’il y a un besoin de franchise plus grand dans la communication qu’il est courant dans la bureaucratie de type commande-et-contrôle.
La fable de Hans Christian Andersen à propos des nouveaux vêtements de l’empereur nous éclaire sur ce que cela implique.L e conte a une partie familière et une partie inhabituelle.
La partie familière est que l’empereur d’une ville prospère est escroqué lorsqu’il achète un ensemble imaginaire de vêtements. Quand il défile autour de la ville, un petit enfant pousse des cris, “Mais il n’a rien sur lui!”. La foule se rend compte que l’enfant dit la vérité. C’est la partie familière de l’histoire.
La partie inhabituelle du conte est que la vérité que l’enfant a accidentellement dite à brûle-pourpoint ne fait aucune différence. Ni l’empereur ni la noblesse n’y prêtent la moindre attention. L’empereur maintient la tête haute et continue le cortège ainsi que les autres courtisans. La parade continue. Dans ce conte, Andersen met le doigt sur une caractéristique clef de toutes les hiérarchies : la simple mise en évidence du mensonge n’y met pas fin ni ne change le comportement. Les fausses déclarations qui supportent la structure de pouvoir d’une hiérarchie ont la priorité sur les vraies déclarations qui mettent en question la structure du pouvoir. Chacun dans la structure de pouvoir a tendance à continuer à agir comme si le vrai est faux et le noir est blanc parce que leur propre rôle dans la structure dépend de la défense de cela.
Une telle culture est non seulement hostile à un authentique Storytelling : cela parvient aussi à être incompatible avec le but du travail : satisfaire, faire plaisir ou même enchanter les personnes pour lesquelles le travail est fait. Vous ne pouvez pas atteindre cet objectif, si les gens se disent seulement ce qu’ils ont besoin de savoir ou ce qu’ils veulent entendre. À moins qu’il n’y ait une franchise totale, l’organisation ne sera pas productive et une culture de Storytelling positif ne sera pas possible.
Donc voici les six étapes que je vois comme l’élément essentiel pour l’établissement d’une culture durable de Storytelling dans une organisation :
Le but qui est poursuivi dans l’établissement d’une culture de Storytelling est de favoriser des rapports humains interactifs de haute qualité.
Les histoires devraient être reconnues comme l’une des façons de favoriser des rapports humains de haute qualité, mais pas la seule.
L’organisation doit avoir pour but de satisfaire, faire plaisir et même enchanter les autres personnes.
Le travail devrait être conduit dans des équipes auto-organisées.
Le travail devrait être réalisé dans des cycles relativement courts.
Les communications devraient être plus ouvertes que dans une bureaucratie de type commande-et-contrôle.
Certaines organisations ont pris les mesures que je décris ci-dessus. Les étapes mènent non seulement à la création d’une culture de Storytelling : elles produisent aussi des accroissements significatifs de productivité, une profonde satisfaction dans le travail et l’innovation continue et la satisfaction du client.
Cette façon de faire fonctionner une organisation est très différente. Comme un directeur me l’a dit: “ Une fois que vous l’introduisez, cela affecte tout dans l’organisation : la manière dons vous planifiez, la manière dont vous gérez, la manière dont vous travaillez. Tout est différent. Cela change fondamentalement le jeu.”
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…how to improve your impact as a Project Manager in a surprisingly refreshing and easy way.
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Most impact on other people is created by the way how we speak to and with them. By the way we create conversations we influence the motivation, the way our team achieves objectives and the relationship with our clients.
Explore in this interactive session about how you can chase the forward moving forces to reach the project goals and how you can create meaningful conversations just by changing the way you speak.
Explore a radically different way to lead your conversations
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Discover the three core principles to create meaningful conversations
Keynote: Daniel Meier, Managing-Founder of Solutionsurfers®-a worldwide acting Brief-Coach Training Institute that is based in Lucern.
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Sur les 10 à 15 dernières années, la communication les yeux dans les yeux s’est effondrée. Les gens ne regardent plus les autres personnes – ils parcourent une audience plutôt que regarder des personnes et il y a une épidémie, la grande majorité regarde leurs smartphones quand ils sont censés communiquer avec d’autres personnes. La connexion humaine devient le défi et cela commence par les yeux. Si vous n’avez pas communication par contact visuel, nous n’avez tout simplement pas de communication.
Beaucoup de buzz. Alors, qu’avez-vous besoin de savoir ?
Le contact visuel est une communication émotionnelle. Briser le contact visuel (en jetant un coup d’œil ailleurs ou laissant partir le regard, ou en regardant ailleurs par habitude) casse la connexion. Cela envoie des signaux à vos auditeurs que vous n’êtes pas intéressés par eux, que vous n’êtes pas engagés dans la conversation.
Pendant nos formations, nous utilisons plusieurs exercices pour permettre aux gens d’observer leurs habitudes. Après tout, comment nous regardons les gens, ou nos smartphones, est juste une habitude. Nous pouvons en changer. Des exercices de disparité enseignent la communication par contact visuel, peut-être la plus importante des compétences de communication. Mais la technique d’entraînement la plus puissante de toutes est le retour d’information par vidéo. La plupart des personnes ne savent pas comment elles communiquent en réalité avec leurs yeux.
J’ai un ami qui regarde toujours au loin quand il parle à quelqu’un, après à peine une seconde ou moins de connexion, son regard part loin à droite pendant quelques secondes et ensuite il revient. (Et ceci est juste une conversation normale, sans qu’aucun smartphone ne soit impliqué.) Déconcertant, c’est le moins qu’on puisse dire. Certainement inefficace. (Il a suivi Le Programme de Decker et a été stupéfié de ses habitudes de contact visuel !)
En visionnant une vidéo de vous-même, vous pouvez voir exactement quelles sont vos habitudes et quelles impressions elles donnent au public. (Si vous avez une faible communication visuelle, vous pouvez donner l’impression d’être incertain, pas bien informé et nerveux. Connaitre vos habitudes, et travailler pour éviter de retomber dans vos propres modèles de confort, vous aide à changer et vous pouvez ainsi VOUS CONNECTER à votre public. Et le bonus que la plupart des personnes ne réalisent pas : Vous pouvez être en contrôle.
Quelques astuces clés à se rappeler :
Pensez « 5 secondes ». Dans une situation naturelle en tête-à-tête vous pourriez aller jusqu’à 7 ou même 10 secondes, jeter ensuite un coup d’œil au loin pour relâcher la pression. (Plus de 10 secondes et il pourrait y avoir là être plus d’intimité et de connexion émotionnelle que vous ne le souhaitez vraiment …)
Dans une configuration de groupe, pensez aussi « 5 secondes ». Ce pourrait être plus court (3 à 5 secondes), mais pas une seconde ou moins. Jeter un coup d’œil ne connecte pas. Et malheureusement, la plupart des personnes jettent juste un coup d’œil un peu partout, déplaçant leurs yeux chaque seconde ou fraction de seconde. Vous voulez regarder les gens, les personnes. Pas le vide. Un public n’est pas générique, c’est une collection d’individus.
Quand quelqu’un vous regarde, vous allez plus probablement vous connecter avec ce qu’il ou elle dit. Nous nous sentons tous plus impliqués avec quelqu’un qui se connecte avec le public et qui nous parle, pas qui discourt. Regardez-les bien. Et toutes les 5-7 secondes jettent un coup d’œil au loin puis revenez sur eux.
Quant aux smartphones, prenez conscience de vos habitudes. Le moins est le mieux. Personne ne se connecte avec vous quand vous vérifiez votre courrier électronique, pas de contact visuel, pas de communication.
Il y aurait plus à dire, mais assez pour ce billet, quelles sont vos expériences ? Qu’en pensez-vous ?
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A l’heure de la mondialisation, les entreprises sont soumises à des contraintes économiques de plus en plus fortes. Dans ce monde en perpétuel changement, elles doivent par ailleurs être capables de s’adapter rapidement. Face à ces enjeux, les prises de décision managériales deviennent de plus en plus complexes : la pression qui pèse sur les épaules des managers laisse peu de place au temps et à la réflexion, pourtant nécessaires à la prise de décision.
le livre co-écrit par Yann Coirault et Pia De Buchet
Les prises de décision entre émotion, intuition et raison
« Aujourd’hui, un bon manager est un leader reconnu pour ses prises de décision efficaces et qui engendrent l’adhésion des collaborateurs. Mais la prise de décision requiert avant tout une connaissance de soi indispensable car elle est liée aux émotions, à l’intuition et à un zeste de raison. La bonne décision n’est pas toujours la plus rationnelle ! », précise Yann Coirault, consultant CSP Formation et pilote de l’innovation chez CSP Formation.
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Selon les Neurosciences, il n’y a pas de prise de décision sans émotion. Des travaux scientifiques démontrent ainsi que des personnes dont le cerveau a été affecté sur des parties qui gèrent les émotions, ne sont plus capables de prendre la moindre décision. Par ailleurs, les émotions conditionnent pleinement la prise de décision : ainsi, si nous sommes heureux, nous prenons plus de risques. Enfin, des études récentes* ont mis en lumière que le cerveau est capable d’anticiper les émotions suite à la prise de décision : par exemple, le regret d’avoir pris la décision, la fierté de l’avoir fait, etc.
Chacun est donc affecté différemment par la gestion des émotions dans la prise de décision, car elles sont influencées par notre profil de personnalité, comme l’ont démontré plusieurs écoles de pensée, et notamment celles qui ont travaillé sur les préférences cérébrales, comme le MBTI (Théorie des types de Carl Jung).
Le mode intuitif fait également parti du processus de décision : notre cerveau est en permanence en capacité de prédire l’avenir de manière non rationnelle et de se projeter dans des situations.
Comment faire pour prendre des décisions efficaces ?
La mise en place d’un processus décisionnel basé sur la logique et la raison reste un moyen efficace de prendre une décision. Le problème arrive souvent quand les options sont trop nombreuses ou que les données du passé ne sont pas toutes connues par exemple. Lorsqu’il manque des informations, la prise de décision s’immerge dans le brouillard, la méthode rationnelle ne fonctionne plus. L’une des clés est de réduire le temps de décision, réduire le nombre de critères en utilisant des critères discriminants (éliminer plutôt que choisir).
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Deuxième clé : s’écouter et faire confiance à son intuition en la considérant en tant que donnée comme une autre. Dès lors, comment faire pour écouter son intuition ? Le meilleur moyen est de ne pas écouter ses émotions et sa raison, le meilleur moment est souvent le plus inattendu ! Le matin sous la douche, au réveil, en marchant, après un jogging, bref dans des moments, où l’on ne pense pas…
Pour être un bon manager, il faut avoir conscience de l’enjeu des émotions et de l’intuition dans les prises de décision. « La prise de décision n’est pas seulement une question de raison elle implique les émotions. De plus, elle est liée à ses propres valeurs et à sa vision d’équipe ou à sa vision stratégique. C’est le propre des grands leaders dont l’exemple le plus célèbre est celui de Kennedy qui a eu un jour l’idée folle de faire marcher un homme sur la Lune ! », conclut Yann Coirault.
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Du temps que vous entendiez parler d’un problème c’est quasiment l’éruption volcanique.
Il pourrait avoir été managé facilement le mois dernier. Maintenant, il y a le feu et les équipes explosent.
Être tenu dans le noir et hors circuit empire toujours les choses.
Ceux qui dirigent avec la peur ont besoin de distance pas de connexion.
Entrez dans le cercle !
NE FAITES PAS :
Vous êtes hors circuit parce que vous êtes une plaie quand ils vous font entrer dans la boucle.
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Ne minimisez pas. Cela peut paraître comme une chose insignifiante pour vous mais c’est monstrueux pour ceux qui sont dedans. « débrouillez-vous » n’est pas une réponse.
Ne jugez pas. Des dénigrements de frustration comme « c’est ridicule » incitent les gens à s’éloigner de vous.
Ne résolvez pas. Votre besoin de réparer rapidement dévalue les autres et empêche la connexion.
Ne parlez pas autant.
FAITES :
Connectez-vous en douceur. Connectez-vous sur de petites questions si vous voulez entendre les grandes. La confiance vient à pas de fourmi plutôt qu’à pas de géant. Invitez vos coéquipiers au café, pour une courte promenade, ou à déjeuner. Ne parlez pas business. Parlez d’eux.
Allez vers les gens. Les gens ne viendront pas à vous. Visitez leur monde fréquemment et souvent. Vous n’avez pas besoin d’un ordre du jour. Raccourcissez la distance.
Relisez ce billet et revoyez cette vidéo
Restez optimiste. Les coéquipiers se protègent des leaders frustrés, découragés. Les collaborateurs ne veulent pas déranger une personne déjà dans les problèmes.
Penchez-vous sérieusement sur le sujet. Posez des questions. Qu’est-ce qui est important ? Quel comportement négatif se répète ? Que voulez-vous ? A quoi ressemble le succès ?
Augmentez les attentes.Le succès n’est pas l’absence de problèmes. S’attendre à ce que les problèmes disparaissent d’eux-mêmes est une garantie de frustration.
Créez des options. Ce qui fonctionne pour l’une ne marche pas pour un autre. Demandez « que pourrions-nous faire pour résoudre ceci ? » puis demandez « que pourrions-nous faire d’autre ? » et reposez enscore ces questions.
Soyez un modèle.Parlez avec les autres de la façon dont vous voulez qu’ils vous parlent. Ils ne seront jamais ouverts si vous êtes fermé.
Comment les leaders pourraient-ils entrer et rester dans la boucle ?
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Pendant les dix dernières années, j’ai aidé des milliers de personnes à devenir plus influentes. Dans le processus pour faire ceci, j’ai développé un certain nombre de principes qui doivent être compris par les gens qui veulent devenir puissants et le rester. La simplicité de ces principes ne devrait pas vous distraire de leur potentiel à vous aider à apprendre à être puissant.
1. Le besoin d’influencer est un trait fondamental du caractère humain.
Dès nos premières minutes de vie, nous avons commencé à apprendre à influencer les autres. Initialement pour obtenir de la nourriture pour survivre, ensuite, comme la vie continue et que nous mûrissons, il en va de même de notre besoin d’influencer. Dans notre vie adulte, nous devons influencer les autres pour faire passer nos idées, les faire adopter et être loyaux envers nous.
2. L’influence est un résultat.
Quelqu’un fait/pense/sent quelque chose qu’il pourrait ne pas avoir fait si ce n’était pas pour nous. Le facteur clé consiste en ce que nous étions la cause de ce changement.
3. Sans influence, les gens sont à la peine.
Si vous êtes incapables d’influencer les autres à un degré suffisant, vous n’allez pas pouvoir avancer. Vous pourrez probablement influencer suffisamment pour avoir de la nourriture sur la table et un endroit où vivre, mais à part cela, vous serez à la peine.
4. L’influence peut être réalisée de bien des façons différentes.
Principalement, par nous-même faisant quelque chose ou bien à cause de ce que d’autres pensent que nous pourrions faire. Ainsi, vous pouvez parler à une personne et essayer de la persuader de vous donner une chance. Ou bien, ils pourraient comprendre que vous devriez pouvoir les aider à résoudre leurs problèmes et vous inviter à saisir cette opportunité.
5. Le pouvoir est la capacité à influencer sans faire quoi que ce soit.
Il peut rarement fonctionner sans un minimum d’action, mais le point principal est que ce pouvoir crée beaucoup de raccourcis pour atteindre l’influence que vous souhaitez.
6. La valeur du pouvoir peut aussi bien chuter que s’élever.
Cela dépend des lois de l’offre et de la demande. Le pouvoir est dans un constant état de mouvement.
7. Ce sont les perceptions des autres qui donnent de la valeur au pouvoir.
Il ne s’agit pas tant du pouvoir que vous avez réellement que de celui que les gens vous prêtent. Et ceci fait vraiment la différence.
Si je devais ajouter un huitième principe, ce serait que ce truc n’est pas difficile. Il est en réalité très simple une fois que vous savez comment tout cela marche. La vie est assez compliquée comme ça et il y a beaucoup de personnes qui aimeraient vous faire croire que l’expertise qu’ils offrent vaut davantage qu’elle ne le mérite. Je ne suis pas l’une d’entre elles et je veux rendre ceci aussi simple que ça l’est pour que vous puissiez vous concentrer davantage sur le faire et moins sur le comprendre.
THE SMALL BIG by Steve Martin, Dr. Noah Goldstein and Dr. Robert Cialdini
Every day you face the challenge of influencing and persuading others — your boss, your work colleagues, your clients, your spouse, even your kids. But what are the most effective strategies when it comes to effective influence?
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Dans les films d’action, le héros ne se préoccupe pas de détruire l’avion, la route ou le pont qu’il vient de passer, parce que c’est toujours un voyage sans retour.
Les armées en retraite ont l’habitude de brûler des ponts après les avoir traversés pour stopper ceux qui les poursuivent.
Et cette même mentalité, la mentalité du « je suis si focalisé sur mon but que je suis enclin à forcer cette personne, forcer cette relation, forcer cette interaction, quoi qu’il en coûte » est précisément comment nous brûlons nos ponts.
La différence, bien sûr, est que la vie est longue et que très peu de chemins ne se croisent qu’une seule fois. Vous devrez repasser par ici.
Seth Godin
Le passage bien négocié d’un pont s’améliore au fil du temps. Quand vous devez le démolir pour forcer le passage, vous avez non seulement blessé la personne que vous avez bafouée, vous avez aussi endommagé votre réputation.
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Le pouvoir d’un plan écrit à influencer les résultats ne doit pas être sous-estimé. Ceci fonctionne au niveau personnel et au niveau business. Le seul prérequis est que les personnes impliquées dans la construction du plan soient fermement engagées sur le résultat planifié.
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Si vous avez un doute, une ÉTUDE DE HARVARD– « Evidence that writing down your goals works » devrait vous convaincre :
cliquez sur cette image pour voir un billet d’explication sur
On a demandé aux étudiants dans le programme de MBA (Master en administration des entreprises) de Harvard en 1979 : » Avez-vous défini et écrit des objectifs pour votre avenir et avez fait des plans pour les accomplir ? «
Seulement 3% avaient des objectifs écrits
13% avaient des objectifs, mais ne les avaient pas écrits
84% n’avaient aucun objectif spécifique
10 ans plus tard les mêmes étudiants ont été interviewés.
Les 13 % de la classe qui s’étaient définis des objectifs gagnaient deux fois plus en moyenne que les 84 % qui n’en avaient pas.
Les 3% qui avaient écrit leurs objectifs gagnaient 10 fois plus en moyenne que les autres 97% et reportaient aussi une meilleure santé, de meilleures relations, bonheur et succès.
Le message est clair, de vos résolutions du Nouvel An, à vos objectifs dans la vie, à vos objectifs sur le projet, avoir un plan écrit fait une énorme différence. Mais leur réalisation n’est pas si simple. Les étudiants de la minorité du MBA qui s’était donnée le mal de noter ses buts et plans pour les réaliser, ont été très probablement très engagés sur ces plans. Le défi pour les objectifs de projet écrits dans un plan de projet est d’atteindre le même niveau d’engagement.
J’ai écrit de nombreux billets discutant des façons de créer un plan de projet et en particulier un échéancier dans un document efficace pour communiquer les objectifs et plans acceptés, mais, tout seul, un document est toujours de peu d’utilité. Créer l’engagement sur ce plan de projet est un rôle de leadership et exige que le planificateur de projet agisse comme un leader efficace en support de son chef de projet.
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Le leadership est une compétence apprise, basée sur l’intégrité personnelle.
Un jeu de compétences que l’on peut apprendre d’un leader et qui touchent directement aux rôles du planificateur de projet comme celui du leader inclut :
L’interprétation de situations et d’informations qui affectent le projet, y compris :
Click to see details and order the guide
– Rechercher les informations de sources multiples
– Savoir comment le projet s’accorde sur la stratégie complète de l’organisation
– Analyser comment les ressources et membres de l’équipe travaillent ensemble et comprendre leurs capacités
– Connaitre vos propres capacités et motivations
La formulation d’une stratégie pour le travail à faire (la fonction traditionnelle de la planification), y compris :
– Impliquer les bonnes personnes aux bons moments
– Tenir bon sur ce qui est important
– Maintenir des plans pertinents avec des mises à jour appropriées
– Communiquer efficacement le plan et exposer comment il s’aligne sur la Stratégie Organisationnelle d’ensemble
– Rester positif
L’assistance à mobiliser des ressources pour travailler sur le plan, y compris :
– Communiquer clairement les résultats attendus des autres
– Amener les personnes vers les façons planifiées de réaliser le travail
– Démontrer son attachement et sa confiance dans les capacités des membres de l’équipe.
– Laisser les personnes savoir comment elles progressent vers la réalisation du plan
Fournir aux autres l’inspiration d’atteindre les résultats :
– Reconnaitre les contributions des autres
– Les aider à se sentir et à agir comme des leaders dans leur section du projet
– Stimuler la réflexion des autres
– Aider à construire l’engagement du groupe et l’enthousiasme pour les objectifs du projet.
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Évidemment le planificateur de projet ne peut pas accomplir tout cela tout seul ! Du support est nécessaire venant du management du projet.
Aider le chef de projet à aider le planificateur à réussir exige un jeu de compétences différent, ‘conseiller vers le haut’ mais ceci est le sujet d’un autre papier (voir Manager vers le haut déjà publié).
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Quoi ? Qu’ai-je juste dit ? Votre équipe projet … la même équipe de ressources hautement qualifiées qui ont été assemblées pour transformer les tâches de votre échéancier de projet en réelle solution pour le client de projet. Ignorez-les ? Serais-je devenu fou ?
En réalité, j’essaye de capter votre attention. Bien sûr, nous ne pouvons pas ignorer les membres de nos équipes projets. Ce qu’ils disent ou devraient dire compte certainement. L’apport qu’ils fournissent pour les décisions clés est important. Et certainement, le retour d’information et (et oui) la critique qu’ils peuvent avoir pour nous sur notre performance et décisions et contrôle est parfois utile ou même la plupart du temps, mais pas nécessairement tout le temps.
Voici la chose. En tant que chefs de projet, tout particulièrement si nous avons quatre, cinq ou six projets dans notre assiette à un instant donné, il peut être facile de prendre quoi qu’ils nous disent comme vérité absolue ou comme… totalement exact précis et agir sur cela, particulièrement si nous n’avons pas beaucoup de temps libre pour le prendre en considération. Cela peut être dangereux. Aussi dangereux que, disons, écouter le client et accepter tout ce qu’ils disent comme exact sans poser la moindre question d’investigations. Si vous l’avez jamais fait alors vous savez que cela peut parfois vous mener vers l’échec, n’est-ce pas ? Alors pourquoi le faire avec notre équipe ? Certainement, ils ne veulent pas faire à mal (et si vous découvrez que, pour une quelconque raison, ils essayent de vous saper, faites-les virer du projet immédiatement… mais c’est probablement rarement le cas).
Les informations qu’ils vous donnent ou apports à la décision peuvent être entièrement corrects. Ce que je dis est de prendre le temps de considérer les choses… comptez jusqu’à dix … pour ne pas seulement agir en réaction sur les informations votre équipe ou quelqu’un d’autre vous fournit sur un projet. Avoir des informations est excellent… mais cela peut aussi être dangereux si elles sont imprécises. Vérifiez-les … réfléchissez-y.
Voici ce que je fais pour assurer que je ne réagis pas trop rapidement à de l’information sur le projet (et pour cet article et cette discussion, nous allons supposer que ceci est concentré sur les informations d’importance ou de ‘valeur’ potentielles significatives au projet et à l’équipe)…
Écoutez Soigneusement
D’abord et avant tout, si nous voulons être de bons communicateurs (ce qui est absolument essentiel pour des chefs de projet), nous devons être de bons auditeurs. Si nous n’écoutons pas bien, nous avons de bonnes chances d’obtenir des renseignements imprécis et ce sera entièrement de notre faute. Toute décision résultante ou actions basées sur de telles informations que nous obtenons seront probablement de mauvaises décisions ou actions. Écoutez d’abord, avancez ensuite.
Discutez et confirmez ce qui a été juste été révélé
Ensuite, confirmez ce qui vient juste d’être discuté ou révélé. [..] Les informations que nous communiquons dans les deux sens sur nos projets sont souvent trop importantes pour les donner au petit bonheur la chance… car, parfois les décisions résultantes que nous prenons ou des actions que nous lançons basées sur ces renseignements peuvent tuer le projet.
Considérez la chose soigneusement à la lumière d’autres connaissances
Maintenant, considérez les informations que vous venez de recevoir et avez confirmées par rapport à tout le reste que vous savez de la situation ou du problème auquel se réfèrent ces informations. Est-ce que c’est compatible avec ce que vous savez déjà ? Si oui, cela peut rendre faciles les actions futures. Si cela contredit énormément ce que vous savez de la situation donnée, il peut être imprudent de réagir en se basant seulement sur ces nouvelles informations. La plupart d’entre nous ont déjà appris ceci du flux rapide d’informations imprécises que nous recevons quotidiennement sur Internet où rumeurs abondent et sont bien propagées – sciemment ou inconsciemment – sur des médias comme Twitter et Facebook.
Choisissez comment réagir
Et voici où vous devriez ‘ignorer votre équipe projet’. Vous êtes toujours le chef de projet, toujours responsable et même celui sur les épaules duquel repose le succès ou l’échec du projet en fin de compte. Alors, que faites-vous avec les nouvelles informations que vous avez entendues, confirmées avec la source et considérées à la lumière de ce que vous savez déjà ? Souvent votre équipe est votre table d’harmonie… et rien ne change vraiment ici. Discutez-en attentivement et inventez une stratégie de réponse… comprenez comment utiliser ces informations pour avancer correctement vers n’importe quelle décision ou action clé qui doit être prise le projet. Mais comme chef de projet, vous devez aussi être prêt à prendre position et dire « nous nous en tenons au plan, ces informations n’affectent pas comment nous allons nous approcher cette situation ». Tant que vous êtes à l’aise avec cela, ce peut être la voie que vous devez suivre et être le leader fort auquel tout le monde s’attend et rester ferme sur votre décision.
En résumé
Image courtesy of Sira Anamwong / FreeDigitalPhotos.net
Beaucoup d’informations circulent sur le projet. La plupart sont de très bonnes informations et je doute que quelqu’un essaye vraiment d’alimenter les chefs de projet en mauvaises informations. Mais cela arrive accidentellement de temps en temps et nous ne pouvons pas réagir en permanence en fonction de tout ce que nous entendons et de chaque renseignement que l’on nous donne. Les intérêts sont trop élevés. Nous devons soigneusement considérer ces informations quand des points de décision critiques sont atteints et parfois c’est ok de ne tenir pas compte des informations qui semblent contredire la logique ou ce que nous savons déjà. Examinez, confirmez, discutez … mais ne réagissez pas trop rapidement ou la décision que vous finiriez par prendre pourrait être nuisible au projet.
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Si, comme moi, vous avez déjà été à une réunion pour ensuite constater qu’il n’y avait pas de suite, vous saurez combien cela est décevant. En grande partie, les réunions de management de projet se terminent par des actions, sinon à quoi bon avoir la réunion ? D’accord, il y a certaines réunions où vous partagez simplement de la connaissance et elles n’ont pas pour intention que les gens repartent avec des actions, mais dans la majorité des cas, les gens qui participent à la réunion finissent par repartir avec des tâches à accomplir.
Combien de fois ces tâches font-elles l’objet d’un suivi ? Si c’est une réunion d’équipe régulière, vous aurez l’occasion de vérifier que les actions ont bien été faites à la réunion suivante, mais si la réunion a été provoquée spécifiquement pour discuter d’un problème particulier, vous pouvez ne pas avoir la chance de faire un suivi avec tout le monde dans un environnement structuré. Alors, comment vous assurer que tout le monde complète leurs actions après une réunion ? Voici quelques astuces.
1. Enregistrez les actions
Cela parait simple, mais assurez-vous que les minutes incluent une liste des actions avec qui va les faire et pour quand. Ceci rend l’action publique et visible et peut encourager la personne à en effet bien compléter ses propres tâches. Sans minutes formelles, envoyez un courrier électronique aux participants de la rencontre après l’événement et récapitulez quelles étaient les actions, même si vous ne rapportez rien d’autre sur la réunion.
2. Faites-les accepter les actions
N’inscrivez pas de force des personnes pour des actions qu’elles ne sont pas prêtes à faire. De nouveau, cela semble simple, mais le simple fait que vous demandiez à quelqu’un de faire quelque chose ne veuille pas dire qu’il le fera. L’individu doit aussi s’approprier l’action et cela ne nécessite qu’une conversation rapide pendant la réunion : « Sara, prendrez-vous la responsabilité de cela ? » : « Oui, OK ». Alors, vous pouvez noter Sara comme la personne qui réalisera l’action.
De même, ne donnez pas d’actions aux gens qui ne sont pas présents. Au lieu de cela, donnez l’action à quelqu’un qui est là d’expliquer ce qui doit être fait à la personne qui n’est pas là. Par exemple : « Chuck parlera à Kumar dur plan de test. »
3. Trouvez une façon de faire un suivi
Si vous n’allez pas suivre les actions dans votre prochaine réunion d’équipe et les passer en revue avec les personnes, vous devez trouver une façon alternative de réaliser un suivi et de vérifier que le travail a été fait. Ajoutez les actions à une registre des actions.
Vous pourriez aussi ajouter de grandes tâches, significatives du projet à votre échéancier de projet, pour vous assurer que tout le monde peut voir la dernière version de ce qu’est effectivement la liste des tâches. Rappelez-vous ajouter un propriétaire au registre ou au plan pour savoir qui fera le travail.
4. N’essayez-pas d’être parfait
Parfois les gens ne peuvent pas s’engager à faire d’une action de la façon dont vous voudriez le faire. C’est OK, il vaut mieux avoir une action qui est entreprise qu’une qui ne commence pas du tout. Vous pouvez toujours aider quelqu’un à la compléter à votre niveau élevé de standard ou baisser simplement vos standards ! Bien sûr, quelques actions ont besoin d’être accomplies selon des normes de qualité agréées et si c’est le cas vous devrez vous assurer que celles-ci sont respectées pour le bien du projet.
5. Chassez !
N’ayez pas peur de poursuivre les gens ! Certaines personnes travaillent mieux de leur propre initiative et compléteront des tâches sans aucune incitation de votre part. Certaines auront besoin de beaucoup d’encouragements et de suivi, particulièrement si elles ont d’autres tâches de plus forte priorité. D’autres ne feront rien à moins que vous ne continuiez spécifiquement à le demander. Vous connaissez les membres de votre équipe projet donc vous saurez quel genre de chasse vous devrez faire pour garantir que le travail soit fait.
Les projets n’avanceront pas à moins que les actions ne soient complétées, aussi, l’un des rôles majeurs du chef de projet est de s’assurer que le travail est fait selon le plan et la liste de tâches et que celles-ci sont cochées sur la liste comme complétées. Alors vous pouvez contrôler le progrès en général et vérifier que le projet est en bonne voie pour être livré à l’heure et selon le contenu requis. Ce n’est pas si difficile de faire faire aux gens le travail qu’ils ont promis de faire lors d’une réunion mais parfois ils auront besoin d’un peu de suivi ou de support pour compléter leurs tâches.
Restez proche de la liste des tâches inscrit et de la charge de travail des membres de l’équipe projet pour vous assurer qu’aucune action ne passe à travers les mailles du filet !
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Ce billet ne devrait pas être vu comme une liste d’excuses pour être des personnes indélicates et énervantes. On devrait plutôt le voir comme un regard réaliste sur les principaux défis auxquels nous faisons tous face quand on parle de communication efficace avec d’autres personnes.
Jetez un coup d’œil aux obstacles ci-dessous et voyez lesquels ont le plus de chance de vous piéger.
Commencez alors un remue-méninges (« brainstorming ») sur ce que vous pouvez faire pour réduire le risque que ces obstacles empêchent des relations productives et fructueuses au travail (et franchement, à la maison aussi!).
Moyen de communication.
Dans la plupart des jobs, la majorité de la communication est réalisée à distance. Ceci inclut l’envoi d’un courrier électronique à quelqu’un qui est à moins de 10 mètres ! Le problème est que, quand nous interagissons face à face avec quelqu’un, nous pouvons lire ses réactions sur bien des niveaux différents. Cela nous aide à ajuster notre tact comme nécessaire. Un problème supplémentaire est que beaucoup de moyens introduisent un décalage de temps qui peut être utilisé et abusé. Le retour d’information instantané dans une réunion en face à face peut être très utile à nous aider à ajuster notre communication et à être plus délicat.
Temps.
Il ne semble jamais y en avoir assez. Se précipiter de réunion en réunion, d’appel en appel. Les demandes de faire plus avec moins laisse peu de temps pour les finesses, sans parler d’avoir assez de temps pour traiter correctement les gens bien. Les relations se construisent avec le temps. Une fois des relations établies, de bonnes relations peuvent être plus rapides et plus productives parce que la confiance et les attentes sont bien comprises. Trouver du temps pour faire ceci est un excellent investissement.
Égoïsme.
Je suis sûr que ceci ne s’applique pas à vous, mais beaucoup de personnes au travail sont si concentrées sur leur propre ordre du jour qu’elles échouent à reconnaître que d’autres ont aussi des besoins. Ce focus crée les angles morts qui peuvent nous faire tomber dans des situations sans avoir la moindre idée de ce qui pourrait offenser l’autre.
Ignorance.
Étroitement lié aux deux obstacles précédents, je me réfère ici au manque de connaissance de l’autre personne. Si vous ne savez pas comment ils fonctionnent, ce qui les énerve et quelles pressions ils subissent, il sera impossible de dire si votre approche va être efficace.
Complexité.
Autrefois, les relations de travail semblaient être assez directes. Chacun avait un patron et chacun avait un travail clair à faire. Il y avait peu de recouvrement et tous les autres dans l’entreprise savaient ce que chacun faisait. Maintenant, avec des structures matricielles, des opérations mondiales et des cultures diverses, un niveau significatif de complexité s’est ajouté à la façon dont nous interagissons au travail. Ceci renforce les précédents obstacles.
Conflit d’Ordres du jour.
Parfois il semble incroyable que les gens travaillent pour la même organisation. Vous penseriez que le management aurait résolu tous leurs différents, que chacun travaillerait sur des objectifs alignés. Une caractéristique rare dans la vie des organisations, me risquerais-je à suggérer. Cet obstacle est amplifié par le fait que souvent ces différents sont très difficiles à découvrir avant de se les prendre un en pleine face.
Vous.
Oui, vous pouvez être votre propre obstacle. Si vous êtes fiers de votre style, disant les choses comme elle sont, appelant un chat un chat, ceci renforce un comportement susceptible d’offenser des âmes plus sensibles. Pour beaucoup de personnes directes et assertives, ne pas subir les imbéciles est une question d’honneur.
Alors, dites-moi, lesquels vous désarçonnent le plus ? Que pouvez-vous faire pour commencer à réduire leur impact dans votre communication ? J’ai certainement manqué quelques aspects. Si vous pensez à d’autres obstacles, faites s’il vous plaît postez un commentaire.
Pour davantage pratiquer la retenue, restez focalisé sur les choses réellement importantes :
Commencez par mieux vous connaître vous-même. Prenez le quizz en anglais de Susan Cain (auteure du livre « Quiet ») pour examiner vos tendances à l’introversion ou l’extraversion. Peut-être y découvrirez-vous comme moi que vous êtes « ambivert » !
Déléguez, ne pratiquez pas le « donner des ordres et contrôler ».
Donnez plus de motivation intrinsèque à atteindre l’objectif.
Parlez moins mais mieux.
Laissez-les un peu sur leur faim en réduisant par exemple d’un tiers la durée de vos réunions et en commençant toujours par l’essentiel.
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6 raccourcis universels qui guident les hommes et les femmes
1. Réciprocité : Faites des choses pour d’autres personnes avant de leur demandiez de faire quelque chose pour vous. Le besoin moral de répondre à une faveur surtout si elle est personnalisée et bien valorisée.
2. Pénurie : La rareté est fortement corrélée à la valeur perçue. Si vous êtes en permanence et donnez gratuitement, vous allez avoir du mal à faire payer vos services. A l’inverse, si c’est seulement disponible pour quelques privilégiés sélectionnés, vous encouragez la demande en offrant quelque chose d’unique et de rare.
3. Autorité : Personne ne vient me demander mon avis sur l’architecture même si c’est un sujet qui m’intéresse. Personne. A l’inverse beaucoup de monde viennent me poser des questions sur le management de projet parce qu’une de leur connaissance leur a dit que j’étais un expert du sujet.
4. Cohérence : Avec elle, vous créez un sentiment de fiabilité et encouragez la confiance.
5. Sympathie : Si vous m’aimez personnellement, vous êtes plus enclin à travailler avec moi pour un bénéfice mutuel. Certains facteurs vont influencer le fait que vous m’aimiez ou pas, par exemple : Sommes-nous semblables d’une certaine façon ? Avons-nous des intérêts communs ? Vous sentez-vous valorisés et respectés dans nos interactions ?
6. Consensus : La chose dont nous parlons a de la valeur pour nous deux. Essayer de vous forcer à acheter un de mes services ne va pas beaucoup m’avancer. Si vous savez par contre que vos pairs, chefs de projets, m’ont acheté ces mêmes services, vous serez plus enclins à faire de même (même si c’est moi qui vous donne cette information).
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Les sociétés dépensent des sommes faramineuses pour positionner leur marque dans l’esprit de leurs clients et publics. Combien dépensez-vous sur vous-même ?
Beaucoup de personnes préconisant le développement de votre « Marque Personnelle » suggéreront que vous deviez développer une phrase personnelle qui capture l’attention ou une « tag line », un slogan. Rien de mal à ça, sauf certains peuvent trouver l’exercice très difficile sans compétences spécifiques en marketing ou éditorialistes.
A la place, une façon rapide et facile de réaliser un progrès pratique est …
Trouvez trois mots que vous voudriez que d’autres aient à l’esprit quand ils pensent à vous
Rendez-les aussi excitants que possible pour vous (éditez avec un thésaurus)
Vérifiez que vous pouvez vivre en accord avec ces mots
Chaque jour, pensez à une chose que vous pouvez faire pour augmenter la probabilité que ces mots viennent à l’esprit des autres quand ils pensent à vous
Des exemples issus de coaching récents incluent :
Implacable, Engageant et Expert;
Challenger, Accessible et Amusant.
Notez comment la combinaison de ces mots fonctionne pour modérer les impressions négatives.
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Les récents propos d’un homme d’état français: « moi, je… » « moi, je… » « je ferai ceci… »je… » ont mis l’équation confiance sur le devant de mes pensées.
En tant que chefs de projet, nous avons beaucoup de responsabilités. Nous devons motiver et mener une équipe de personnes vers un objectif commun. Nous pouvons ne pas avoir l’autorité directe sur ces personnes, donc nous devons trouver d’autres façons de les embarquer avec nous.
La confiance aide. Si les membres de l’équipe d’équipes projet ont confiance en nous, nous trouvons plus facile de créer et partager des plans, construire des budgets et délivrer avec succès.
Alors, qu’est-ce qui fait venir la confiance ?
Dans « The Power of Presence: Unlock Your Potential to Influence and Engage Others » (le Pouvoir de la Présence : Ouvrez Votre Potentiel pour Influencer et Engager les autres) chez Amacom en 2011, Kristi Hedges décrit ce qu’elle appelle ‘ l’équation confiance ‘. La Confiance est une combinaison de crédibilité, fiabilité et intimité, modérée par l’égocentrisme (ndlt. « self-orientation » centré sur soi, individualiste, nombriliste, égoïste…). Jetons un coup d’œil à chacune de celles-ci tout à tour.
Crédibilité
La crédibilité est rationnelle. Elle n’est pas facile de mesurer, mais facile à voir. Il s’agit de notre connaissance du domaine, de notre capacité de planifier des projets précisément, manager les risques, traiter les problèmes et maîtriser les finances des projets. Elle s’établit aussi à travers les certifications en management de projet comme PMP ou PRINCE2 qui peuvent démontrer votre crédibilité dans le travail.
Les chefs de projet crédibles savent comment présenter leurs points avec éloquence aux parties prenantes et sponsor de projet. Beaucoup de la crédibilité provient des mots que vous utilisez et de l’impression que vous faites sur les gens quand vous travaillez avec eux.
Fiabilité
La fiabilité est démontrée par vos actions. Des chefs de projet fiables font ce qu’ils disent qu’ils vont faire. Ils rendent les rapports de projet quand ils sont dus. Ils arrivent aux réunions à l’heure. Ils s’attendent à ce que les autres fassent le même.
Vous n’arriverez pas à être reconnu et gagner la confiance en tant que chef de projet fiable par juste une action. Vous devez démontrer cette fiabilité dans le temps.Donc, malheureusement, vous ne pouvez pas ‘obtenir’ la fiabilité à travers une seule interaction avec une partie prenante de projet. Cependant, vous pouvez commencer à modeler leur perception de votre fiabilité en vous assurant que vous allez bien au bout de tout ce que vous dites que vous allez faire.
Intimité
L’intimité, dit Kristi Hedges, est où l’émotion entre en jeu. Les personnes aiment travailler avec (et faire confiance) aux autres personnes, donc il est important que l’on ne vous voit pas comme un chef de projet robotisé au travail. Vous pouvez être entièrement crédible et fiable, mais si vous ne paraissez pas authentique, les gens trouveront difficile de créer une relation avec vous et par conséquent difficile d’avoir confiance en vous.
Une partie de créer cette intimité entre vous et vos collègues est la capacité de faire s’ouvrir les autres. S’ils ne trouvent pas possible de partager leurs sentiments avec vous, vous pourriez avoir du mal à parvenir au cœur des problèmes sur le projet.
égocentrisme
L’égocentrisme modère (ou, dans quelques cas, détruit complètement) la confiance. C’est la mesure selon laquelle les individus se placent toujours en premier. Si vous optez pour servir vos propres intérêts avant ceux de votre équipe projet et parties prenantes, vous les verrez perdre rapidement leur confiance en vous.
Par exemple, si, sur un projet, vous choisissez de faire seulement les tâches qui servent à accumuler des heures de management de projet en vue de la certification PMP et déléguer tout le reste à un autre membre de l’équipe, ce sera rapidement remarqué par vos collègues. Pour prendre un autre exemple, si vous ne faites pas votre part du boulot sur un projet ou faites seulement le minimum pour passer le reste de votre temps à promouvoir votre carrière lors de déjeuners de réseautage, les gens s’en rendront rapidement compte et cela sapera toute confiance que vous pouviez avoir créée avec eux. Vous voyez où je veux en venir…
Vous devriez aspirer à trouver un équilibre entre servir vos propres intérêts (vous ne voulez pas être un laissé pour compte) et vérifier que les besoins des autres parties prenantes sont aussi convenablement respectés.
La confiance est une chose fragile.
Elle est durement gagnée et facilement détruite, aussi sur les projets cela vaut la peine de savoir un peu comment la confiance peut être produite et encouragée.
Quelles autres astuces avez-vous pour créer la confiance entre des membres de l’équipe projet ?
Rachel Botsman: The currency of the new economy is trust
Et si on vous demandait de résumer votre réputation en trois mots ? Que diriez-vous ? Comment les gens décriraient-ils votre jugement, votre savoir et votre comportement dans différentes situations? Aujourd’hui, j’aimerais étudier avec vous pourquoi la réponse à cette question deviendra extrêmement importante dans un monde où votre réputation sera votre atout le plus précieux.
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Le leadership sans influence – n’existe pas. En fait, comprendre comment démultiplier la puissance de l’influence peut faire une différence de base dans votre capacité à conduire le changement, à construire des équipes cohésives et à implémenter avec succès une vision stratégique. En tant que PDG ou entrepreneur votre » Quotient d’Influence » est le QI auquel vous devez réellement prêter attention, car ce sera un déterminant beaucoup plus important de votre succès final que votre « Quotient intellectuel » ne pourrait jamais l’être. L’intelligence innée et brute bien que certainement précieuse, est beaucoup plus commune et beaucoup moins puissante que la réelle influence. Dans ce billet, j’examinerai la valeur souvent mal comprise de l’influence…
Laissez-moi être clair; quand je mentionne l’influence je ne me réfère pas à la manipulation, à des plans complexes, ou autres formes de magouilles. Des biens mal acquis seront toujours exposés pour ce qu’ils sont et de plus, ils ne vaudront jamais les compromis qui ont été faits pour les obtenir. Non seulement la vraie influence est-elle beaucoup plus facile à acquérir, mais elle est aussi durable. Dit simplement, la vraie influence n’est rien de plus que la compréhension de comment travailler avec et au travers d’autres pour atteindre un objectif donné en restant fidèle à vos valeurs fondamentales et en conservant votre intégrité.
Les concepts fondamentaux d’influence suivants, correctement compris et implémentés, peuvent aider quelqu’un à devenir plus efficace, productif et à réussir :
1. L’influence se construit sur une fondation de confiance
Si on n’a pas confiance en la personne, cela limite fortement sa capacité à créer et utiliser l’influence. Les personnes feront rarement un acte de foi à quelqu’un qui n’a pas gagné leur confiance. Cependant la plupart des personnes feront volontiers une confiance aveugle à quelqu’un en qui ils en sont venus à avoir confiance. La confiance importe…
2. L’influence se construit en faisant réussir les autres
Ceci est souvent mentionné comme la loi de réciprocité : Si vous vous investissez à faire réussir d’autres alors ils seront à leur tour probablement prédisposés à vous aider à réussir. Je préfère y penser comme à un service. Prenez soin des intérêts de ceux que vous dirigez et ils se soucieront de vos intérêts. Même si ce principe ne paiera pas toujours, selon mon il reste vrai dans une écrasante majorité de mes interactions depuis des années. La vraie influence est rarement construite sur le dos des autres, mais plutôt en servant des autres et en les aidant à réaliser leurs buts.
3. Amabilité
Les gens font affaires avec les gens qu’ils aiment et évitent de faire des affaires avec ceux qu’ils n’aiment pas, c’est aussi simple. Est-ce que vous êtes accessible, positif, affable, digne de confiance, une personne de caractère et d’intégrité, ou êtes-vous quelqu’un de distant, pessimiste et généralement de peu de confiance ? Ceux qui se trouvent dans la première catégorie se trouveront avoir plus d’influence et de succès. Laissez-moi être direct : Ne soyez pas un pauvre type.
4. On exerce l’influence en aidant les autres à tenir leurs engagements
Les professionnels respectent les professionnels qui tiennent leurs engagements. Dans le monde des affaires, on vous juge plus souvent sur votre capacité à tenir votre parole et respecter vos promesses. La clé pour influencer des personnes tient dans votre capacité à leur faire adopter une position initiale qui est en accord avec un comportement, tel qu’elles soient enclines à être d’accord avec les demandes qui sont compatibles avec leur engagement précédent. Les personnes désirent être perçues comme sûres, fiables et fructueuses et iront normalement très loin pour ne pas ternir leur réputation. Obtenez très tôt de forts engagements, et ensuite tenez simplement les gens à leurs engagements. Cela les aide en fin de compte à améliorer leur réputation de tenir des promesses faites.
Il est important de se rendre compte qu’il y a une vérité dans la déclaration « l’autorité la plus puissante est celle qui est donnée et rarement celle qui est prise ». On donne plus souvent l’Autorité à ceux que démontrent de l’honnêteté, de la compétence, de l’expertise et de la sagesse. Avec l’autorité vient la crédibilité et avec la crédibilité vient l’influence. Tandis que l’on peut exercer l’influence sans en avoir l’autorité, elle sera limitée tant dans sa portée que dans son échelle. Ceux qui ont le plus d’autorité auront toujours le plus d’influence.
6. La valeur et la pénurie pilotent l’influence – jusqu’à un certain point
Comprendre la valeur de votre position, marque, autorité, ressources, accès aux personnes ou connaissance et autres facteurs qui touchent à l’accomplissement des besoins et des désirs des autres crée l’influence. Votre capacité à créer de l’influence augmentera significativement selon la mesure de ce qui est rare ou propriétaire dans votre domaine de responsabilité. Cependant il est important de noter que vous risquez de tomber du côté sombre et en réalité perdre de l’influence si vous essayez d’amasser des ressources rares par opposition à les partager. Créer des silos, avoir une mentalité protectionniste, ou n’être tout simplement pas enclin à partager la connaissance tient plus du contrôle et de la recherche de pouvoir que du leadership. Cela sape votre capacité à utiliser l’influence de façon positive.
En bout de ligne… Ne manipulez-pas pour le gain personnel, facilitez plutôt pour un bénéfice mutuel. Prenez un intérêt sincère dans le succès des autres, travaillez sur votre capacité d’amabilité, devenez expert sur l’obtention d’engagement, développez votre autorité et ayez accès aux choses de valeur ou rares et votre influence avec les autres augmentera.
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