Le pouvoir de la perspective : Comment contrôler les défis de votre vie ?

La perspective est tout quand vous affrontez les challenges de la vie.

The Power of Perspective: How to Keep Life’s Challenges in Check par Steve Keating

https://stevekeating.me/2025/09/28/the-power-of-perspective-how-to-keep-lifes-challenges-in-check/

Parfois, nous sommes tellement débordés que tout semble nous irriter. Une critique sévère au travail, une prise de bec avec un ami, une interminable liste de choses à faire, soudainement, vous pouvez avoir l’impression que votre monde est en train de s’effondrer. Mais la vérité est que la plupart de ce qui nous stresse ne sont que de petites pièces d’un puzzle beaucoup plus grand et plus complexe.

Apprendre à garder les choses en perspective ne signifie pas ignorer les problèmes ; Il s’agit de développer un état d’esprit qui empêche les petits revers de vous ôter votre bien-être général.

Je crois fermement qu’il faut vivre dans ce que Dale Carnegie a appelé les « compartiments étanches ». Vivre chaque jour dans les limites de ses propres 24 heures. Cela signifie qu’il ne faut pas laisser les « choses » d’hier avoir un impact sur les efforts d’aujourd’hui. Il faut ne pas trop s’inquiéter des événements de demain au détriment du bonheur et de la productivité d’aujourd’hui.

Vivre dans des compartiments étanches est le superpouvoir qui vous permet de naviguer dans les tempêtes sans couler tout votre navire.

Voici quelques stratégies pratiques que vous pouvez utiliser pour faire un zoom arrière et reprendre pied lorsque la vie vous semble trop chargée et que votre compartiment étanche commence à prendre un peu l’eau.

#1 – La règle du 10/10/10

Lorsque vous faites face à une décision stressante ou à un bouleversement majeur, essayez de vous poser ces 3 questions simples :

  1. Comment vais-je me sentir à ce sujet dans 10 minutes ? (Impact immédiat)
  2. Comment vais-je me sentir à ce sujet dans 10 mois ? (Impact à moyen terme)
  3. Comment me sentirai-je à ce sujet dans 10 ans ? (Impact à long terme)

La plupart des choses qui causent une détresse immédiate – ce courriel gênant, un café renversé, une échéance non respectée – n’auront aucun poids émotionnel dans 10 mois ou 10 ans. Cet exercice déplace instantanément votre attention du drame actuel vers la réalité à long terme, réduisant souvent le problème à sa taille réelle et gérable.

#2 – La vérification du « pire scénario »

Nos esprits sont passés maîtres dans l’art du catastrophisme. Lorsque nous nous sentons anxieux, nous passons souvent directement aux résultats potentiels les plus dramatiques et les plus effrayants sans vérifier les faits.

La prochaine fois que vous sentirez une inquiétude monter en flèche, prenez un moment pour définir le pire des scénarios. Écrivez-le.

Ensuite, posez-vous deux autres questions :

  • Quelle est la probabilité que cela se produise ? (Soyez honnête, n’ayez pas peur.)
  • Si c’était le cas, quel serait le minimum absolu que je pourrais faire pour me rétablir ?

En affrontant le « pire » et en créant un plan de repli, vous lui enlevez son pouvoir. Vous vous rendez compte que même si le pire se produisait, tout irait bien et vous avez l’ingéniosité nécessaire pour y faire face. Vous passez de la panique à la planification. Cela vous enlèvera une tonne de poids des épaules.

#3 – Embrassez le « cercle d’inquiétude ou cercle d’influence »

Ce concept, popularisé par Stephen Covey, est essentiel pour réduire le stress lié à des choses que vous ne pouvez pas contrôler.

Cercle d’inquiétude

Tout ce qui vous inquiète : L’économie, la météo, ce que les autres pensent de vous, la mauvaise humeur d’un collègue.

Cercle d’influence

Les choses sur lesquelles vous pouvez réellement faire quelque chose : Vos efforts, votre attitude, vos limites et la façon dont vous utilisez votre temps.

Lorsque le stress frappe, identifiez quelle partie du problème tombe dans votre cercle d’influence. Ne gaspillez pas d’énergie à vous inquiéter de la météo (inquiétude) ; concentrez-vous sur prendre un parapluie (influence).

En consacrant votre temps et votre énergie uniquement à ce que vous pouvez contrôler, vous devenez plus efficace et moins surchargé.

#4 – Pratiquez la gratitude quotidiennement

Cela semble presque idiot, mais une pratique cohérente de gratitude est l’un des outils les plus puissants pour prendre du recul. Lorsque vous vous concentrez sur ce qui vous manque ou ce qui n’a pas fonctionné, vous rétrécissez votre vision. La gratitude vous oblige à l’élargir.

Prenez 3 minutes chaque matin ou soir pour énumérer 3 choses spécifiques pour lesquelles vous êtes vraiment reconnaissant. Il peut s’agir de votre café du matin, d’une bonne nuit de sommeil ou du soutien d’un ami.

Ce simple geste vous rappelle que même dans un mauvais jour, votre vie est remplie de bonnes choses réelles – et le petit revers auquel vous êtes actuellement confronté n’invalide aucune d’entre elles. Cela place vos problèmes dans un contexte plus riche et plus complet, ce qui a tendance à les réduire.

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Une dernière réflexion : Vous êtes plus que vos problèmes.

N’oubliez pas que vous n’êtes pas votre situation immédiate. L’espoir, c’est la compréhension que vos circonstances actuelles sont très peu susceptibles d’être vos circonstances permanentes. Une mauvaise journée est un seul point de données, pas une image complète de votre vie. Cela signifie que vous avez toujours de l’espoir. Lorsque vous vous sentez piégé par un défi actuel, prenez du recul, respirez et utilisez l’un de ces outils pour faire un zoom arrière.

La capacité de garder les choses en perspective n’est pas un trait de caractère avec lequel vous êtes né ; C’est une compétence que vous développez, jour après jour, inquiétude après inquiétude. Commencez à vous entraîner dès aujourd’hui et observez à quel point vos défis deviennent plus petits et plus faciles à gérer.

Les grands rêves sont surestimés !

Les grands rêves sont des fardeaux. Les petits rêves donnent souvent des résultats surprenants.

Big Dreams Are Overrated par Dan Rockwell

https://leadershipfreak.blog/2025/09/04/big-dreams-are-overrated/

Dan Rockwell ne rêvait pas grand quand il a créé Leadership Freak. Il voulait juste faire une différence.

3 gros problèmes avec de grands rêves.

  1. Les grands rêves se moquent des petites avancées.
  2. Les grands rêveurs attendent le « bon » moment.
  3. Les grands rêves minimisent le pouvoir des habitudes quotidiennes.

Les grands rêves donnent aux gens ordinaires le sentiment d’être petits.

Mais, si les statistiques sont exactes, la plupart d’entre nous sont « ordinaires », dans la moyenne.

Les petits objectifs que vous pouvez atteindre vous mènent plus loin que les grands objectifs qui vous paralysent.

12 façons de rêver petit

Avoir un impact n’a pas besoin d’un grand rêve. Votre impact se développe grâce au talent, à l’effort, à la curiosité, à la cohérence et à la chance. Au lieu de rêver grand…

  1. Pratiquez le mécontentement optimiste. Soyez reconnaissant dans l’instant présent. Restez avide de faire une différence. Servez là où vous êtes.
  2. Vivez les mains ouvertes. La vie égocentrique limite l’impact. Donnez aux autres. N’essayez pas de remplir la tasse de tout le monde. Videz simplement la vôtre.
  3. Suivez l’énergie. Servez de manière qui vous donne de l’énergie.
  4. Écoutez et essayez des choses. Aller petit rend l’expérimentation facile.
  5. Faites le travail. Une vie d’impact va au-delà de regarder la télévision et à jouer à des jeux vidéo.
  6. Faites ce que vous pouvez avec ce que vous avez, maintenant.
  7. Fixez-vous des objectifs centrés sur les personnes. Ne vous concentrez pas sur le pouvoir, le prestige et la prospérité. Concentrez-vous sur la création de valeur pour les gens.
  8. Attendez davantage de vous-même que ce que vous attendez des autres.
  9. Remplissez plus que vous ne versez. L’impact ne nécessite pas l’épuisement professionnel.
  10. Considérez un conseil qui semble erroné. L’inconfort précède souvent l’apprentissage.
  11. Entrez en contact avec des personnes qui font une différence.
  12. Lorsque vous n’êtes pas sûr de ce qu’il faut faire, apprenez en aidant quelqu’un qui sait quoi faire.
Que pourriez-vous gagner à rêver plus petit ?
Comment pouvez-vous amplifier votre impact sans courir après la grandeur ?

Dirigez toujours en donnant du contexte à ce que vous dites et demandez.

Les communications sans contexte deviennent rapidement un bruit de fond.

Always Lead With Context by Maarten Dalmijn

https://mdalmijn.com/p/always-lead-with-context

Imaginez que vous receviez le texte suivant :

« La procédure est en fait assez simple. Tout d’abord, vous organisez les choses en différents groupes en fonction de leur composition. Bien sûr, une seule pile peut suffire en fonction de ce qu’il y a à faire. Si vous devez vous rendre ailleurs en raison d’un manque d’installations, c’est la prochaine étape, sinon vous êtes quasiment prêt.

Il est important de ne pas exagérer un effort particulier. C’est-à-dire qu’il vaut mieux faire pas assez de choses à la fois que trop. À court terme, cela peut ne pas sembler important, mais des complications peuvent facilement survenir su vous en faites trop. Une erreur peut également coûter cher. La manipulation des mécanismes appropriés devrait s’expliquer d’elle-même, et nous n’allons pas nous y attarder ici.

Au début, toute la procédure vous semblera compliquée. Bientôt, cependant, elle ne deviendra qu’une autre facette de la vie. Il est difficile de prévoir la fin de la nécessité de cette tâche dans un avenir immédiat, mais on ne peut jamais dire. »

Après avoir lu ceci, vous vous dites probablement : Qu’est-ce que je viens de lire ?

Il s’agit en fait d’un extrait d’une expérience scientifique réelle réalisée dans les années 70. Les participants à l’expérience ont été secrètement divisés en 3 groupes :

  1. Contexte non fourni
  2. Contexte fourni après la lecture du texte
  3. Contexte fourni avant la lecture du texte

Ces trois groupes ont tous reçu exactement le paragraphe que vous venez de lire (sauf qu’il s’agissait d’un enregistrement audio). Ensuite, les participants ont été évalués sur la compréhension (comprennent-ils ce qui a été dit ?) et la mémoire (se souviennent-ils de ce qui a été dit ?).

Les groupes 1 et 2 n’ont pas obtenu de résultats significativement différents en matière de compréhension et de mémorisation. L’absence de contexte ou le fait de fournir le contexte après avoir entendu le passage n’a pas fait une énorme différence. Le groupe 3 a obtenu le meilleur score. Fournir le contexte avant a presque doublé les scores de compréhension et de mémorisation.

Le texte portait en fait sur quelque chose d’aussi simple que des instructions de lavage en machine. Qu’est-ce que cela signifie pour la façon dont nous travaillons avec nos équipes ?

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Le contexte est roi.

C’est assez simple : Commencez toujours par fournir suffisamment de contexte et de pourquoi.

Supposons qu’un nouveau membre de l’équipe ait rejoint l’équipe et qu’il manque totalement de contexte. Chaque fois que je rejoins une nouvelle équipe, je regarde les éléments de l’arriéré de produit, le backlog, comme quelqu’un qui vient de rejoindre l’équipe et qui en sait très peu, et je vérifie s’ils sont suffisamment ancrés dans le contexte : Quel problème essayons-nous de résoudre et pourquoi est-ce important ?

En fournissant d’abord le contexte, nous activons un schéma. L’exposition à un stimulus antérieur influence la réponse à un stimulus ultérieur. Cela signifie que l’information est ancrée dans quelque chose qu’ils connaissent déjà.

Vous seriez surpris de voir combien peu d’éléments du backlog produit passent ce test. Raconter le contexte après coup n’est tout simplement pas suffisant.

Imprégnez d’abord les éléments de votre backlog produit du contexte, car c’est la base de tout ce qui suit. Cela fonctionne pour quelque chose d’aussi simple que des instructions de lavage, et c’est encore plus important pour toutes les choses complexes que nous essayons de réaliser.

Si vous ne fournissez pas de contexte, vous privez votre équipe de la possibilité de se souvenir, de mémoriser et même de remettre en question ce que nous essayons de faire. Vous leur donnez la possibilité de recadrer le problème en quelque chose de plus précieux.

Si vous ne faites rien d’autre, commencez par le contexte. C’est dire à quel point c’est important pour tout ce que vous essayez de faire. Et le fournir à la fin ne suffira jamais.

Le premier pas vers des solutions qui fonctionnent et perdurent !

« Les gens arrêtent de tourner en rond autour des problèmes lorsqu’ils commencent à travailler sur des solutions .»

The First Step Toward Solutions par Dan Rockwell

https://leadershipfreak.blog/2025/07/02/the-first-step-toward-solutions/

Le blâme est un obstacle. La responsabilité, c’est le progrès.

Le blâme bloque les solutions. Lorsque les leaders blâment, les problèmes persistent.

Regardez autour de vous. Ce que vous voyez est là pour vous appartenir. Le fait de pointer du doigt retarde la progression. Les gens ne prendront pas leurs responsabilités tant que vous ne l’aurez pas fait vous-même.

« Les gens arrêtent de tourner en rond autour des problèmes lorsqu’ils commencent à travailler sur des solutions .»

Prenez possession des problèmes pour trouver des solutions.

Si vous voulez que les autres prennent leurs responsabilités, montrez la voie.

#1 – Imaginez le « mieux ».

Les réponses commencent par les problèmes, mais n’en restez pas là. Échappez à l’attraction gravitationnelle des problèmes. Levez les yeux et créez une image de ce que vous voulez.

#2 – Associez les comportements au « mieux ».

Que font les gens quand les choses se passent bien ? Faites en sorte que ces comportements soient clairs.

#3 – Rendez l’apprentissage sûr.

Ne prétendez pas que vous savez déjà. Dites : « Je n’y avais pas pensé » lorsque les gens offrent des suggestions. Choisissez de dire : « Essayons. »

#4 – Générez plusieurs solutions.

Une solution limite la réflexion. Notre cerveau passe de l’exploration à la défense. De multiples solutions stimulent la créativité.

Prenez 5 minutes pour vous plaindre et 15 pour rechercher des solutions.

#5 – Évaluez fréquemment.

Demandez :

  • Sommes-nous sur la bonne voie ?
  • Qu’est-ce qui fonctionne ? Qu’est-ce qui ne marche pas ?
  • Qu’est-ce qui doit cesser ?
  • Qu’est-ce qui pourrait être mieux, et comment ?

#6 – Restez optimiste.

Ne commencez pas le voyage si vous ne croyez pas que les choses peuvent être meilleures.

#7 – Visez haut et bas.

Visez haut, mais fixez-vous des jalons réalisables. Le progrès alimente le momentum. Les aspirations élevées seules sont décourageantes.

Les leaders qui réussissent pensent aux problèmes et aux défis en termes de leur responsabilité, et non de celle de quelqu’un d’autre.

Rien ne change tant que les leaders n’ont pas pris leurs responsabilités.

S’approprier les problèmes et créer de nombreuses solutions.

Dans des environnements remplis de blâmes et de reproches, comment les leaders peuvent-ils prendre leurs responsabilités ?

Vos valeurs sont-elles faibles ?

La fin ne justifie jamais les moyens et vos bonnes valeurs vous mèneront sur le bon chemin vers de bons résultats.

Are Your Values Weak? par Sam Silverstein

https://samsilverstein.com/are-your-values-weak/

Dans un récent programme, nous faisions un exercice pour aider tout le monde dans la salle à découvrir leurs valeurs personnelles. Si vous n’êtes pas connecté à un ensemble de valeurs et que vous ne vivez pas votre vie en fonction de cet ensemble de valeurs, comment pouvez-vous vous connecter, vivre et diriger à travers l’ensemble des valeurs d’une organisation ?

J’ai demandé à tout le monde d’identifier 5 héros, puis de lister les caractéristiques de ces héros qu’ils admiraient. C’est le point de départ pour découvrir ce qui est important pour vous, ce que vous appréciez et comment vous aspirez à vivre votre vie.

Un monsieur m’a posé une question :

« Devez-vous aimer votre héros ? ».

Je ne voulais pas entrer dans un débat politique avec lui dans la salle, mais c’est la bonne réponse.

Si vous n’aimez pas quelqu’un, pourquoi ne l’aimez-vous pas ? Et pourquoi voudriez-vous être comme cette personne ?

Il y a une bonne façon et une mauvaise façon de faire les choses. Et la fin ne justifie jamais les moyens. Si vous basez vos valeurs sur quelqu’un que vous n’aimez pas, alors peut-être que vous identifiez les mauvaises valeurs. Et les mauvaises valeurs ne vous mèneront jamais sur le bon chemin ni aux bons résultats.

Alors, qui sont vos 5 héros et héroïnes ?

Comment pouvez-vous devenir plus persuasif dans vos communications ?

La communication est ce qui se produit quand vous amenez une autre personne à voir ce que vous voyez. La persuasion est ce qui se produit quand vous amenez une autre personne à croire ce que vous croyez. Roy H. Williams

Becoming a More Persuasive Communicator par Steve Keating

https://stevekeating.me/2025/01/12/becoming-a-more-persuasive-communicator/

Il y a un fait fondamental que les gens qui aiment vraiment argumenter ne parviennent pas à saisir. Ce fait est qu’une personne convaincue contre sa volonté est toujours du même avis qu’auparavant.

C’est pourquoi il est presque impossible de vraiment « gagner » un argument. Les gens peuvent abandonner le combat vous donnant leur accord, ou peut-être tenter d’arrêter la dispute en acceptant simplement de ne pas être d’accord. Mais il est très probable que le « gagnant » de l’argument n’a rien fait pour changer réellement la pensée des « perdants ».

La seule façon de changer l’opinion d’une autre personne est la persuasion. Cette personne doit croire pleinement ce que vous dites si elle veut remplacer sa pensée par la vôtre. Mais comme toutes les choses qui valent la peine d’être faites, persuader les autres de penser comme vous est plus facile à dire qu’à faire.

Pour devenir un communicateur plus persuasif, il faut maîtriser des techniques qui vous aident à influencer efficacement les autres tout en instaurant la confiance et le respect.

Voici quelques idées pour vous aider à améliorer vos compétences en communication persuasive.

#1 – Comprenez votre public

Connaissez leurs besoins : Comprenez les valeurs, les préoccupations et les priorités de la personne ou du groupe à qui vous vous adressez.

Faites preuve d’empathie : mettez-vous à leur place pour vous connecter émotionnellement et faire preuve d’une véritable compréhension.

#2 – Renforcez votre crédibilité

Démontrez votre expertise : Montrez que vous êtes bien informé et crédible sur le sujet.

Soyez digne de confiance : Soyez honnête, cohérent et juste dans votre communication. N’exagérez pas.

Utilisez un langage corporel confiant : Maintenez un contact visuel, tenez-vous droit et évitez de vous agiter.

#3 – Faites appel aux émotions

Racontez des histoires : Utilisez des anecdotes et des histoires qui évoquent des émotions et rendent votre message mémorable.

Faites preuve d’enthousiasme : laissez transparaître votre passion pour le sujet.

Utilisez des images et des métaphores : Brossez des images vivantes avec des mots pour créer un lien émotionnel.

#4 – Utilisez la logique et la raison

Présentez des arguments clairs : Structurez vos points de vue de manière logique et utilisez des données ou des preuves pour étayer vos affirmations.

Anticipez les objections : Traitez les contre-arguments potentiels de manière proactive.

Soyez précis : Utilisez des détails précis plutôt que de vagues généralisations.

#5 – Maîtrisez l’art de l’écoute

Écoutez activement : Montrez un véritable intérêt pour le point de vue des autres en hochant la tête, en posant des questions de clarification et en résumant leurs retours.

Faites une pause de réflexion : Donnez aux gens le temps de traiter votre message et d’y répondre de manière réfléchie.

#6 – Adaptez votre style de communication

Adaptez-vous à leur ton : Ajustez votre langage, votre ton et votre rythme pour vous aligner sur les préférences du public.

Choisissez le bon support : Demandez-vous si le face à face, l’e-mail ou une présentation est le plus approprié pour votre message.

Simplifiez les idées complexes : Rendez votre message accessible et facile à comprendre.

#7 – Pratiquez la communication non verbale

Soyez conscient de votre langage corporel : Alignez vos gestes, vos expressions faciales et votre posture avec vos mots.

Utilisez le ton de votre voix : Utilisez des variations de tonalité, de vitesse et de volume pour mettre l’accent sur les points clés.

Maintenez un contact visuel : Maintenez un équilibre pour montrer votre confiance et établir une relation.

#8 – Appelez à l’action

Soyez clair et direct : Décrivez clairement l’action que vous souhaitez que votre public entreprenne.

Mettez en évidence les bénéfices : Expliquez en quoi le fait de suivre votre suggestion leur est bénéfique.

Utilisez l’urgence : Encouragez une action rapide pour des raisons urgentes.

#9 – Pratiquez, revoyez et améliorez-vous

Demandez des commentaires : Demandez à des pairs ou à des mentors de confiance des commentaires constructifs sur votre style de communication.

Enregistrez-vous : Pratiquez vos prises de parole ou présentations et examinez-les en détail pour identifier les domaines à améliorer.

Apprenez des autres : Étudiez les communicateurs compétents et intégrez leurs techniques.

Que vous vous adressiez à une seule personne ou à un grand groupe, en combinant empathie, crédibilité, arguments logiques et attrait émotionnel, vous pouvez devenir un communicateur plus persuasif.

Vous n’aurez pas à argumenter pour gagner les gens à votre façon de penser.

Vous n’aurez pas à perdre leur respect et leur confiance.

En fait, c’est tout le contraire : Une communication persuasive renforcera la confiance et le respect. Et vous n’aurez pas à vous demander si les personnes à qui vous parlez sont toujours du même avis qu’auparavant.

Choisir un travail significatif est un vote, votre vote !

Lorsque vous optez pour un travail significatif, vous faites le choix de donner votre meilleur.

Significant work is a vote de Seth Godin

https://seths.blog/2023/08/significant-work-is-a-vote/

Lorsque vous vous présentez pour apporter de l’humanité au travail, vous faites un choix.

Cela implique des risques, des efforts et un travail émotionnel. Vous êtes ici pour faire changer les choses, et vous donnez quelque chose pour que cela se produise.

C’est donc un vote.

Un vote pour le client que vous cherchez à servir.

Un vote pour le dirigeant et les propriétaires de l’institution où vous travaillez.

Un vote pour vos collègues.

S’ils ne l’ont pas mérité, si vous ne pouvez pas leur faire confiance, les soutenir et les encourager, vous devriez aller le faire ailleurs. Ne vous portez pas volontaire pour travailler pour un partenaire qui ne travaillera pas pour vous.

Votre travail le meilleur est rare. Vous ne devriez pas le gaspiller avec des imbéciles, des arnaqueurs égoïstes ou ceux qui ne l’apprécient pas.

Quand votre sponsor devrait-elle (ou il) s’adresser à l’équipe projet ?

Le manager de projet est le principal animateur et leader de la communication dans l’équipe de projet et dans certaines occasions votre sponsor peut avoir un impact très positif sur l’équipe de projet.

When should the sponsor address the project team?  par Bonnie Biafore

https://www.bonniebiafore.com/when-should-the-sponsor-address-the-project-team/

Le manager de projet est le principal communicateur avec l’équipe de projet. Parfois, la présence du sponsor a un impact significatif sur l’équipe de projet.

Voici quand tirer parti de l’influence du sponsor.

La réunion de lancement.

Cette réunion définit l’orientation du projet et confirme les responsabilités du manager de projet et de l’équipe. De plus, le sponsor peut parler de l’objectif du projet. C’est puissant d’entendre cela de la part du manager qui bénéficiera le plus des résultats du projet. De cette façon, les membres de l’équipe peuvent poser des questions liées à l’entreprise pour clarifier les bénéfices du projet et les approches permettant d’obtenir ces bénéfices.

Le passage des jalons du projet.

Le sponsor est la personne la mieux placée pour reconnaître les progrès. La reconnaissance par le commanditaire valide la pertinence du projet et l’intérêt de la direction pour la réussite du projet. Ce discours d’encouragement confirme également que l’équipe est sur la bonne voie et renforce sa motivation.

Lorsque des changements importants se produisent.

Les conditions de l’entreprise, du personnel et du projet changent souvent et parfois radicalement. Lorsque cela se produit, le sponsor doit réaffirmer la valeur business du projet. En tant que membre essentiel de l’équipe de direction, le réconfort du sponsor aide l’équipe de projet à rester concentrée dans la tourmente.

Lorsqu’un problème majeur survient.

Des problèmes importants peuvent faire dérailler un projet. Lorsqu’un problème majeur survient, le sponsor peut agir en tant que participant engagé dans la gestion de crise. Cela montre son dévouement à la réussite du projet malgré les défis. Le sponsor peut également valider et renforcer les actions de réponse aux problèmes. Le moral et le dévouement de l’équipe de projet sont stimulés lorsqu’ils voient le sponsor participer au rétablissement du projet, plutôt que de distribuer des blâmes.

Reconnaissance de performances exceptionnelles.

L’attention d’un cadre supérieur accentue la reconnaissance. Si le sponsor participe à un événement de reconnaissance, ce sera mémorable et puissant pour l’équipe de projet.

Réunions publiques.

Les choses changent dans l’entreprise et les découvertes au cours d’un projet peuvent soulever des questions dans l’esprit des parties prenantes. Les réunions publiques sont un moyen efficace de tenir tout le monde au courant. Demandez au sponsor de présenter son statut lors de ces réunions afin de rappeler à tous l’importance du projet.

Clôture du projet.

La présence du sponsor lors de la clôture est la forme ultime de reconnaissance. Cela reconnaît le projet et la contribution des membres de l’équipe à l’entreprise.

Demandez-vous s’il est possible de tirer davantage parti de votre sponsor de projet dans votre projet actuel.

Si c’est le cas, tant mieux ! L’étape suivante consiste à discuter avec elle ou lui de la manière dont il/elle peut aider le projet en communiquant avec l’équipe. Il est toujours bon de lui donner quelques conseils (ou des demandes directes) sur les choses à faire.

Pour en savoir plus sur les sponsors de projet, consultez le cours d’ Antonio Nieto-Rodriguez, How to Be an Effective Project Sponsor.

Le primo adoptant (et le dilettante)

Le primo adoptant et le dilettante essaient tous deux votre nouveau produit ou livrable, mais seul le premier s’accroche pour en découvrir toutes les capacités.

The early adopter (and the dilettante) par Seth Godin

https://seths.blog/2023/07/the-early-adopter-and-the-dilettante/

Les primo adoptants ont acheté un iPhone en 2008 et n’ont jamais regardé en arrière. Elles et ils ont joué quelques parties de paddle, puis ont rejoint un club et ont acheté l’équipement. Elles et ils ont pris un nouveau magazine en kiosque à journaux, puis se sont abonnés, et elles ou ils ont acheté le nouveau best-seller et ont ensuite lu les autres œuvres de l’auteur.

Le dilettante se présente souvent dans les premiers mais passe ensuite à autre chose.

Le primo adoptant et le dilettante essaient tous deux la nouvelle technologie, mais un seul reste dans les parages, apprenant les parties difficiles.

Le dilettante recherche de nouvelles expériences, mais le primo adoptant adopte.

La culture a besoin des deux.

Les spécialistes du marketing doivent être conscients des différents personas et planifier en conséquence.

Si vous insistez pour que les gens essaient votre produit mais que vous ne créez pas les conditions d’abonnement et de persévérance, ne soyez pas surpris si seuls les dilettantes se présentent. Cela peut suffire, mais vous devez choisir le public que vous recherchez.

Prenez de bonnes notes et minutes de réunions car ce sont elles qui font l’histoire !

Les faits ne prennent toute leur signification que lorsqu’ils sont bien articulés dans une histoire.

Prendre note des faits est important car les faits sont importants. Cependant les faits seuls ne permettent pas d’apprendre. Ce sont les histoires qui permettent de comprendre, de mémoriser et donc d’apprendre.

Une histoire peut changer notre compréhension des faits et du monde.

Les meilleurs professeurs que j’ai eu la chance d’avoir étaient des conteurs, ils et elles racontaient une histoire qui me parlait. Elle me permettait de mémoriser les faits en comprenant leur signification et leur logique.

Aussi, vos notes et minutes de réunions de projet ne doivent pas être une liste de faits et de « bullet points » (liste à puces).

Votre compte rendu est un outil pour raconter une histoire et permettre aux participants comme aux autres lecteurs de s’approprier les faits, leur cohérence et leur évolution. Elles permettent de comprendre les risques rencontrés et les décisions prises, avec la logique qui a amené à ces décisions et les rôles des protagonistes dans cette histoire (sponsor, participants, acteurs, bénéficiaires).

Lorsque vous relisez vos notes, elles doivent vous rappeler une histoire que vous comprenez déjà et que vous transmettez à d’autres à travers votre compte rendu.

Et voici d’autres idée pour vous améliorer dans ce domaine critique pour tous les managers de projets.

Si « non » n’est pas une option…

If “no” is not an option… par Seth Godin

https://seths.blog/2023/08/if-no-is-not-an-option/

Alors, « oui » ne l’est pas non plus.

L’engagement nécessite un choix.

Comment pouvez-vous mieux répondre aux craintes de certaines parties prenantes de votre projet ?

Comment gérer les parties prenantes craintives.

How to Handle Fearful Stakeholders par Bonnie Biafore

https://www.bonniebiafore.com/how-to-handle-fearful-stakeholders/

Les parties prenantes qui craignent de mauvais résultats du projet sont difficiles à gérer. Il est important de répondre à leurs craintes. Si ceci n’est pas bien managé, votre projet pourrait être retardé, voire annulé.

Voici quelques approches pour gérer les craintes liées à vos projets.

Écoutez les parties prenantes craintives.

Leurs expériences passées ont peut-être entaché leurs perceptions. Vous devez comprendre leurs préoccupations.

Écoutez activement ces personnes :

  • Établissez un contact visuel, posez des questions.
  • Paraphrasez leurs points.
  • Utilisez la terminologie qu’elles utilisent.

Les parties prenantes se sentiront entendues lorsque vous évoquerez les implications business qui sont à la source de leurs craintes. Lorsque les parties prenantes estiment que leurs préoccupations ont été entendues et prises au sérieux (c’est-à-dire que l’équipe de projet s’engage à répondre à leurs préoccupations), leur niveau de confort à l’égard du projet augmente.

Partagez vos plans.

Votre plan de projet explique comment vous allez accomplir les choses et ce que vous faites pour vous assurer que les obstacles ne vous empêchent pas d’atteindre les objectifs du projet. Les parties prenantes s’inquiètent lorsqu’il y a un manque de communication, des changements inexpliqués ou une prise de décision interminable.

N’hésitez donc pas à communiquer sur la façon dont votre plan de projet aidera à éviter les obstacles à la réussite de votre projet.

Ajoutez à votre plan des éléments de risque qui répondent directement aux craintes des parties prenantes.

Ajoutez à votre plan de management des risques des éléments liés aux craintes de vos parties prenantes. Demandez-leur de vous aider à rechercher les événements déclencheurs et à mettre en œuvre des plans de réponses aux risques. De cette façon, l’équipe projet s’associera à ces parties prenantes pour s’assurer que leurs craintes ne se concrétisent pas. Même si les risques se produisent, ils seront traités directement avec des actions prédéterminées que les parties prenantes craintives ont déjà acceptées.

Abordez les sujets de préoccupation dans les rapports d’avancement.

Dans vos rapports d’étape, abordez l’état des préoccupations des parties prenantes. Cela renforce le fait que les parties prenantes ont été entendues et que l’équipe se concentre sur leurs préoccupations au fur et à mesure que le projet progresse.

Mettez en évidence les bénéfices rapides.

Identifier et communiquer les jalons terminés au fur et à mesure que le projet se déroule. La célébration de ces victoires aide les parties prenantes à visualiser les progrès et renforce la confiance dans le succès final du projet.Soutenez TOUJOURS vos points de vue avec des données.

Essayer de rassurer les parties prenantes craintives avec des exemples d’expériences passées ne fonctionne pas. Elles ne se connectent pas à des projets auxquels elles n’ont pas participé.  Les informations objectives sont plus rassurantes que les opinions subjectives.

Étayez vos affirmations et vos décisions à l’aide de données, de métriques et de preuves tirées des meilleures pratiques de l’industrie et de l’avancement réel du projet en cours. Les parties prenantes sont plus susceptibles de se sentir rassurées.

Avez-vous quelqu’un qui a une inquiétude au sujet de votre projet ? Bien sûr que c’est le cas !

Prenez 15 minutes pour planifier la façon dont vous utiliserez ces approches pour répondre à ses préoccupations. Et puis, exécutez ce plan ! Faites-nous savoir comment cela se passe dans la section commentaires de ce billet.

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Pourquoi est-il important d’avoir une attitude positive ?

Voici quelques raisons majeures pour lesquelles il est important de maintenir une attitude positive pour une vie productive et heureuse, tant la vôtre que celles de vos relations.

Why Having a Positive Attitude Matters by Steve Keating

https://stevekeating.me/2024/05/23/why-having-a-positive-attitude-matters/

J’ai écrit sur la façon de maintenir une attitude positive à plusieurs reprises. J’ai admis mes propres lacunes dans ce domaine très important de la vie. J’ai parlé de votre attitude comme étant votre choix et à quel point cela peut parfois être un choix difficile… D’accord, la plupart du temps.

Mais je ne pense pas avoir jamais exposé spécifiquement les bénéfices réels du maintien d’une attitude positive. Ces avantages sont réels et ont un impact sur la plupart des domaines de votre vie. Avoir une attitude positive est crucial pour plusieurs raisons. Ces raisons englobent à la fois les aspects personnels et interpersonnels de la vie.

Voici quelques raisons majeures pour lesquelles il est important de maintenir une attitude positive pour une vie productive et heureuse.

1. Santé mentale et physique

  • Réduction de votre stress : Une attitude positive vous aide à gérer efficacement le stress. Les personnes qui gardent une attitude positive sont mieux équipées pour gérer les situations stressantes. Cela réduit l’impact global du stress sur votre santé mentale et physique.
  • Renforcement de votre système immunitaire : Les émotions positives sont liées à une amélioration de la fonction immunitaire, ce qui permet à votre corps de repousser plus facilement les maladies.
  • Votre longévité : Des études ont montré que les personnes ayant une attitude positive ont tendance à vivre plus longtemps et à mener une vie plus saine.

2. Résilience et adaptation

  • Votre adaptabilité : Une attitude positive favorise votre résilience. Cela vous permet de vous adapter aux changements et de rebondir plus efficacement après les revers.
  • Vos capacités de résolution de problèmes : Les personnes optimistes sont plus susceptibles d’aborder les problèmes en mettant l’accent sur les solutions. Cela augmente vos chances de trouver des solutions efficaces.

3. Relations et interactions sociales

  • Amélioration de vos relations : Votre positivité attire les autres et favorise des relations plus saines et plus solidaires. Les gens sont généralement plus enclins à vous côtoyer car vous émettez une énergie positive.
  • Résolution des conflits : Votre attitude positive peut désamorcer les tensions et conduire à des résultats plus constructifs dans les conflits.
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4. Performance et succès

  • Votre productivité augmente : Votre attitude positive peut augmenter votre motivation et vos niveaux d’énergie, ce qui entraîne une productivité plus élevée et de meilleures performances dans les contextes personnels et professionnels.
  • Vous réalisez vos objectifs : Les personnes optimistes ont tendance à se fixer des objectifs plus élevés et à persévérer face aux défis, ce qui augmente vos chances de réussir.

5. Satisfaction globale à l’égard de la vie

  • Votre bonheur : Votre positivité est fortement liée à des niveaux plus élevés de bonheur et de satisfaction dans votre vie. Les personnes ayant une attitude positive sont plus susceptibles de trouver de la joie dans les activités quotidiennes et d’apprécier les bons aspects de la vie.
  • Votre sens du but : Votre attitude positive vous aide à trouver du sens et un but, contribuant ainsi à une vie plus épanouissante.

6. Influence sur les autres

  • Vous avez un impact inspirant : Votre positivité peut inspirer les autres. Cela les élève, créant un effet d’entraînement. Cet effet améliore l’humeur et les perspectives de ceux qui vous entourent.
  • Votre Leadership : Les leaders positifs peuvent motiver les équipes. Vous les encouragez également, favorisant un environnement collaboratif et innovant.

Votre attitude positive contribue de manière significative à l’amélioration de la santé mentale et physique, de la résilience et de l’amélioration des relations. Elle augmente la productivité et la satisfaction globale de la vie.

Cela profite non seulement à vous-même, mais influence également positivement les personnes qui vous entourent.

Soyez une lumière pour les autres, partagez votre positivité et ne laissez jamais la négativité autour de vous voler la joie de votre vie.

 

DantotsuPM – Meilleur billet de 2013 : « 9 qualités des personnes qui ont vraiment confiance en elles-mêmes »

La confiance est calme : C’est une expression naturelle de capacité, d’expertise et de respect de soi.

Billet Original d’après le post LinkedIn de Dharmesh Schah

Les personnes vraiment confiantes partagent toutes un certain nombre de qualités.

  1. Elles adoptent une attitude non pas parce qu’elles pensent qu’elles ont … toujours raison, mais parce qu’elles n’ont pas peur de faire d’erreurs.
  2. Elles écoutent dix fois plus qu’elles ne parlent.
  3. Elles évitent la lumière des projecteurs pour qu’elle brille sur d’autres.
  4. Elles n’hésitent pas à demander de l’aide.
  5. Elles pensent, « Pourquoi pas moi ? »
  6. Elles ne dénigrent pas d’autres personnes.
  7. Elles n’ont pas peur de paraître idiotes …
  8. … et elles acceptent leurs erreurs.
  9. Elles cherchent uniquement l’approbation des personnes qui comptent vraiment.

Le nombre de personnes qui vous suivent est moins important que de gagner la confiance et le respect de peu de personnes qui comptent vraiment dans votre vie.

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L’art de la diplomatie

La diplomatie est l’art de dire aux gens d’aller en enfer de telle manière qu’ils demandent leur chemin. – Winston Churchill.

The art of Diplomacy par Steve Keating

https://stevekeating.me/2024/03/28/the-art-of-diplomacy/

La vie comportera toujours une certaine dose de conflits. De nombreuses personnes, y compris des personnes occupant des postes de leader, se donneront beaucoup de mal pour éviter de s’engager dans un conflit. Tout ce qu’elles peuvent faire, sauf s’engager dans la diplomatie.

La diplomatie permet de résoudre un conflit en travaillant avec les gens pour trouver une issue acceptable pour toutes les parties.

Vous ne pensez peut-être pas que vous êtes assez diplomate pour trouver un terrain d’entente avec des personnes d’opinions différentes. Mais il est tout à fait possible que vous le soyez. La diplomatie est une compétence et, comme je l’ai écrit à plusieurs reprises, les compétences peuvent être développées par le travail.

Être diplomate implique de bien gérer la communication et les relations. Il s’agit de naviguer dans des situations délicates ou litigieuses avec tact, empathie et considération pour les points de vue des autres. Si vous souhaitez améliorer vos compétences en diplomatie, voici quelques conseils sur la façon d’y parvenir.

Écoutez attentivement. Comprenez les préoccupations, les points de vue et les sentiments des autres. Faites-le en écoutant activement sans interrompre. Faites preuve d’empathie et validez leurs ressentis. Plus important encore, écoutez avec un esprit ouvert.

Choisissez les mots avec soin. Utilisez un langage neutre, respectueux et non conflictuel. Évitez les propos incendiaires ou accusateurs qui pourraient aggraver les tensions. Il est tout à fait acceptable d’avoir quelques moments de silence dans une conversation pendant que vous réfléchissez à ce que vous êtes sur le point de dire. N’oubliez jamais, une fois que c’est dit, cela ne peut pas être non-dit. Je préfère que les gens pensent que je suis une personne lente à penser et parler lentement plutôt que de dire quelque chose que je ne peux pas retirer.

Concentrez-vous sur un terrain d’entente. Trouvez des domaines d’accord ou des objectifs communs. Ils établiront un rapport et une base positive pour la discussion. Même le plus petit point d’accord peut être un élément de base pour une résolution future.

Reconnaissez les différences. Reconnaissez respectueusement les points de vue divergents sans les rejeter ou les rabaisser. Validez les points de vue des autres même si vous n’êtes pas d’accord. N’oubliez pas que si vous étiez eux, avec une éducation et des antécédents identiques, vous penseriez probablement exactement comme eux. Ce n’est pas qu’ils ont nécessairement tort, c’est juste qu’ils pensent différemment, en fonction de leur éducation différente de la vôtre.

Restez calme et posé. Maintenez un comportement calme, même dans des situations difficiles. Évitez de réagir de manière impulsive ou émotionnelle, car cela peut aggraver les conflits. Pensez-y de cette façon, si vous perdez le contrôle de vos émotions, vous avez perdu.

Cherchez la compréhension. Posez des questions de clarification pour comprendre les préoccupations et les motivations des autres. Cela démontre votre volonté d’écouter et de collaborer.

Évitez les reproches et les critiques. Au lieu de blâmer ou de critiquer les autres, concentrez-vous sur la résolution des problèmes et la recherche de solutions.

Offrez des solutions. Proposer des compromis qui répondent aux préoccupations de chacun. Soyez ouvert à la négociation et flexible pour trouver des résultats mutuellement bénéfiques.

Tenez compte du moment et du contexte. Soyez conscient du moment et du lieu des discussions. Choisissez les paramètres et le moment appropriés pour avoir des conversations sensibles. Si quelqu’un n’a pas le temps de parler, il est préférable de ne pas essayer de le faire parler.

Maintenez la confidentialité. Respectez la confidentialité lors de la discussion de sujets sensibles. Évitez de partager des informations privées sans autorisation. Comme on dit, deux personnes peuvent garder un secret si l’une d’elles est morte. Ainsi, lorsqu’on vous dit quelque chose en toute confidentialité, gardez-le confidentiel.

Établissez la confiance. Montrez vérité, honneur et fiabilité dans vos actions. Cela renforcera la confiance au fil du temps.

Après avoir conclu des accords, faites un suivi. Vérifiez que les engagements sont respectés et que tous les problèmes sont résolus.

En pratiquant ces stratégies diplomatiques, vous pouvez utiliser la diplomatie pour résoudre les problèmes sans déclencher une guerre. Vous pouvez bien gérer les situations difficiles. Vous pouvez également établir de meilleures relations. Cela créera un environnement plus positif et plus productif.

Cela vous rendra plus heureux et, selon toute vraisemblance, cela rendra « les autres » plus heureux aussi.

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Les habitudes ne sont pas des besoins !

Habitudes, désirs, besoins, addictions… comment ne pas les confondre est crucial. D’autant plus si votre job est business analyste ou manager de projet.

Habits are not needs par Seth Godin

https://seths.blog/2022/11/habits-are-not-needs/

Les habitudes ne sont pas des besoins.

Il est facile d’imaginer qu’elles le sont, car cela vous permet de vous tirer d’affaire lorsque les habitudes deviennent négatives, voire des addictions.

Si quelqu’un d’autre s’épanouit sans avoir l’habitude dont vous semblez avoir besoin, alors votre habitude est probablement un simple désir qui prétend être un besoin.

Par exemple : Vous pouvez être un professionnel qui réussit sans passer votre temps sur les réseaux sociaux.

Pour réussir votre projet, trouvez la meilleure harmonie possible avec votre sponsor !

L’harmonie entre le ou la manager de projet et le commanditaire du projet accroît votre capacité à atteindre les objectifs du projet. Parce que chaque relation est unique, vous devez la construire avec intention.

Attaining Harmony with Your Sponsor par Bonnie Biafore

https://www.bonniebiafore.com/attaining-harmony-with-your-sponsor/

Voici les éléments essentiels à comprendre pour augmenter votre harmonie avec votre sponsor.

Le point de vue de votre sponsor sur ses propres points forts et domaines d’amélioration.

identifiez les forces
Identifiez les forces comme les faiblesses de votre sponsor de projet.

Tout le monde a des forces et des points à améliorer. Déterminez où votre sponsor se considère comme un contributeur solide et où il pense qu’il pourrait s’améliorer. De cette façon, vous pouvez optimiser les contributions que vous faites. Donnez la priorité aux résultats dont le sponsor a le plus besoin, que vous pouvez produire compte tenu de vos points forts, et que le sponsor pourrait avoir du mal à produire. Cette collaboration inspire confiance et augmente la productivité. Lorsque vous vous soutenez mutuellement, vos interactions deviennent plus faciles et prévisibles, ce qui profite à tous les projets sur lesquels vous travaillez ensemble.

Comment votre sponsor traite l’information.

Certaines personnes aiment avoir une vue d’ensemble, tandis que d’autres préfèrent plonger dans les détails. Un/une sponsor peut se concentrer sur l’état de la tâche ou se concentrer plutôt sur l’état du budget.

Pensez au plan de communication : Quelles informations, quel format de présentation, quelle méthode de communication et quelle fréquence.

Communiquez les informations qui intéressent le plus votre sponsor de manière à ce qu’elles soient plus faciles à comprendre. Lorsque d’autres renseignements sont importants, signalez-les-lui.

Utilisez la méthode et la fréquence de livraison préférées du sponsor, par exemple en personne tous les vendredis, par courriel au besoin. Faites de la communication avec les sponsors une priorité absolue.

Lorsque vous suivez les préférences de communication de votre sponsor, vous augmenterez votre efficacité et la confiance de votre sponsor.

La triple contrainte de votre sponsor.

La triple Contrainte
La triple contrainte.

Managez votre projet en fonction de la priorité de votre sponsor en matière de coût, de portée et de temps. De cette façon, vous savez quels compromis votre sponsor serait prêt à faire.

Par exemple, si les délais sont le plus important, suivi de la portée/contenu, puis du coût, vous pouvez deviner que le sponsor choisira de dépenser plus et de réduire un peu la portée afin de respecter le calendrier.

Cette priorité vous guide également dans la gestion des réponses aux risques et les rapports sur les écarts. Grâce à cette compréhension, vous pouvez recommander ou mettre en œuvre des ajustements de manière proactive au fur et à mesure de l’avancement du projet.

Vous et votre sponsor serez sur la même longueur d’onde, même lorsque les choses ne sont pas sur la bonne voie.

L’approche décisionnelle de votre sponsor.

Certains managers préfèrent disposer de faits afin de pouvoir les analyser pour déterminer un plan d’action. D’autres veulent que vous fassiez l’analyse et que vous présentiez les options avec les avantages et les inconvénients afin qu’ils ou elles puissent choisir.

Votre sponsor prendra des décisions plus rapidement lorsque vous lui donnerez l’information qu’il ou elle souhaite.

Suivre leur approche décisionnelle peut également rationaliser la façon dont vous managez le changement dans vos projets.

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Avez-vous découvert d’autres choses qui peuvent vous aider à établir une meilleure relation avec un/une sponsor de projet ?

Ou avez-vous des questions sur la façon de mettre en œuvre ceux de cet article ?

Si c’est le cas, partagez-les avec des commentaires.

Cet article fait partie de la série Bonnie’s Project Pointers newsletter

L’obligation d’honnêteté sceptique.

Les objections sont utiles !

https://seths.blog/2022/10/the-obligation-of-the-honest-skeptic/ par Seth Godin

Les objections sont utiles.

Vous vous opposez en retenant votre action ou votre soutien parce que vous remettez en question une ou plusieurs données.

Mais la contrepartie de cela est l’obligation : Si les données finissent par répondre à la norme de preuve que vous leur avez fixée, vous devez changer d’avis et dépenser autant d’énergie à soutenir l’idée que vous en aviez mis à vous y opposer.

Comment pouvez-vous personnellement faire la différence ?

Tout comme Steve Keating, je ne pense pas pouvoir changer le monde, mais je sais que je peux aider à (un tout petit peu) changer le monde de certaines personnes qui lisent mes billets.

How to Make a Difference par Steve Keating

https://stevekeating.me/2023/11/20/how-to-make-a-difference/

Le président John Kennedy a déclaré :

Tout le monde peut faire la différence et tout le monde devrait essayer.

C’est une affirmation très juste, nous pouvons tous faire une différence, nous avons seulement besoin de décider quel genre de différences nous voulons faire.

Je ne pense pas pouvoir changer le monde, mais je sais que je peux aider à changer le monde pour les personnes que j’aide. J’essaie donc de faire une différence en aidant les autres à être la meilleure version d’eux-mêmes.

Faire une différence peut prendre de nombreuses formes, et l’impact qu’une personne peut avoir varie en fonction du contexte et de l’ampleur de ses actions.

Plus vous êtes haut placé dans votre organisation, plus il peut être facile de faire une différence. Si vous occupez un poste de direction au sein d’une organisation ou d’un gouvernement, vous trouverez peut-être plus d’opportunités de faire une différence. Mais ne vous y trompez pas : peu importe où vous en êtes dans la vie, peu importe votre place dans une hiérarchie organisationnelle, peu importe votre niveau d’éducation ou votre situation financière, VOUS pouvez faire une différence dans la vie des autres. Vous n’avez qu’à vous en soucier suffisamment pour le faire.

Donc, si vous cherchez à faire une différence aujourd’hui et à l’avenir, voici quelques étapes et principes généraux que vous pouvez suivre pour avoir une différence positive.

  • L’ikigai permet de matérialiser cette cohérence profonde.

    Définissez vos valeurs et votre passion : Comprenez ce qui compte pour vous et quels sont les enjeux qui vous passionnent. Cela peut être lié à la justice sociale, aux questions environnementales, à l’éducation, aux soins de santé ou à toute autre cause.

  • Formez-vous : Renseignez-vous sur les questions qui vous tiennent à cœur. Restez informé grâce à des sources fiables, à des recherches et à des conversations avec des experts. Comprendre les causes profondes et les complexités d’un problème est crucial pour une action efficace.
  • Commencez localement : Pour faire la différence, il n’est pas toujours nécessaire de faire de grands gestes. Cherchez des opportunités dans votre communauté locale. Faites du bénévolat auprès d’organismes locaux, participez à des événements communautaires ou soutenez des initiatives locales.
  • Utilisez vos compétences et vos talents : Identifiez vos compétences et vos talents et trouvez des moyens de les appliquer aux causes qui vous tiennent à cœur. Que vous soyez doué pour l’organisation d’événements, l’écriture, le développement informatique ou toute autre compétence, il existe probablement un moyen de l’utiliser pour un changement positif.
  • Connectez-vous avec des personnes partageant les mêmes idées : Rejoignez ou créez des communautés qui partagent vos valeurs. L’action collective a souvent plus d’impact que les efforts individuels. Travailler avec d’autres vous permet de mettre en commun des ressources, de partager des idées et d’amplifier votre impact.
  • Plaidez pour le changement : Exprimez-vous sur les questions qui vous tiennent à cœur. Plaidez en faveur du changement à différents niveaux, que ce soit sur votre lieu de travail, dans votre communauté ou à plus grande échelle. Utilisez les médias sociaux, écrivez des articles ou engagez-vous dans un militantisme pacifique pour sensibiliser le public.
  • Soutenez les initiatives existantes : Il existe probablement des organisations et des initiatives qui s’attaquent déjà aux questions qui vous tiennent à cœur. Soutenez-les par des dons, du bénévolat ou en faisant passer le mot. Cela peut être un moyen efficace de contribuer sans avoir à recommencer quelque chose à partir de zéro.
  • Donnez l’exemple : Démontrez les valeurs et les comportements que vous voulez voir dans le monde. Qu’il s’agisse de pratiquer la durabilité, la gentillesse ou l’inclusion, donner l’exemple peut inspirer les autres à faire de même.
  • Ceci est vrai pour toutes les difficultés.

    Soyez adaptable et persévérant : Le vrai changement prend souvent du temps. Soyez patient et persévérant dans vos efforts. Adaptez vos stratégies au besoin et apprenez de vos réussites et de vos échecs.

  • Formez les autres : Partagez vos connaissances et votre passion avec les autres. Aidez à sensibiliser et à inspirer plus de gens à s’impliquer. L’éducation est un outil puissant pour créer le changement.
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La clé est de prendre des mesures significatives et durables alignées sur vos valeurs.

Faire une différence est souvent un processus graduel. Mais chaque petit effort contribue à un changement positif au fil du temps. Les progrès ne se font pas souvent à pas de géant. Ils proviennent souvent de petites réalisations sur une période prolongée. Mais tout progrès est un progrès et un petit progrès ici et un petit progrès là, peuvent mener à une très grande différence au fil du temps.

Scepticisme ou déni ? Les 2 se ressemblent et sont pourtant très différents.

Le scepticisme est une vertu. Le déni est facile et improductif.

Skepticism and Denial par Seth Godin

https://seths.blog/2022/06/skepticism-and-denial/

Le scepticisme est une vertu. Il faut être prêt à remettre en question la sagesse conventionnelle et avoir le courage d’accepter quelque chose après avoir découvert que c’est vrai.

Le déni, en revanche, est un rejet volontaire de la réalité. C’est sûr, facile et improductif. Parce qu’il n’y a pas de place pour changer d’avis.

Pour être un sceptique généreux, vous devez indiquer à l’avance précisément ce qu’il faudrait pour que vous vous engagiez dans l’idée proposée, puis le faire une fois que vos normes sont remplies.

C’est un travail difficile. Il n’est pas facile de changer d’avis. C’est difficile mais ça vaut le coup. Les grands changements de perception sont rares et ce n’est pas quelque chose que vous attendez avec impatience.

Les sceptiques sont la clé de la méthode scientifique, de la conception organisationnelle et même de l’investissement. Vous vous engagez à douter, à remettre en question et à pousser, puis vous devenez un contributeur productif en adoptant les nouveaux outils et résultats.

Souvent, les gens dans le déni font semblant d’être des sceptiques. Cela semble mieux que de reconnaître que vous évitez simplement le changement.