Tout semble urgent pour une personne sans priorités clairement définies.
Vous ne maîtriserez votre vie que lorsque vous maîtriserez la gestion de votre temps.
Or, si tout est prioritaire, vous ne savez où donner de la tête.
Une priorité est ce qui exprime le mieux la mission, la vision et les valeurs d’aujourd’hui.
Managez votre temps
Une question très simple est au cœur de la gestion du temps : Quelle est votre priorité aujourd’hui ?
Soyez précis :
Quelle est la seule chose que vous devez achever aujourd’hui ?
Sur quoi allez-vous concentrer votre plus productive période de temps et votre énergie aujourd’hui ?
A quoi avez-vous su dire non parce que ce n’était pas votre priorité ?
Quand cette journée sera terminée, que serez-vous fier d’avoir fait ?
Corolaire : Si vous avez 10 à 15 priorités, vous n’avez pas de priorité.
Si vous managez une équipe ou un projet, sachez ce qui est important.
Lors des réunions d’équipe hebdomadaires, dès que la revue de la performance de la semaine passée est accomplie, focalisez les personnes sur les priorités de cette semaine :
« Quelles sont nos priorités cette semaine ? ».
Vérifiez par le questionnement que les priorités sont bien comprises et donnez l’opportunité de les clarifier et de les discuter en équipe.
Et lors des réunions en tête-à-tête avec les membres de votre équipe, demandez :
« Quelles sont tes priorités ? »
Écoutez puis suivez l’avancement sur ces priorités déclarées en cours de semaine :
« Où en es-tu de tes priorités cette semaine ? »
Soyez courageux.
Il vous faut du courage pour dire que tout n’est pas une priorité pour aujourd’hui. Vous savez que tout doit être fait mais vous savez aussi que si vous n’identifiez pas les priorités pour aujourd’hui et pour cette semaine, rien ne sera fait.
Les priorités positionnent les tâches dans l’ordre optimal.
Ayez le courage de dire que la plupart des choses importantes de votre liste ne sont pas une priorité pour aujourd’hui.
Corolaire : Tout ce qui est sur votre liste de choses prioritaires à faire et qui y figure depuis plus d’un mois doit être effacé !
Comment cette réserve de budget pour les imprévus est-elle répartie au fil du temps et remise à l’organisme de financement si elle n’est pas utilisée ?
La plupart des managers de projet incluront des réserves pour imprévus (aussi appelées fonds de contingence) dans leur budget pour compenser les répercussions financières négatives de risques qui se matérialiseraient. La détermination du montant à mettre de côté pour un jour de mauvais temps sur le projet pourrait être effectuée à partir d’une méthode descendante, telle que l’utilisation d’un pourcentage fixe dérivé de projets antérieurs (p. ex., les projets de faible complexité auront une réserve pour imprévus de 10 %, tandis que les projets plus complexes auront 25 %) ou une approche ascendante fondée sur l’évaluation et l’agrégation de la valeur monétaire attendue des impacts financiers des principaux risques.
Mais comment cette réserve est-elle répartie au fil du temps et remise à l’organisme de financement si elle n’est pas utilisée ?
Il y a quatre approches courantes que j’ai rencontrées :
Allocation sous la forme d’un montant forfaitaire unique (c.-à-d. non séquencé dans le temps) et détenu pendant toute la durée du projet. En d’autres termes, les réserves pour imprévus ne sont pas libérées tant que le projet n’est pas terminé.
Allocation à des jalons ou à des phases de projet spécifiques et conservé pendant toute la durée du projet.
Allocation sous la forme d’une somme forfaitaire unique, mais retournée à un rythme progressif en fonction de la matérialisation réelle des risques pendant la durée de vie du projet.
Allocation à des jalons ou à des phases de projet spécifiques, les montants inutilisés étant retournés au fur et à mesure que chaque jalon est atteint ou que chaque phase est terminée.
#1 et #4 sont les deux dont j’ai été le plus souvent témoin, mais comme d’habitude, je voulais comparer mon expérience avec celle de la communauté de management de projet au sens large.
J’ai reçu 56 réponses avec la répartition suivante :
45% ont voté pour le montant forfaitaire unique sans retour jusqu’à la fin du projet
7% ont voté pour les sommes séquencées dans le temps sans retour jusqu’à la fin du projet
13% ont voté pour le montant forfaitaire unique avec rendement progressif
35 % ont voté pour les sommes séquencées dans le temps avec des rendements basés sur l’étape ou l’achèvement de la phase
Cela correspond à mon expérience, mais j’ai été agréablement surpris de voir que la quatrième option a reçu plus d’un tiers des votes, car elle indique un niveau de maturité plus élevé que ce à quoi je m’attendais. Bien sûr, cela pourrait aussi être le résultat d’un biais dans l’échantillon de sondage en faveur de praticiens plus compétents.
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J’ai reçu deux commentaires particulièrement perspicaces dans ce sondage.
Le premier est que cela dépend des conséquences pour les dépassements et les sous-consommations. Plus la pénalité est importante, plus il est probable que les réserves pour imprévus seront conservées et entièrement utilisées pendant la durée de vie d’un projet.
L’autre commentaire indiquait que, comme les réserves sont liées aux risques, certains risques peuvent ne pas avoir un seul délai de réalisation prévu et qu’il pourrait donc devenir difficile d’affecter uniquement les montants des réserves pour éventualités au niveau des jalons ou des phases et que la majeure partie pourrait être liée à l’achèvement final du projet.
Bien qu’il soit beaucoup plus facile de calculer un montant forfaitaire unique pour les réserves pour imprévus, cela ne permet pas aux autorités financières de prévoir quand ces réserves pourraient être utilisées et à quel rythme. Et bien que les managers de projet peu enclins à prendre des risques puissent être réticents à rendre des réserves jusqu’à ce que le projet soit terminé, ils doivent comprendre que conserver ces fonds plus longtemps que nécessaire représentera un coût d’opportunité important pour l’organisation.
L’une des règles de Jerry Madden parmi les 100 règles de la NASA pour les chefs de projet (voir ci-dessous) se lit comme suit :
Tous les problèmes peuvent être résolus à temps, alors assurez-vous d’avoir suffisamment de contingence de calendrier. Si vous ne le faites pas, le prochain chef de projet qui prendra votre place le fera.
Alors que dans certains cas, vous aurez un projet qui ne peut absolument pas se terminer avec un jour de retard (pensez à Bruce Willis et Ben Affleck essayant d’empêcher cet astéroïde tueur de planètes de frapper la Terre dans le film Armageddon), les retards de calendrier signifieront rarement la fin du monde. Cependant, dépassez significativement le budget et vous souhaiterez que l’astéroïde soit sur le point de frapper la planète pour vous sauver de la veste que vont vous tailler vos autorités de financement !
Les 100 règles pour les managers de projets de la NASA (Billets précédemment publiés sur ce blog)
Le processus d’estimation de projet est le fléau de l’existence nombreux managers de projet. Mais c’est aussi et surtout l’opportunité d’avoir des conversations vraiment importantes sur le projet.
Le processus d’estimation de projet est le fléau de l’existence de nombreux managers de projet. Ce n’est pas seulement qu’il est sous haute pression, bousculé et souvent fait sur un coin de votre bureau. C’est aussi que vos efforts sont généralement ramenés à un compromis qui n’est presque jamais précis ou idéal.
Mais une chose que j’aime dans le processus d’estimation, c’est l’opportunité qu’il crée pour que des conversations vraiment importantes fassent surface.
Tout au long de ces conversations, vous imaginez le meilleur et craignez le pire. Vous faites des plans dont vous savez qu’ils changeront et résistez à prendre des engagements autour de choses que vous ne pouvez pas encore clairement voir. Vous examinez les projets passés et votre vision de l’avenir de l’entreprise.
En fait, je crois que chaque conversation sur l’estimation est une opportunité de parler de processus, de qualité, de vision et de valeurs.
Si vous avez trouvé que le processus de collecte et de revue des estimations est un peu épuisant et chronophage, essayez ces conseils pour rendre le processus plus gratifiant, moins mécanique et peut-être même un peu amusant.
#1 – Passez moins de temps à estimer seul et plus de temps à discuter des estimations
L’estimation des coûts signifie un certain temps passé tête baissée sur votre clavier, mais il ne sert à rien de créer une estimation parfaite si elle ne s’intègre pas au reste du contexte.
Enseignez à votre équipe de projet à poser des jalons qu’ils peuvent ensuite affiner par la discussion. Cela aidera tout le monde à avoir une vue d’ensemble et à mieux comprendre les métiers respectifs des membres de leur équipe.
#2 – Faites-en un processus créatif et ne mettez pas un pistolet sur la tempe de qui que ce soit
Manager l’ambiguïté est la pierre d’achoppement la plus courante pour les personnes à qui l’on demande de créer une estimation des coûts du projet. La deuxième pierre d’achoppement la plus courante est la peur de produire une estimation inexacte. Utilisez votre rôle de PM pour maintenir la conversation quelque part entre l’essentiel et l’idéal en documentant les hypothèses, en réitérant les contraintes et en posant des questions difficiles.
#3 – Éduquez vos clients et sponsors
Que ce soit à travers des faits concrets ou des métaphores comme la construction d’une maison ou la préparation d’un café, assurez-vous de ne pas survendre ce qu’est une estimation de projet.
Établissez des attentes selon lesquelles elle devra être affinée lorsqu’on en saura plus, qu’elle est sujet à changement et que le budget du projet devra être géré ensemble de manière proactive.
#4 – Ne présumez pas que vos données historiques sont un raccourci viable
Les performances passées sont utiles à connaitre mais elles ne prédisent pas l’avenir.
Vous pouvez consulter toutes les feuilles de temps de 5 derniers projets similaires, mais cela ne vous sera utile que si vous prévoyez d’utiliser exactement le même processus qu’un projet précédent et que vous avez également une compréhension claire des variables qui réduiront ou incrémenteront l’effort. Vous pouvez certainement augmenter la précision et réduire le temps passé à estimer, mais pas sans faire le travail de terrain à l’avance !
Ce dernier point est probablement le plus important parce que beaucoup d’entre vous pourraient se demander:
Quel est l’intérêt de rendre le processus d’estimation gratifiant si nos estimations sont toujours fausses ?
Eh bien, je dirais que les conversations autour de l’estimation mènent à des conversations sur les processus, qui mènent à des conversations sur les données.
Et cela conduit à une base de travail pour des estimations plus cohérentes et précises.
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Chaque fois que vous avez une réunion en face à face, ou même une réunion sur Zoom, votre langage corporel est crucial. Votre apparence lorsque vous dites quelque chose est souvent aussi importante que ce que vous dites et la façon dont vous le dites.
Tout comme vous choisissez vos mots avec soin, il est important de vous assurer que votre langage corporel n’envoie pas de messages involontaires. Si rien n’est fait, un mauvais langage corporel peut faire dérailler des communicants très forts. Voici sept des problèmes de langage corporel les plus gênants e j’observe chez des leaders.
#1 – Vous avez une posture non engagée.
Nous avons tous vu des gens qui s’affalent pendant les réunions, se dirigent d’un côté, parfois l’air à moitié endormis. Une posture non engagée envoie un message de faiblesse. Asseyez-vous dans une posture droite mais détendue, tenez-vous immobile et montrez que vous prêtez attention.
#2 – Vous manquez de contact visuel.
Beaucoup de gens ne parviennent pas à établir un contact visuel, les yeux dans le vague ou regardant leurs mains ou leurs notes. Ce comportement envoie un message méprisant. À moins que vous ne preniez activement des notes, maintenez un contact visuel avec la personne qui parle. Mais restez naturel, ne fixez pas.
#3 – Vous tambourinez des doigts.
C’est peut-être un tic nerveux ou une vieille habitude, mais tambouriner avec vos doigts sur la table est irritant. Cela vous donne l’air gamin et impatient. Même si vous êtes assis là à attendre impatiemment la fin de la réunion, ne le communiquez pas à la salle.
#4 – Vous avez l’air distrait.
Si vous avez l’air distrait, vous êtes distrait. Et si les gens n’ont pas toute votre attention, ils ne vous accorderont pas tout leur respect. Résistez à la tentation de vérifier votre téléphone, votre montre, vos ongles ou de regarder vers la sortie.
#5 – Vous croisez les bras.
Croiser les bras est une posture défensive qui met de la distance entre vous et ceux qui vous entourent. Cela communique un esprit fermé et un manque de confiance.
Gardez vos bras ouverts et si vous ne savez pas quoi faire de vos mains, posez-les sur vos genoux.
#6 – Vous gigotez.
Si vous vous êtes déjà assis avec quelqu’un qui bouge constamment ses mains, ses pieds ou ses jambes, vous savez à quel point cela peut être perturbant. Cela envoie un message d’anxiété. Si vous vous agitez lorsque vous êtes nerveux, travaillez avec un coach ou un conseiller pour trouver de meilleures stratégies pour gérer ce stress. Si la situation persiste, parlez-en à votre médecin car il peut y avoir un problème de santé sous-jacent.
#7 – Vous faites du multitâche.
Si vous vérifiez vos outils digitaux pendant une réunion, vous ne pouvez pas rester concentré. Le multitâche signifie simplement que rien ne retient toute votre attention. Et même sur Zoom, les gens le remarquent.
Le langage corporel envoie des messages forts avant même que vous ne disiez un mot. Assurez-vous d’envoyer le bon message avec vos paroles et vos actions.
Diriger de l’intérieur : Le langage corporel est un outil puissant. La plus haute forme de respect est d’envoyer le bon message avec votre présence sincère et entière.
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J’ajouterais, prêtez attention à l’aspect culturel de vos gestes qui peuvent avoir des significations totalement différentes d’une culture et d’un pays à l’autre.
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La septième édition du Guide PMBOK® définit une structure de répartition du travail (WBS) comme une « décomposition hiérarchique de la portée totale du travail à effectuer par l’équipe projet pour atteindre les objectifs du projet et créer les livrables requis ».
Bien que cette définition permette de bien comprendre ce qu’est une WBS, elle ne fournit pas de conseils sur la façon d’organiser la structure d’une WBS. Ceci est utile car cela donne aux équipes la flexibilité nécessaire pour déterminer quel est le moyen le plus approprié de le faire dans le contexte de leur projet.
Bien qu’il existe une variété infinie de projets, j’ai trouvé 3 approches utilisées par la plupart des équipes qui développent des WBS.
Axée sur les livrables – Chacun des composants de niveau supérieur de la WBS représente un livrable clé, et les niveaux suivants se concentrent sur la décomposition de ces livrables à un niveau de détail approprié.
Axée sur les phases – Chacune des composantes de niveau supérieur de la WBS représente une phase ou une étape du cycle de vie du projet, et les niveaux suivants se concentrent sur la décomposition des extrants de chacune de ces phases ou étapes.
Axée sur la responsabilité – Chacune des composantes de haut niveau de la WBS représente une partie prenante contribuant à l’exécution du projet, et les niveaux suivants se concentrent sur la décomposition des extrants produits par chacune de ces parties prenantes.
Une approche axée sur les livrables
Aide à concentrer l’équipe sur tout ce qui est nécessaire pour réaliser chaque livrable sans se soucier à ce stade de qui le fait ou quand cela serait fait. Cela peut bien fonctionner pour les projets où toute la portée d’un projet peut être décomposée dès le début, mais peut être difficile lorsqu’une approche par vagues (rolling waves) est adoptée, à moins qu’il n’y ait une identification claire des parties de planification qui doivent être élaborées à une date ultérieure.
Une approche axée sur les phases
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Fonctionne bien avec une approche par vagues, car l’équipe n’a qu’à se concentrer sur ce qui sera achevé dans la phase à venir.
Cependant, il existe un risque que l’équipe manque des éléments clés de la portée pour des livrables spécifiques, car elle ne se concentrera pas sur la décomposition d’un seul livrable à la fois.
Une approche axée sur la responsabilité
Fonctionne bien lorsqu’il y a plusieurs parties prenantes et qu’il est nécessaire d’avoir une séparation claire des responsabilités en matière de planification et d’exécution. Elle présente le même risque que l’approche axée sur les phases, mais en plus grave, car il est possible que des livrables sous-composants soient assumés par chaque partie prenante comme étant la responsabilité d’une autre partie prenante.
Sondage auprès des professionnelles et professionnels du management de projet
57 % utilisaient une ventilation axée sur les livrables
28 % une approche axée sur les phases
9 % une approche axée sur la responsabilité
Les 6 % restants ont indiqué qu’ils utilisaient une autre approche, mais lorsque j’ai examiné les commentaires que ces participants avaient soumis, il semble qu’ils utilisent simplement une combinaison de ces méthodes plutôt que quelque chose d’entièrement nouveau.
Bien que le WBS soit un outil couramment utilisé avec des projets suivant un cycle de vie prédictif, cela ne signifie pas que ceux qui suivent un cycle adaptatif ne peuvent pas en bénéficier. Si nous considérons une user story map*, il s’agit simplement d’une WBS limitée entre deux et quatre niveaux et élaborée de manière progressive. Avec une Story Map, la structure peut être orientée persona (rôle des utilisateurs) ou thème/capacité.
Quelle que soit la façon dont votre équipe choisit de décomposer la portée du travail sur ses projets, une WBS ou une variante de celle-ci doit être considérée comme un instrument précieux dans sa boîte à outils.
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* Une user story map est un outil puissant qui permet à une équipe agile de préparer son backlog de produit et de planifier plus efficacement les versions de produits. Une user story map capture le parcours d’un client avec le produit, y compris les activités et les tâches qu’il effectue avec le système.
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Les disciplines de management de projet telles que le management des risques apportent le contrôle à un projet. En plus des avantages bien connus de ces disciplines, elles offrent d’autres bénéfices qui ne sont pas souvent discutés ni reconnus.
Less Well-known Benefits of Risk Management par Bonnie Biafore
Voici quelques avantages supplémentaires qu’offre le management des risques.
Vous encouragez l’optimisme.
Penser à ce qui pourrait mal tourner augmenterait l’optimisme ? Cela semble contre-intuitif, et pourtant c’est le cas ! Les plans de réponse aux risques peuvent encourager l’équipe. Quoi qu’il arrive, vous avez déjà identifié une action à entreprendre !
L’optimisme et contagieux, le sourire aussi !
En outre, la planification des risques positifs (également appelés opportunités) peut augmenter les chances que de bonnes choses se produisent et vous assurer d’en tirer le meilleur parti lorsqu’elles se produisent. C’est certainement une raison d’être optimiste !
Vous réduisez la pression.
Les managers de projet font face à suffisamment de pression sans avoir à développer des solutions aux problèmes dans l’instant. Avec le management des risques, vous avez des réponses pré-planifiées aux événements qui se produisent : vous êtes prêt à exécuter le plan afin que l’équipe puisse agir rapidement.
Même si un problème survient qui ne figure pas dans votre plan de management des risques, une équipe habituée à gérer les risques peut intervenir pour discuter des solutions de rechange et élaborer des réponses. Vous n’avez pas à y faire face tout seul !
Vous identifiez les possibilités.
Des réunions productives d’identification des risques et de planification de la réponse peuvent faire émerger bien plus que des réponses pessimistes. Vous pouvez lancer des actions de réduction des risques de manière proactive, ce qui non seulement répond aux risques, mais peut également augmenter la valeur du projet.
Vous savez identifier en équipe les possibilités et les options.
Par exemple, supposons que vous engagez de manière proactive une ressource qualifiée pour réduire les risques. Les compétences et l’expérience de cette personne pourraient révéler des solutions possibles qui augmentent la valeur que le projet apporte à l’entreprise.
Vous concentrez davantage le focus sur les résultats.
Focaliser régulièrement l’équipe de projet sur les risques lors des réunions d’état d’avancement garde l’objectif du projet à l’esprit. Alors que les membres de l’équipe de projet se concentrent naturellement sur leurs tâches spécifiques, le management des risques met l’accent sur ce qui pourrait compromettre les résultats du projet et sur la façon dont les membres de l’équipe peuvent travailler les uns avec les autres et avec la direction pour produire les résultats du projet comme prévu.
Avez-vous rencontré d’autres avantages de la gestion des risques qui ne sont généralement pas discutés ?
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Le sentiment d’être « sous l’eau » est extrêmement courant chez les personnes auxquelles je parle, et il devient de plus en plus clair pour moi que c’est l’état par défaut de la plupart d’entre nous.
Nous sommes dépassés par tout ceci : Toutes les choses que nous avons dans nos taches à faire, toutes les interruptions, les messages et les courriels, toutes les choses en ligne et sur les médias sociaux, toutes les nouvelles et le chaos du monde, toutes les choses qui se passent dans nos relations.
C’est beaucoup ! Nous pouvons célébrer l’abondance de nos vies, mais souvent nous la déplorons.
Le problème n’est pas l’abondance, mais notre peur et notre anxiété à propos de tout cela. En fait, pour la plupart d’entre nous, nous avons peur de laisser tomber des personnes. Nous allons laisser tomber l’une des nombreuses balles que nous avons en l’air et laisser tomber des gens… Ou pire encore, nous les laisserons toutes tomber et nous serons révélés comme incapables !
Alors, comment pouvons-nous y faire face? Je suggère trois pratiques de simplicité.
Et comme vous pratiquez avec simplicité, vous pourriez réciter une sorte de mantra :
Lorsque vous êtes dépassé, simplifiez.
Parlons de la peur et de l’anxiété avant de parler des trois pratiques de simplicité.
Les peurs qui nous accablent
Ne chargez pas trop vos listes de choses à faire !
La première raison pour laquelle nous nous sentons dépassés, c’est que nous avons souvent trop d’engagements. Nous en avons pris plus que ce que nous avons le temps de faire, souvent par optimisme quant à ce que nous pouvons faire en une journée. C’est dans la réalité beaucoup moins que ce que nous pensons habituellement.
Nous disons oui à trop de choses, en partie par optimisme, mais aussi parce que nous sommes mal à l’aise de dire non aux gens. Lorsque votre patron, votre conjoint, votre enfant ou votre parent vous demande de faire quelque chose, on s’attend à ce que vous disiez oui. L’idée de leur dire non et de protéger une barrière peut susciter beaucoup de peur de laisser tomber cette personne ou de la contrarier. Cela se produit même avec des personnes qui ne sont pas aussi centrales pour nous : Collègues, voisins, amis. Nous ne voulons pas leur dire non, de peur de les laisser tomber ou de les contrarier, alors nous disons oui. Cela crée une énorme pile de choses que nous ne pouvons pas toutes faire.
Avoir une énorme pile de choses que nous ne pouvons pas faire à temps génère alors l’accablement. Et si je ne parviens pas à faire toutes les choses dans mon énorme tas de choses ? Je vais échouer ! Et laisser tomber ces personnes. Nous avons donc créé une énorme pile de choses parce que nous avons peur de dire non et de laisser tomber les gens, et maintenant nous avons trop à faire et la peur de laisser tomber les gens revient.
Et ce n’est pas tout ! Si nous décidons de simplifier l’énorme pile de choses, nous ressentons la même peur. Et si nous choisissons une tâche de l’énorme pile et essayons de la prendre en charge… Cela nous prend plus de temps qu’il ne le faut, parce que nous avons peur de mal faire les choses et de laisser tomber les gens. Même crainte ! Cela conduit à des formes de perfectionnisme. Et la procrastination, parce que bien faire les choses, c’est trop.
Vous pouvez donc voir comment la peur de laisser tomber les gens nous submerge de plusieurs façons.
#1 – Pratiquez la simplicité : Apaisez la peur
La première pratique consiste simplement à remarquer votre peur et votre anxiété dans toutes les situations ci-dessus et à les apaiser. Pouvez-vous remarquer comment vous la ressentez dans votre corps ? Vous êtes pris dans vos pensées à leur sujet, mais qu’en est-il de la façon dont vous ressentez la peur et l’anxiété comme une sensation physique dans votre tête ?
Comment ressentez-vous la peur et l’anxiété comme une sensation physique dans votre tête ?
Une fois que vous pouvez vous connecter à cela, pouvez-vous relâcher votre attention dessus pendant une minute ?
Prenez quelques respirations plus lentes et profondes et accordez-vous un peu de compassion.
C’est une pratique simple et puissante. Vous trouverez des occasions de le pratiquer toute la journée, dans chaque réunion, conversation, courriel, course et tâche, si vous regardez bien. Cela calmera votre accablement.
#2 – Pratiquez la simplicité : Prenez une respiration à la fois
Ce n’est qu’après avoir fait la première pratique que vous devriez vous attaquer à celle-ci : Prenez une chose de l’énorme pile et concentrez-vous complètement dessus.
Prenez une chose de l’énorme pile et concentrez-vous complètement dessus.
En fait, changez la formulation de « énorme pile de choses à faire » en quelque chose comme « incroyable liste d’opportunités ». Ou « profond puits d’amour ». Ce sont des choses que vous avez choisi de faire : Pouvez-vous voir la beauté de chacune d’entre elles ?
Ensuite, choisissez une tâche … opportunité… acte d’amour. Et concentrez-vous pleinement sur cela, comme si vous y étiez complètement dévoué. Comme si c’était l’acte d’amour le plus pur que vous puissiez donner sur cette Terre verte et généreuse.
Nous ne pouvons respirer qu’une respiration à la fois, même s’il nous reste des millions de respirations à respirer (espérons-le !). Nous ne sommes pas submergés par toutes les respirations que nous devons respirer, nous respirons simplement la suivante.
Qu’est-ce que ce serait pour vous de simplifier et de vous concentrer sur la prochaine chose à faire ? Demandez à votre cœur : Qu’est-ce que je veux faire ensuite ? Qu’est-ce que je suis appelé à faire ? Alors, dédiez-vous à cela.
Une à la fois. C’est tout ce que nous pouvons faire. C’est si simple, si pur, si beau.
Vous ne pouvez prendre qu’une respiration à la fois, même s’il vous reste des millions de respirations à venir !
#3 – Pratiquez la simplicité : protégez votre temps et vos engagements
Enfin, que pouvez-vous faire sur le fait d’avoir trop de choses à faire ? Eh bien, d’abord, vous aurez probablement toujours un peu de cela, quoi qu’il arrive. vous pouvez en savourer l’abondance si vous le voulez – pouvez-vous imaginer ce que ce serait de ne jamais rien avoir à faire ? Vous êtes chanceux d’avoir une telle abondance !
Deuxièmement, vous pouvez commencer à dire Non. Un Non Sacré, qui honore vos limites et honore que vous voulez donner un Oui ferme aux choses. Un Non sacré est un cadeau à l’autre personne, parce qu’alors elles n’ont pas à être un fardeau pour vous. Un Non Sacré qui un cadeau pour vous, parce qu’alors vous pouvez être un Oui ferme pour ce que vous voulez vraiment.
Cela suscitera de la peur chez beaucoup d’entre vous. Vous savez comment maitriser cette peur (voir la première pratique de simplicité si vous l’avez oublié).
Reconnaissez-la, mais ne la laissez pas vous pousser à dire oui à quelque chose que vous ne voulez pas faire.
À quoi ressemblerait la vie si vous laissiez votre « Non » sacré protéger votre temps et les engagements qui vous tiennent le plus à cœur ?
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Nous savons tous que les mots comptent et que les paroles des dirigeants ont un poids particulier. Dans le leadership et les affaires, il est facile de tomber dans le jargon et le verbeux, mais il y a des phrases qui induisent les employés en erreur et signalent un mauvais leadership.
Voici quelques-unes des phrases les plus perturbatrices et les plus démotivantes que j’entends dans mon travail de coach en leadership.
#1 – « Je ne le dirais pas comme ça. »
Même si ce n’est pas votre intention, lorsque vous utilisez cette phrase et d’autres similaires, vous dénigrez la personne qui communique. C’est une démonstration de manque de respect et la conviction que votre façon de faire est nécessairement la meilleure.
Au lieu de cela, demandez :
Pourriez-vous essayer de reformuler cela ? Je veux m’assurer de bien comprendre ce que vous dites.
#2 – « Je vais le faire moi-même. »
La plupart des dirigeants ont du mal dans une certaine mesure à se défaire de la croyance que si vous voulez que quelque chose soit bien fait, vous devez le faire vous-même. Mais ce niveau de contrôle envoie des messages terribles sur votre leadership : Vous ne faites pas confiance aux gens dans leur travail et vous n’êtes pas prêt à leur donner la possibilité de grandir et d’apprendre.
Au lieu de cela, communiquez clairement vos attentes et demandez :
Y a-t-il une chose pour laquelle vous auriez besoin de mon support ?
#3 – « Avec tout le respect que je vous dois… »
Il est approprié pour un leader de dire non parfois, mais c’est une situation qui appelle une approche délicate plutôt qu’une approche humiliante.
Demandez plutôt :
Êtes-vous ouvert à une autre perspective ?
#4 – « Voici comment vous devez le faire. »
Lorsque vous dites aux gens non seulement quoi faire, mais comment le faire, vous faites du micro-management. Et peu de choses laissent les personnes et les équipes se sentir plus démoralisées et démotivées que le micro-management. En tant que leader, vous êtes chargé de responsabiliser, de motiver et d’inspirer vos employés.
Au lieu de cela, demandez :
Selon vous, quelle est la bonne approche ?
#5 – « Cela étant dit … »
Auriez-vous des difficultés à écouter ?
Certaines phrases ne signalent pas seulement une volte-face, mais le font d’une manière qui rejette d’emblée tout ce qui a été fait jusqu’à ce point. Rejeter complètement les idées de quelqu’un est décourageant et peut donner l’impression que vous n’écoutiez même pas.
Au lieu de cela, demandez :
Comment pouvons-nous améliorer cette idée ?
#6 – « Vous n’avez pas besoin de savoir pourquoi, il suffit d’exécuter. »
« Faites juste ce que je vous dit ! »
Diriger à partir de l’autorité perd l’essence même du vrai leadership. Les meilleurs leaders savent que lorsque vous communiquez le but de quelque chose, les gens travaillent encore plus dur.
Au lieu d’aboyer des ordres, demandez :
Qu’est-ce qui vous connecte avec ce travail ?
En quoi est-il important pour vous ?
#7 – « Je n’ai pas besoin d’aide. »
Trop de dirigeants considèrent le fait de demander de l’aide comme un signe de faiblesse. En vérité, cela signale la force et la confiance. Lorsque vous demandez de l’aide, vous êtes inclusif et collaboratif, des traits de caractère que les employés apprécient dans le leadership. Nous prêchons tous que les grandes réalisations nécessitent un travail d’équipe, alors modélisez ce principe dans votre propre travail.
Demandez plutôt :
Comment pouvons-nous utiliser au mieux vos talents pour supporter ce travail ?
Les dirigeants causent souvent, sans le savoir, que les gens se sentent vaincus, démoralisés et exclus simplement parce qu’ils ne réfléchissent pas suffisamment à leurs propres paroles.
Portez une attention particulière aux choses que vous dites à votre équipe, et si ces mots ne vous servent pas bien, apportez les changements nécessaires.
Diriger de l’intérieur : Les phrases que vous utilisez comptent, et les mots que vous prononcez ont un sens. Soyez attentifs avec eux. Les gens écoutent.
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A propos d’écoute active
Alors, vous pensez peut-être que vous êtes un bon auditeur, mais la prochaine fois que vous voulez écouter une autre personne, posez-vous ces quelques questions…
Comment est-ce que j’écoute habituellement ?
Pourquoi dois-je écouter maintenant ?
Qui est au centre de l’attention dans la conversation ?
Qu’est-ce qui me manque ?
Est-ce que je me mets en travers de mon propre chemin ?
Suis-je dans une bulle d’information ?
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Qu’il s’agisse d’un projet ou d’opérationnel, comprendre les progrès réalisés avec les éléments de travail individuels appartenant à votre équipe fait partie d’une journée ou d’une semaine de travail normale pour la plupart des dirigeants. Ces informations sont essentielles à l’utilisation d’outils tels que le management de la valeur acquise et les radiateurs d’informations tels que les graphiques « burn down » ou « burn up ».
Mais la façon dont vous demandez des mises à jour des éléments de travail influencera la qualité des données de performance au travail que vous recevez.
Si les éléments de travail sont suffisamment petits et sont susceptibles d’être terminés au cours d’une seule période de rapport, une méthode efficace et objective consiste à déclarer que l’état n’a pas commencé, n’a pas été terminé ou a été terminé. On s’attend à ce que les éléments de travail signalés comme étant dans un état non terminé passent à l’état terminé d’ici le prochain point d’avancement ou soient remontés comme étant bloqués.
Toutefois, lorsque les éléments de travail ne sont pas petits, une plus grande granularité des rapports sur les éléments de travail en cours peut être justifiée.
Voici 3 des façons les plus courantes dont j’ai vu ces informations demandées
Quel pourcentage du travail a été achevé ?
Combien de temps (effort ou durée) avez-vous consacré à ce travail ?
Combien de temps (effort ou durée) reste-t-il pour terminer ce travail ?
Sauf dans les situations où les progrès peuvent être évalués de manière indépendante et quantifiable, la première méthode souffre de la règle des 90-10 des échéanciers de projet : Les premiers 90% de la tâche prennent 90% du temps, et les derniers 10% prennent les 90% restants !
Et même si vous êtes en mesure de mesurer objectivement le pourcentage d’achèvement, cela suppose toujours que les performances passées sur cet élément de travail persisteront jusqu’à ce que l’élément de travail soit terminé.
La deuxième méthode est encore pire car elle ne considère que le passé et ne nous renseigne pas sur ce que l’avenir pourrait nous réserver.
La troisième approche a l’avantage de forcer le membre de l’équipe à vérifier si l’effort restant prévu ou la durée de cet élément de travail est exact et si ce n’est pas le cas, une nouvelle prévision peut être effectuée.
En mettant la théorie de côté, je voulais voir ce qui se passait réellement dans la pratique.
Il est encourageant de voir que les deux meilleures méthodes sont utilisées dans près des deux tiers des cas. Cependant, cela signifie qu’un tiers des répondants utilisent les méthodes les moins utiles pour prévoir ce qui pourrait se produire à l’avenir.
Demander des mises à jour utiles sur les progrès réalisés est encore un autre cas du célèbre :
Ce n’est pas ce que vous dites, c’est comment vous le dites !
(Si vous avez aimé cet article, pourquoi ne pas lire mon livre Easy in Theory, Difficult in Practice qui contient 100 autres leçons sur le leadership de projet?
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Dans la guerre des talents et la quête d’amélioration constante de la productivité, l’investissement dans le bien-être au travail a été une caractéristique des entreprises leaders et admirées.
12 Ways to Improve Wellbeing in Organisations par Cora Lynn Heimer Rathbone
Prendre soin de soi à la fois physiquement et psychologiquement conduit à une plus grande productivité et meilleure performance au travail. Les entreprises mondiales les plus prospères reconnaissent depuis longtemps cette connexion. D’autres commencent tout juste à l’adopter, car les confinements liés à la pandémie ont, plus que jamais, mis en évidence l’importance du bien-être. Cet article suggère 12 pratiques de bien-être simples et scientifiquement prouvées que nous pouvons tous adopter pour promouvoir le bien-être : pour nous-mêmes, pour les autres, pour notre entreprise.
Les excellentes organisations connaissent depuis longtemps l’importance de créer des lieux de travail exceptionnels. Dans la guerre des talents et la quête d’amélioration constante de la productivité, l’investissement dans le bien-être au travail a été une caractéristique des entreprises leaders et admirées.
La science du bien-être est donc très pertinente dans notre monde difficile, meurtri par une énorme incertitude, plus grande que ce que nous pensions exister avant la pandémie.
Alors que nous nous libérons, que pouvons-nous faire différemment pour embrasser et promouvoir le bien-être pour nous-mêmes et pour les autres, pour survivre ET prospérer ?
Voici quelques idées profondément simples à pratiquer, toutes soutenues par des recherches substantielles en neurosciences, bien-être, bonheur et psychologie positive.
#1 – Faites preuve de compassion. En commençant par vous-même. Pour créer un endroit où il fait bon travailler, protégez votre santé mentale et physique. Donnez-vous le temps de pleurer et de rire, le temps de faire votre deuil et de vous amuser.
#2 – Dormez. 7 heures par nuit est le minimum cliniquement sain. 5 heures ou moins par nuit est classé comme « manque de sommeil », accélère votre vieillissement, augmente vos risques de maladie cognitive et réduit votre espérance de vie.
#3 – Faites de l’exercice. Rien que 3 fois 30 minutes d’exercice cardiovasculaire par semaine maintiennent votre santé physique et améliorent vos performances cognitives.
#4 – Choyez les expériences plutôt que des objets. Les expériences captent votre attention, créent des souvenirs qui vous permettent de répéter le plaisir. Les objets, une fois acquis, « perdent rapidement leur valeur », « sont pris pour normaux ».
#6 – Optez pour un travail significatif. Un but et un objectif clairs alimentent votre énergie et votre résilience, contribuent à votre survie même dans une extrême adversité.
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#7 – Soyez auteur d’actes de gentillesse. Donner à une autre personne augmente vos scores de bien-être pendant plusieurs jours après l’acte, beaucoup plus longtemps que de vous donner quelque chose à vous-même.
#8 – Exprimez votre gratitude. Exprimer votre gratitude envers l’autre ramène à l’esprit ce pour quoi vous êtes reconnaissant, en pleine conscience, alimente la pensée positive et prolonge l’expérience positive.
#9 – Soyez riche de votre temps. Après un certain niveau de gains, plus de richesse ne satisfait pas davantage. La liberté de faire les choses que vous aimez, en particulier avec les personnes que vous appréciez, satisfait davantage et plus longtemps.
#10 – Méditez et savourez l’instant. Nos esprits errent 47% du temps que nous sommes éveillés, nous sortant de « l’ici et maintenant », érodant le bonheur et la capacité d’être à notre meilleur à chaque instant.
#11 – Exprimez vous de manière positive. Les entreprises ayant un « ratio Losada » (déclarations positives pour des négatives) entre 3 pour 1 et 15 pour 1 prospèrent. Les mariages avec un ratio Losada supérieur à 1 pour 5 sont forts et aimants.
#12 – Concentrez-vous sur vos points forts. Les neurosciences ont montré que jouer sur nos forces génère plus d’apprentissage, crée plus de nouvelles connexions neuronales que d’essayer de corriger ou de travailler sur nos faiblesses
Tout ce qui précède a figuré, à des degrés divers, dans les stratégies des nations et des entreprises les plus performantes pendant le confinement.
Quelle opportunité pour nous, en tant qu’humanité, d’embrasser explicitement ce qui précède, tout ou en partie, d’intégrer ces pratiques dans le nouveau « business as usual » de nos organisations.
Cora Lynn Rathbone
Permettez-moi donc de vous demander laquelle des pratiques ci-dessus vous adopterez et défendrez dans votre organisation, au nom de l’humanité, de la compassion, du bien-être et d’une meilleure performance économique ?
L’opportunité est la vôtre de vous libérer en faisant la différence : Avec courage, discipline et amour.
Contactez Cora Lynn si vous souhaitez obtenir de l’aide pour améliorer le bien-être dans votre organisation.
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Le télétravail et les équipes autonomes et géographiquement distribuées provoque une demande croissante de leaders à tous les niveaux dans les projets et dans les entreprises.
7 Ways To Gain Influence In Your Company Without Having A Title par Lolly Daskal
Les lieux de travail évoluent, de nombreuses organisations passent d’une hiérarchie descendante structurée à une dynamique plus collaborative centrée sur le travail d’équipe.
L’un des résultats de ce changement est une demande croissante de leaders à tous les niveaux.
Dans une culture d’entreprise complexe et évolutive, vous avez la capacité de diriger, quel que soit votre rôle. Voici sept façons infaillibles de gagner en influence vers le haut, au bas et en transverse dans votre organisation sans avoir de titre.
#1 – Embrassez qui vous êtes.
Vos pensées influencent non seulement vos sentiments, mais aussi vos actions. En fait, nos monologues intérieurs ont tendance à devenir une prophétie auto-réalisatrice. Le chemin de l’influence commence en vous. Qui vous êtes, et qui vous vous dites que vous devenez, aidera à déterminer votre impact.
#2 – Cultivez des relations qui ont du sens.
L’établissement de liens et l’établissement de relations sont essentiels à toute forme d’influence. Si vous êtes sérieux à propos d’imprimer votre marque, travaillez à cultiver des relations significatives à tous les niveaux. Cela signifie être votre même moi authentique et exprimer un véritable intérêt pour les gens à tous les niveaux. Les relations et les connexions sont une partie importante de l’influence.
#3 – Renforcez la confiance.
Une influence significative repose sur la confiance. Plus les gens vous feront confiance, plus ils vous respecteront et plus vous exercerez d’influence. Construisez une réputation de fiabilité, de franchise et de respect de vos principes dans tout ce que vous faites, et la confiance suivra naturellement.
#4 – Gérez vos connaissances.
Dans chaque organisation, l’information est synonyme de pouvoir, et plus vous avez d’informations, plus vous avez de valeur. Trouvez donc des moyens d’augmenter votre stock d’informations précieuses pour l’organisation et son leadership. Apprenez une nouvelle compétence, réfléchissez à des solutions stratégiques, familiarisez-vous avec les dernières technologies. Utilisez vos connaissances pour simplifier les défis et votre valeur augmentera.
#5 – Affûtez vos forces.
Concentrez-vous sur vos forces en perfectionnant, en partageant et en utilisant vos talents. Ne laissez jamais passer une occasion d’utiliser votre expertise pour aider les autres. Affûtez vos forces et partagez-les généreusement.
#6 – Offrez de votre temps.
Beaucoup de gens sont trop occupés par leurs propres préoccupations pour donner de leur temps aux autres. Passez du temps chaque jour à apprendre à connaître les membres de votre organisation, à apprendre qui ils sont et comment vous pouvez les soutenir.
#7 – Faites en sorte que les gens se sentent valorisés.
C’est l’un des désirs humains les plus profonds d’être reconnu, et l’un des meilleurs moyens d’influencer les gens est de leur faire sentir qu’ils sont appréciés. Travaillez pour voir les gens pour ce qu’ils sont et ce qu’ils font. Les gens apprécient ces rares moments où les autres leur font sentir qu’ils sont valorisés.
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Vous pouvez gagner de l’influence dans votre organisation sans pouvoir, autorité ni titre. Tout dépend de votre caractère, de vos connaissances et de votre serviabilité. Ce que vous faites avec ces pouvoirs intérieurs fait toute la différence.
Dirigez de l’intérieur : Le leadership ne vient que de l’influence, et l’influence doit être gagnée.
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Vous savez, il y a des « choses » qui tout simplement fonctionnent. Mais certaines personnes insistent pour essayer de les faire mieux fonctionner. Pourquoi ne peuvent-ils pas les laisser tranquilles ?
Je me souviens vaguement, du moins je pense m’en souvenir, avoir vu une vieille machine à laver dans la maison où j’ai grandi. Attachés dessus se trouvaient deux rouleaux. Je ne me souviens pas l’avoir jamais vu fonctionner, mais apparemment, lorsque la machine à laver était terminée, vous mettiez les vêtements dans les rouleaux et cela essorait toute l’eau des vêtements. Je pense qu’ils étaient là depuis un certain temps, donc ils ont dû fonctionner au moins acceptablement.
Pourtant, quelqu’un a décidé qu’ils ne fonctionnaient pas assez bien. Ils ont donc rendu la machine à laver « meilleure » en ajoutant un cycle où le tambour tourne très vite et qui force en quelque sorte l’eau à sortir des vêtements. Comme je n’ai aucune expérience avec les anciennes machines et leurs rouleaux, je ne peux pas dire d’expérience si la nouvelle méthode est meilleure ou non.
La plupart d’entre vous pensent à ce stade qu’il est évident que la nouvelle façon de laver les vêtements est bien meilleure que l’ancienne. Mais voici mes questions pour vous.
Si nous étions à l’époque des machines à laver à l’ancienne, combien d’entre vous auraient pris l’initiative de les améliorer ? Combien d’entre vous se seraient plaints à chaque fois que vous aviez lavé des vêtements ? Combien d’entre vous auraient dit : « Quelqu’un devrait faire quelque chose à ce sujet » ?
Combien d’entre vous se sont déjà arrêtés suffisamment longtemps pour se rendre compte que vous êtes cette personne ?
Les personnes qui réussissent le mieux ne demandent pas « pourquoi ? », elles se demandent « pourquoi pas ? ».
Elles ne disent pas que « quelqu’un » devrait le faire. Elles disent : « Je vais le faire ».
Les personnes qui réussissent le mieux se mettent en action sur leurs pensées.
Voici une idée : la prochaine fois que vous verrez un problème, ne vous en plaignez pas; N’espérez pas que « quelqu’un » fasse quelque chose; Prenez la décision de faire quelque chose à ce sujet vous-même.
Même si vous voyez quelque chose qui semble bien fonctionner, regardez un peu plus profondément et demandez-vous si cela pourrait encore mieux fonctionner.
Ensuite, faites quelque chose que la plupart des gens ne feront pas… AGISSEZ.
S’en tenir à ce qui fonctionne a du sens jusqu’à ce que quelqu’un fasse quelque chose qui fonctionne mieux. Pourquoi ne pas être cette personne aujourd’hui ?
La plupart des gens détestent la confrontation. La plupart des gens qui ne détestent pas les confrontations y vont avec les pires motifs. Ils veulent à tout prix « gagner » la confrontation.
Quand quelqu’un a besoin d’être confronté, les leaders authentiques le confrontent. Mais ils le font avec empathie et compassion. Leur but n’est pas de « gagner » une confrontation. Leurs objectifs sont que les deux parties maintiennent leur estime de soi, comprennent mieux leur situation et construisent une relation plus forte.
Ces objectifs sont réalisables, mais seulement si la confrontation a réellement lieu.
Éviter une confrontation a de grands coûts, pour les deux parties.
La personne qui n’est pas confrontée peut n’avoir aucune idée de ce qu’elle fait ou dit est un problème pour quiconque. Le coût pour eux de ne pas être confrontés est qu’ils perdent l’opportunité de s’améliorer. Ils perdent l’occasion d’établir une relation plus proche. Ils peuvent perdre une opportunité de promotion au travail ou potentiellement, même leur emploi.
Le coût pour l’individu qui refuse de les confronter peut s’avérer encore plus élevé. Son manque de courage pour affronter quelqu’un peut entraîner une frustration sans fin, une mauvaise santé mentale, des relations dégradées et, s’il est dans une position de leadership, une mauvaise performance de la part des personnes qu’il dirige.
Toutes les confrontations peuvent être évitées en ne se confrontant à personne.
C’est facile, il suffit de ne rien faire. Vous devez cependant réaliser que les conséquences d’éviter les confrontations ne peuvent pas être évitées. Vous pensez peut-être que vous feriez mieux de ne pas vous confronter avec quelqu’un, mais vous auriez tort.
Il existe des moyens de rendre la confrontation bénéfique pour les deux parties, mais cela demande un peu d’effort.
Pour confronter de la bonne manière, faites attention à ces points clés.
Tenez-vous-en aux faits.
Présentez les faits, pas votre opinion.
Comprenez-vous les faits ? Avez-vous posé suffisamment de questions pour comprendre la situation vue de tous les côtés ? Allez-vous à cette confrontation avec de la colère et avec une émotion brute ou êtes-vous prêt à de la compassion construite sur un désir d’aider ? Y a-t-il un avantage mesurable à la confrontation ? Gardez à l’esprit que si rien ne peut changer, rien ne changera. Si vous confrontez quelqu’un à une situation qui ne peut pas changer, alors vous ne faites que « vous défouler ». La ventilation est très unilatérale car même si vous vous sentez mieux pendant une courte période, elle n’aide personne d’autre.
Connaissez la personne que vous confrontez.
Posez des questions plutôt que de penser tout savoir.
Que savez-vous de la personne que vous êtes sur le point de confronter ? À moins que vous ne connaissiez bien la personne, il est préférable de commencer votre conversation par des questions. Si vous commencez sur le ton de la confrontation, vous risquez de fermer l’autre personne. Cela bloque la plupart des progrès qui auraient pu être possibles. Si vous voulez que l’autre personne change quelque chose à propos de son comportement, ne commencez pas par la critique. Gardez à l’esprit qu’il vous sera très difficile d’aider quelqu’un à voir un avantage à changer son comportement si vous ne comprenez pas pourquoi il se comporte comme il le fait.
Faites en sorte que la faute semble facile à corriger.
Le problème pourrait-il venir de vous ?
Ne rendez jamais une situation pire qu’elle ne l’est. N’exagérez pas. Votre confrontation doit être basée sur des faits documentés, pas sur des opinions. Vous DEVEZ aborder une confrontation avec un esprit ouvert et être prêt à admettre que vous pouvez faire partie de la raison de la confrontation. Peu importe votre titre, votre rôle ou votre niveau de réussite, considérez toujours la possibilité que la véritable source du problème vous observe depuis votre miroir tous les matins.
Allez de l’avant vers l’amélioration.
Une fois que vous avez présenté votre « cas », prévoyez un peu de temps pour que le message soit digéré. Demandez à l’autre personne si elle peut répéter ce que vous avez dit pour vous assurer que ce que vous avez dit a été compris. Puis allez de l’avant. Une confrontation efficace n’a pas besoin d’être une longue conversation.Vous n’avez pas besoin d’enterrer l’autre personne sous les exemples, en particulier de vieux exemples des années passées. Terminez par un compliment. Si vous ne pouvez pas penser à un seul compliment, alors vous n’êtes pas encore prêt pour une confrontation. Référez-vous à la deuxième chose à garder à l’esprit : Apprenez à connaître et à comprendre la personne avant de la confronter.
Surtout, ne pensez pas à la confrontation en termes de victoire et de défaite. Il s’agit de se soucier suffisamment de faire preuve de compassion et d’aider un autre être humain à devenir la meilleure version possible de lui-même.
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Ce modèle définit différentes approches pour résoudre les conflits, en tenant compte de deux dimensions :
Coopération (se préoccuper des besoins et désirs des autres)
Assertivité (se préoccuper de vos propres besoins et désirs)
Les 5 approches pour résoudre les conflits sont les suivantes
Compétition
Évitement
Compromis
Acceptation
Collaboration
Compétition : Vous gagnez, ils perdent
Utilisez cette approche lorsque la situation est urgente / critique (une résolution rapide est vitale) ou qu’il est essentiel que vous obteniez ce que vous voulez.
Attention, cela pourrait vous coûter votre relation avec l’autre partie !
Évitement : Personne ne gagne
Utilisez-le lorsque le problème n’est pas très important, ou du moins lorsque la relation avec l’autre partie est plus importante que ce problème.
Attention, cela ne fait pas disparaître le désaccord et il pourrait réapparaître plus tard.
Compromis : Personne ne perd… mais personne ne gagne vraiment
Utilisez-le lorsque vous avez besoin d’une solution temporaire à un problème complexe ou lorsque le problème est moins important que d’autres objectifs mutuels que vous avez avec l’autre partie.
Attention, cela pourrait convenir à court terme mais ce n’est pas tenable à long terme.
Acceptation : vous perdez, ils gagnent.
Utilisez-la lorsque le problème n’est pas aussi critique pour vous que pour les autres.
Quand il peut être important de faire preuve de souplesse ou d’être raisonnable. Elle peut aider à maintenir la coopération.
Méfiez-vous car cela pourrait renforcer la relation avec l’autre partie, mais cela pourrait aussi vous faire passer pour un « faible », de sorte qu’une situation similaire pourrait se reproduire.
Collaboration : vous gagnez tous les deux
Utilisez-la lorsqu’une solution à long terme et une relation durable sont essentielles.
Lorsque les problèmes des deux parties sont importants.
Les cinq méthodes sont légitimes.
Face à un conflit, cela vaut la peine de considérer les parties impliquées et votre résultat préféré avant la négociation. Considérez quelles fins de partie vous êtes prêt à accepter et déterminez la meilleure approche à adopter pour atteindre votre fin de partie préférée.
Bonne chance… oh, et les biscuits au chocolat aident aussi !
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Petite vidéo en anglais.
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Certaines startup décident de ne pas construire de MVP et d’attendre que le produit soit complet et mature avant de demander à des clients potentiels de l’essayer et fournir des retours. Vous voudrez peut-être aussi envisager cette approche…
A minimum viable product is not always a startup’s most valuable player de Srikrishnan Ganesan
Une pratique courante de lancement de startup consiste à créer d’abord un produit minimum viable (MVP). Largement considéré comme la meilleure première étape pour prouver un produit, un MVP permet à une startup de commercialiser rapidement une version initiale du produit et de solliciter au plus tôt les commentaires des clients pour l’améliorer avant de lancer le produit. Avec un MVP, une startup peut se concentrer sur la unique selling proposition du produit, la proposition de valeur qui rend le produit unique, et construire autour de celle-ci.
Rocketlane a pris un chemin différent. Nous n’avons pas construit de MVP, mais nous avons attendu que le produit soit complet et mature avant de nous engager avec des clients potentiels et de leur demander de l’essayer et de fournir des retours. Vous voudrez peut-être aussi envisager cette approche lorsque vous évaluerez diverses façons de mettre votre produit sur le marché. Dans cet article, nous allons vous expliquer pourquoi.
Pourquoi casser les codes ?
Brisez les codes !
Un MVP fonctionne bien lors de la création d’un produit entièrement nouveau pour un nouvel espace et pour des solutions ponctuelles simples pour les petits clients. Cependant, si un produit doit remplacer des produits horizontaux matures par des solutions spécialement conçues, le produit ne réussira pas en commençant en tant que MVP, d’autant plus si le produit cherche à unifier, en remplaçant un ensemble d’outils horizontaux cloisonnés.
Les principaux piliers de notre histoire de produit sont ses capacités de « tout-en-un » et « d’unification », rassemblant les tâches, les rapports de projet, les notes de réunion, la collaboration de documents en direct et les flux de travail dans une expérience étroitement couplée.
Nous devions intégrer tous ces composants dans notre toute première version de produit et livrer un produit avec une gamme significative de fonctionnalités dès le premier jour. Pour gagner l’adhésion, un produit qui promet une expérience tout-en-un doit faire au moins 80% de ce que fait chacune des solutions horizontales. Le produit doit d’abord avoir toutes ses fonctionnalités de base en place, puis ajouter une couche d’innovation au-dessus.
Distractions et détours
Si vous créez un produit tout-en-un remplaçant plusieurs outils établis et cloisonnés, ce n’est pas non plus une bonne idée de développer et de lancer chaque module séquentiellement en tant que MVP. Si vous donnez un module ou une partie de votre solution à vos clients potentiels pour qu’ils la testent, ils vous fourniront des retours pour améliorer cette partie, ce qui pourrait vous faire perdre de vue votre solution complète.
Supposons que vous alliez plus loin et que vous lanciez une partie de votre produit en tant que MVP, alors l’ensemble du marché pourrait fournir des commentaires similaires et vous faire perdre encore plus de concentration sur votre vision plus aboutie. Vous lanceriez également un MVP qui n’est probablement pas encore au niveau en le comparant fonctionnalité par fonctionnalité avec l’une des solutions établies et cloisonnées que vous souhaitez remplacer, ce qui pourrait entraîner des critiques plus mitigées que vous ne le recevriez autrement si vous aviez attendu pour livrer votre vision complète.
Ne laissez pas un client vous entraîner dans la spirale d’une vision qui lui est propre.
Un autre risque à lancer ou engager des clients potentiels avec un module MVP de votre produit est de suivre LEUR vision de ce module.
Il pourrait finir par ressembler à d’autres produits déjà sur le marché, car ils vont comparer chaque module MVP à d’autres solutions cloisonnées qu’ils utilisent ou connaissent déjà.
Il est préférable d’allouer du temps et des ressources à l’analyse des retours des clients sur des modules et des fonctionnalités spécifiques après avoir livré la vision complète et votre différenciation.
Construire dans les délais lors de la création d’un produit
Une autre raison d’impliquer les clients potentiels tard dans la phase de développement est que les clients jugent en fonction de l’agilité et de la vitesse de production. Lors de la construction des fondations d’un produit, les clients ne percevraient peut-être pas de progrès mensuels significatifs. Plutôt que d’impliquer les clients potentiels dans les premières étapes et risquer la désillusion, il est préférable d’attendre les derniers mois avant le lancement.
Une fois que vous avez un bon produit qui est à 80% de ses fonctionnalités, il ne devrait pas être difficile d’engager des clients potentiels à l’essayer pour quelques équipes et cas d’usage, puis à itérer rapidement avec eux pour atteindre l’adéquation produit / marché cible.
La présentation d’un nouveau produit presque fini aux clients potentiels garantit également qu’ils n’ont pas besoin d’imaginer ce qu’il sera à l’avenir. Ils le voient déjà fonctionner avec succès en fonction de votre vision et peuvent mieux comprendre cette valeur.
Idéalement, les clients potentiels verraient également qu’il n’y a pas d’autre produit équivalent sur le marché ni ailleurs. Lorsqu’ils utilisent le produit en fonction de votre vision complète, ils doivent également imaginer comment cela pourrait les aider.
Impliquer des clients potentiels tard dans la phase de développement inclut le risque de construire trop sans le valider. Le risque augmente avec l’ampleur et la complexité du produit. Même si vous avez de l’expérience dans la création de produits et que vous connaissez la direction, les demandes des clients et ce dont ils peuvent et ne peuvent pas se passer, il est préférable d’engager un panel d’examinateurs, pas nécessairement des clients potentiels, qui sont intéressés par votre vision. Dès la phase de conception, vous pouvez leur montrer des maquettes de ce que sera votre produit complet. De cette façon, vous aurez un flux de retours sur les démonstrations de maquettes même pendant la construction du produit, ce qui vous aidera à réduire les risques.
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Vendre la vision
Vous devrez peut-être éduquer les investisseurs et les employés sur votre approche de produit mature. Les deux groupes peuvent être plus familiers de l’approche MVP et peuvent se demander pourquoi attendre la fin de la phase de développement pour engager des clients potentiels. Vous pouvez manager cela avec des réunions régulières où vous présentez les progrès et répondez aux questions. Vous pouvez également distribuer une note de service écrite aux investisseurs et employés, ce qui serait un bon exercice pour cristalliser votre pensée et pour les deux groupes d’avoir un document de référence.
Un produit mature est le produit le plus viable
Il y a plus d’une façon de construire un produit, en particulier pour les catégories horizontales et compétitives. Au lieu de créer un MVP, vous voudrez peut-être créer un produit avec plus de maturité et d’étendue avec quelques expériences innovantes clés qui servent de promesse différenciante (unique selling proposition) et illustrent pourquoi votre produit est le meilleur pour des cas d’utilisation spécifiques.
Si vous engagez les clients potentiels lorsque le produit semble mature, ils comprendront pourquoi ils devraient s’aligner sur votre vision et vous ne sacrifierez pas la différenciation que vous apportez sur le marché.
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Même le manager de projet le plus expérimenté commet parfois une erreur : Une faille dans le plan de projet, une mauvaise interprétation des orientations business ou manquer d’identifier un problème ou un risque. Voici quelques conseils sur la façon de redresser la situation lorsque vous faites une erreur dans un projet.
#1 – Appropriez-vous le sujet.
Plus vite vous vous appropriez ce qui s’est passé, plus tôt vous pourrez travailler à résoudre le problème.
Vous voulez que votre équipe se concentre sur la résolution du problème, et non sur se blâmer mutuellement pour ce qui s’est passé.
#2 – Comprenez parfaitement le problème ou l’erreur.
Comprenez bien quel est le vrai problème.
Vous devez comprendre le problème avant de pouvoir apporter des ajustements au projet. Interviewez les clients clés et les membres de l’équipe pour bien comprendre le problème. Ensuite, analysez les faits et les hypothèses utilisés pour prendre des décisions de projet.
Par exemple, confirmez que l’information présentée comme un fait est bien un fait.
Vérifiez que les hypothèses initiales utilisées pour aller de l’avant avec le projet sont toujours valides.
Si vous découvrez des hypothèses invalidées, déterminez ce qui doit être confirmé avant de refaire ces hypothèses dans les projets futurs. Après avoir recueilli ces informations, présentez l’histoire complète du problème et les mesures correctives à la direction.
#3 – Élaborez des alternatives de réponse.
Les meilleurs managers de projet développent rapidement la réponse possible pour résoudre les problèmes du projet. Le cas échéant, présentez ces alternatives à la direction afin qu’elle puisse décider laquelle choisir puis agissez rapidement. Si vous n’avez pas de réponses identifiées avant de discuter du problème avec la direction, dites-leur comment vous allez concevoir vos réponses et quand vous les présenterez pour revue.
#4 – Mettez à jour votre plan de management des risques.
Lorsqu’une erreur est commise, vous voulez réduire le risque que l’erreur se répète. Ajoutez des informations sur l’erreur et la façon dont vous l’avez gérée à votre plan de risque et enregistrez-les pour votre projet, puis mettez à jour toutes les autres sources de données que les managers de projet consultent pour préparer leurs projets.
Si une réponse au risque était inadéquate ou inappropriée, mettez à jour la documentation et examinez la situation avec les membres de l’équipe impliqués dans la rédaction ou la confirmation de la réponse au risque. Apprendre est le meilleur moyen de prévenir de futures erreurs, ce qui m’amène à mon dernier conseil…
#5 – Transformez l’événement en un moment d’apprentissage.
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Lorsqu’une erreur est commise, il peut être tentant de s’en prendre à elle. Concentrez-vous sur ce que l’expert en leadership John C. Maxwell appelle “failing forward” (échouer pour mieux réussir à l’avenir).
Éduquez vos parties prenantes pour en faire de meilleurs avocats des projets. En transformant une erreur en un moment d’apprentissage, vous pouvez augmenter les capacités de votre organisation.
Si vous avez d’autres suggestions pour récupérer d’une erreur, n’hésitez pas à commenter ce billet !
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Chacun a sa propre interprétation de ce que signifie un produit minimum viable (MVP) pour son organisation et, bien que les spécificités d’une définition de MVP puissent varier, ce billet explore ce qu’est un MVP et ce qu’il n’est certainement pas.
The Meaning of MVP – Correcting Common Misconceptions de Phil Tarnowski
Chacun a sa propre interprétation de ce que signifie un produit minimum viable (MVP) pour son organisation et, bien que les spécificités d’une définition de MVP puissent varier, ce billet explore ce qu’est un MVP et ce qu’il n’est certainement pas.
Un MVP réussi est essentiel à la création d’un produit numérique réussi : C’est l’ensemble de fonctionnalités ciblées qui lance votre produit sur le marché, donne le ton pour l’avenir de votre produit et vous aide à vous guider vers des améliorations prioritaires sur la feuille de route du produit. C’est la version initiale qui met votre produit sur le marché et vous permet d’itérer, d’obtenir des retours et de vous concentrer sur l’adéquation produit / marché. Votre MVP n’est pas le strict minimum, ni le nombre maximum de fonctionnalités : Il se situe quelque part entre les deux.
Voici quelques choses qu’un MVP n’est certainement pas.
Squelette
Il y a 20 ans, votre nouveau produit numérique était souvent le premier à être commercialisé. Il y avait moins de solutions numériques qu’aujourd’hui et les attentes en matière d’expérience utilisateur étaient plus faibles. Aujourd’hui, les goûts et les attentes des consommateurs ont changé. Tout comme le marché (nous avons écrit un guide en anglais sur la façon de définir la première version de votre produit numérique).
Lorsqu’il existe des dizaines d’autres concurrents avec des offres de produits similaires, vous devez rendre votre MVP plus beau et plus intuitif que la concurrence. Il ne devrait pas seulement fonctionner. Il devrait résoudre de vrais problèmes et être élégant en le faisant.
Aujourd’hui, si les gens ne savent pas facilement comment utiliser un produit, ils passeront à autre chose. S’ils ne voient pas la valeur rapidement, ils passeront à autre chose. Pour cette raison, vous devez créer un MVP qui fait le travail rapidement et facilement.
Un seul et c’est fini (one and done)
Les produits numériques ne sont pas une construction où une seule version suffit. Peu importe l’expérience que vous avez des produits numériques, il y aura des fonctionnalités que vous manquerez ou sur lesquelles vous vous tromperez dans votre première version.
Vous obtiendrez des retours sur votre MVP, ce qui signifie que vous devrez revenir sur la conception pour améliorer le produit. Si vous pensez que votre premier jet sera parfait et n’aura pas besoin de changements, vous serez déçu. Tout comme une maison, les produits numériques nécessitent des améliorations et un entretien continus. Et, si votre MVP est apprécié par vos utilisateurs, vous devrez éventuellement « maintenir l’existant » et « ajouter une chambre d’amis » pour continuer à répondre à leurs attentes et vous assurer qu’ils reviennent.
Le produit parfait
Bien que votre MVP ne devrait pas être le simple squelette de toutes vos idées, il ne devrait pas non plus être toutes vos idées. Si vous passez trois ans à développer entièrement toutes les caractéristiques du produit de vos rêves, puis mettez ce produit sur le marché, vous serez probablement surpris du résultat. Vous constaterez peut-être que certaines fonctionnalités que vous pensiez être des aspects essentiels de votre produit sont déroutantes et inutiles pour vos utilisateurs.
Cela signifie que vous avez passé trois ans à construire quelque chose que vos utilisateurs ne veulent même pas. C’est une grosse perte de temps et d’argent.
Créez un MVP qui adresse les problèmes clés que vos utilisateurs doivent résoudre, mettez-le sur le marché et obtenez des retours. Répétez cette stratégie et itérez au fil du temps. La rétroaction et l’itération atténueront les risques. Cela vous aidera à créer un produit axé sur l’utilisateur. En abordant les problèmes par de petites améliorations incrémentales, vous vous assurerez de créer un produit précieux pour les personnes qui utilisent réellement le produit.
Bien que votre définition personnelle du MVP de votre produit puisse varier, assurez-vous que vous ne vous basez pas sur l’une de ces fausses idées.
Définissez votre MVP en commençant par les objectifs business à long terme et travailler à rebours.
Priorisez impitoyablement et évitez le piège d’avoir un MVP qui est un squelette ou exagérément musclé.
Et n’oubliez pas de recueillir de manière obsessionnelle des retours afin de pouvoir continuer à maintenir et à améliorer votre produit au fil du temps.
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Travaillez-vous dans un bâtiment avec d’autres personnes ? Vous pourriez penser que vous faites partie d’une équipe colocalisée alors que c’est probablement faux !
Hours of Overlap, the First Principle of Successful Distributed Teams par Johanna Rothman
Travaillez-vous dans un bâtiment avec d’autres personnes ? Vous pourriez penser que vous faites partie d’une équipe colocalisée.
Voici le test :
Est-ce que tous les membres de l’équipe se trouvent à moins de 30 mètres (ou secondes) en marchant les uns des autres ?
Si c’est le cas, oui, vous êtes colocalisé.
Sinon, non, vous faites partie d’une équipe distribuée.
Pourquoi cette distance de 30 mètres est-il si importante ? Si vous êtes à une courte distance (et certaines personnes prétendent que c’est aussi faible que 8 mètres), vous êtes davantage susceptible de poser une question à quelqu’un ou de travailler rapidement ensemble. Plus de 30 mètres ? Vous êtes beaucoup moins susceptible de collaborer. Vous ne voulez pas vous interrompre ou interrompre l’autre personne.
Et, si les membres de votre équipe se trouvent à des étages distincts, même dans le même bâtiment, vous faites certainement partie d’une équipe distribuée.
Donc, en supposant que vous ayez une équipe distribuée, le premier principe est d’établir suffisamment d’heures de chevauchement.
Voici 3 conseils pour voir et créer votre planning de chevauchement.
Astuce 1 : Visualisez les heures de chaque personne
Mark Kilby et moi-même avons récemment écrit un article intitulé Distributed Team Workspaces Start With Hours of Overlap. Cet article traite d’une équipe où chaque personne avait ses propres heures de travail. (C’est normal. Je ne travaille pas exactement les mêmes heures tous les jours. Je parie que vous non plus.) Si les membres de l’équipe étaient assis les uns à côté des autres, cela aurait pu aller. Mais ils ne l’étaient pas. Voici la visualisation initiale de leurs heures :
Vous pouvez voir que même si tout le monde était dans le même fuseau horaire, ils n’avaient que trois heures de chevauchement possible entre toutes les équipes pendant la journée. Les remplissages en jaune sont du temps réservé à Dave et Polly. Dave était responsable technique et Polly était le Product Owner. Tous deux avaient les connaissances dont l’équipe et d’autres personnes de l’organisation avaient besoin. Cette équipe souhaitait utiliser une approche agile. Cependant, ils n’avaient pas assez de temps. Vous voyez comment Polly n’est pas disponible pendant une partie importante de la journée de l’équipe ? De plus, Dave a utilisé son temps pour discuter avec des vendeurs et des recrues potentielles. Il a pris du temps en milieu de journée de l’équipe pour le faire.
Dave et Polly ont utilisé leur temps réservé pour un travail important de l’entreprise. Et, parce qu’ils ont pris du temps au milieu de la journée, l’équipe a eu du mal à collaborer.
Les équipes agiles ont besoin d’un temps de collaboration substantiel, soit au moins 4 heures par jour.
Astuce 2 : Voyez si tout le monde peut créer plus de temps de collaboration
Une fois que Dave et Polly ont vu comment ils empêchaient l’équipe d’avoir davantage de temps de collaboration, ils ont décidé d’expérimenter une autre façon de gérer leurs journées. Ils ont créé ce tableau :
Dave a repoussé certaines de ses réunions plus tard dans la journée et Polly a découpé la sienne en 3 segments d’une heure.
Le résultat était qu’ils avaient tous les deux plus de temps à passer avec l’équipe.
Les membres de votre équipe pourraient ne pas trouver de solution aussi rapidement que Dave et Polly. Dans ce cas, posez la question : « Quand pouvons-nous travailler ensemble ? »
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Astuce 3 : Quand pouvons-nous travailler ensemble ?
Si les membres de votre équipe ne peuvent pas facilement déplacer des réunions, envisagez les options de décalage temporel, de découpage des horaires et de copilotes. Ces options doivent être un choix personnel. Forcer quelqu’un à changer quand il travaille est du mauvais management.
Certaines personnes pourraient vouloir changer de périodes de travail, travailler plus tôt ou plus tard que ce que la société accepte comme une journée de travail « normale ». Il se trouve que je suis une personne matinale. Cela fonctionne bien pour moi quand je travaille avec des gens plus à l’est de ma position. Je peux (et je le fais) rencontrer des gens plus à l’ouest le soir, même si ce n’est pas ma préférence. J’ai récemment coaché un client en Australie lors de mes soirées. J’ai changé de timeshift pour ce travail.
Certaines personnes voudront peut-être découper le temps de travail, quand une personne travaille tôt le matin, prend une pause puis travaille tard dans l’après-midi. Tant que c’est la personne qui choisit cela et non le manager, cela peut fonctionner. (Je n’ai pas vu de personnes travailler par choix dans ce mode pendant une longue période de temps.) Je ne choisis pas du tout de découper mon temps de travail, mais cela pourrait fonctionner pour vous.
Vous voudrez peut-être expérimenter avec des copilotes : Une personne sur un site qui travaille avec un homologue sur un autre site. Les deux pilotes synchronisent leur travail tous les quelques jours, mais les équipes ne partagent pas les heures difficiles à faire se chevaucher. J’ai vu cela fonctionner avec des product owners. Un product owner pour une équipe qui collabore avec un autre product owner sur un ensemble de fonctionnalités associées. Les product owners doivent collaborer, mais ils prennent à leur charge les difficultés pour l’équipe.
Astuce bonus 4 : Des heures de chevauchement insuffisantes ne fonctionnent pas pour la collaboration
Si votre équipe a besoin de collaborer et qu’elle n’a pas suffisamment d’heures de chevauchement, réorganisez les équipes. Trouvez des moyens de créer des équipes par fonctionnalités ou des équipes collaboratives où les utilisateurs ont au moins 4 heures par jour pour collaborer. N’essayez pas d’imposer une approche agile aux équipes qui ne peuvent pas collaborer. Voir Manage It! pour d’autres options pour les cycles de vie des projets. Ou bien Create Your Successful Agile Project pour plus d’options pour votre approche agile.
Bien que vous puissiez appeler un ensemble d’individus une équipe, s’ils ne peuvent pas collaborer, ils ne le sont pas.
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Du chaos aux équipes agiles distribuées réussies, c’est parti !
Alors que certaines organisations commencent tout juste à mettre en place le modèle de gouvernance de leurs projets, programmes et portefeuilles, beaucoup d’autres sont à l’autre extrême du spectre et souffrent d’un problème commun mais peu discuté : la sur-gouvernance.
Projet ou organisation souffrant d’une sur-gouvernance ? par Wellington
Si toutes les décisions sur votre projet sont prises par un comité lors d’une série de réunions sans fin, si tout le monde et son chien doivent être là, et qu’il faut 6 organes de gouvernance différents pour qu’une analyse de rentabilité soit approuvée… « Houston, nous avons un problème ».
Qu’est-ce que la gouvernance ?
Prenons un peu de recul et clarifions d’abord ce que l’on entend par « gouvernance ». Selon le Corpus de connaissances de l’APM (7ème édition), la gouvernance fait référence au « cadre d’autorité et de responsabilité qui définit et contrôle les livrables, les résultats et les bénéfices des projets, des programmes et des portefeuilles. Mécanisme par lequel l’organisme d’investissement exerce un contrôle financier et technique sur le déploiement du travail et la réalisation de la valeur. » En substance, ce cadre touche plusieurs domaines du management de projet, de la définition des rôles et responsabilités, à la conception et à la nomination des comités de projet, aux « règles business » d’approbation par étapes, aux voies d’escalade, etc.
Alors, comment les organisations finissent-elles par en avoir trop et supprimer la joie de travailler sur des projets ?
Pourquoi la sur-gouvernance survient-elle ?
D’après mon expérience, le scénario « trop de gouvernance » peut provenir de l’un ou l’autre ou d’une combinaison des éléments suivants.
Une tentative d’apprivoiser l’incertitude et l’ambiguïté
Relisez ce billet sur VUCA
Il existe des environnements de projet qui sont, par nature, hautement réglementés et formels ; d’autres sont des problèmes vraiment difficiles à gérer, sujets à la complexité et à l’ambiguïté, avec de nombreuses interdépendances internes et externes à traiter.
Dans de tels environnements, il est normal de mettre en œuvre des mesures de contrôle supplémentaires, une surveillance plus étroite et un examen plus minutieux pour s’assurer que rien ne passe entre les mailles du filet.
Face à l’incertitude, nous voulons reprendre le contrôle, par conséquent, chaque couche de gouvernance introduite nous procure ce (faux) sentiment de sécurité.
Cependant, croyez-moi, bien que PRINCE2® signifie Projets dans des environnements contrôlés, il est presque impossible d’être à 100% en contrôle quand il s’agit de management de projets.
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L’approche de pansement sur un projet défaillant (ou qui a échoué)
Quand un projet sort de la piste, plutôt que de simplifier l’approche, les gens ont tendance à faire le contraire : Ajouter des champs à remplir dans le registre des risques, donner des rapports d’état plus fréquents, plus d’organes de gouvernance auxquels rendre compte, etc.
Bien sûr, cela ne fait qu’ajouter de la pression à une équipe déjà sous forte pression.
De plus, cette approche représente un moyen rapide mais superficiel d’aborder un problème, de le couvrir d’un pansement plutôt que d’évaluer quel est le véritable problème à la source.
Manque de proportionnalité
Une solution unique à la gouvernance des projets peut être utile lorsque les organisations manquent de standardisation dans leur approche et commencent tout juste à améliorer la maturité du management du portefeuille de projets.
Cependant, la littérature (et l’expérience) nous disent qu’il arrive toujours un point d’inflexion où une taille unique ne suffit plus et où nous nous retrouvons avec une cheville carrée à faire passer dans un trou rond, c’est-à-dire que trop ou trop peu de gouvernance par rapport aux caractéristiques du projet.
Ne vous y trompez pas : La personnalisation est nécessaire et les pratiques les mieux adaptées vous serviront mieux au fil du temps que les meilleures pratiques.
Manque de communication
Communiquez de manière ouverte et adaptée à chaque niveau
Si les canaux de communication sont mal conçus ou s’il n’y a pas de mécanismes de communication appropriés pour diffuser un message et s’assurer que tous ceux qui ont besoin d’être informés sont effectivement informés, il est naturel que tout le monde veuille assister à la réunion du projet, être dans les courriels et exiger une copie de l’analyse de rentabilité.
Je le ferais, aussi !
Manque de confiance et de responsabilité
C’est l’une des causes fondamentales de la sur-gouvernance.
Si l’organisation / le projet ne permet pas une culture de confiance, de responsabilité et d’autonomisation, alors, tous les types de comités de prise de décision / conseils / consultation sont susceptibles d’être en place en tant que couches de redondance pour atténuer ce manque.
Conseils et astuces pour s’attaquer à trop de gouvernance
La sur-gouvernance n’est pas quelque chose que vous pouvez simplement activer ou désactiver, car elle a tendance à être enracinée dans l’ADN culturel de l’organisation. En revanche, la beauté de cela est que la culture organisationnelle ne nous arrive pas juste comme ça. Elle fait référence à ce qui se passe au quotidien et vous pouvez aussi la façonner.
Alors, comment minimiser ou au moins signaler le souci de sur-gouvernance ?
Vous trouverez ci-dessous quelques conseils et astuces qui peuvent vous aider.
Montrez le coût élevé d’une faible confiance
Lorsque vous attribuez un coût à quelque chose, elle gagne automatiquement une nouvelle valeur. Aussi, une excellente façon de mettre en évidence l’impact de la sur-gouvernance est de mettre en pratique le dicton « le temps, c’est de l’argent ». Si vous deviez multiplier le nombre d’heures passées dans chaque réunion de comité par le taux horaire (réel ou générique) des participants, combien ces réunions vous coûtent-elles ?
Vous ne faites probablement pas l’utilisation la plus efficace de votre argent, n’est-ce pas ?
Mesurez combien de temps faut-il pour prendre une décision
Suivez le nombre de jours (semaines ? mois ?) qu’il faut pour faire approuver un dossier de projet depuis qu’il a été soumis, ou le nombre de niveaux dans la structure pyramidale du projet pour décider d’une demande de changement.
Il y a plusieurs moments dans la vie du projet que vous pouvez utiliser pour construire votre argumentation sur la nécessité de changer.
Complétez une évaluation d’impact :
Combien de semaines plus tôt auriez-vous pu mettre le produit sur le marché s’il y avait eu trois comités consultatifs de moins à consulter ?
Soyez clair sur les exigences de communication et les voies d’escalade
Il s’agit de basiques du management de projets mais souvent négligés car nous avons tendance à supposer que tout le monde dans le projet voudra recevoir le même type de communication, de la même manière, en même temps.
En fait, non.
Travaillez sur votre matrice RACI pour confirmer qui doit être consulté et qui doit être informé et n’ayez pas peur de demander sur quoi et comment les parties prenantes aimeraient interagir avec le projet. Un plan de communication est toujours un must-have.
Challengez davantage
On demande souvent aux gens d’assister à des réunions pour susciter l’adhésion et un sentiment d’implication dès le début, même s’ils n’ajoutent pas de valeur à cette réunion.
Question :
Peuvent-ils être informés d’une autre manière ?
Mieux encore : Cette réunion est-elle vraiment nécessaire ou pourrait-elle être remplacée par une annonce sur Teams ? Simplifiez.
Décomposez votre portefeuille en niveaux de projets et définissez les implications en matière de gouvernance
Si c’est simple et facile…
Plus facile à dire qu’à faire, cependant, l’adaptation de votre approche par la catégorisation des activités à venir est fondamentalement basée sur les paramètres des projets. Si un projet est simple, à faible budget et à faible risque, il ne devrait pas avoir les mêmes exigences de gouvernance qu’un projet stratégique, complexe et à haut risque.
Apprenez à déléguer, à manager par exception et à être à l’aise avec ce qui est inconfortable
Croyez-moi, vous ne pouvez pas tout contrôler – j’ai essayé. Les projets fonctionnent dans un monde VUCA et nous devons l’accepter, non pas comme une attitude de laissez-faire, mais plutôt comme une attitude qui permet la flexibilité et l’agilité. Cela signifie également faire davantage confiance aux autres et donner aux équipes les moyens de s’auto-organiser dans les limites de la tolérance convenue.
Renforcez la responsabilisation, pas le contrôle.
Après tout, nous sommes tous des adultes, n’est-ce pas ?
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Le point de vue du PMO
Pour les équipes PMO, il peut parfois être facile de s’enfermer dans la gouvernance et il est souvent nécessaire d’avoir davantage de contacts directs avec les projets afin qu’ils puissent donner confiance en la livraison.
Ce besoin peut parfois être perçu comme une bureaucratie supplémentaire par les équipes de développement, mais étant donné que perception et valeur sont toutes les deux subjectives, les PMOs devraient être sensibles à la façon dont leur besoin d’information est reçu.
Pour ce faire, les PMOs doivent considérer leurs parties prenantes comme des clients internes et prendre le temps d’identifier leurs besoins, afin de concevoir un niveau de gouvernance proportionnel et approprié pour l’organisation.
S’assurer que les conseils et astuces sont suivis en collaboration avec les clients permettra une gestion du changement plus efficace et l’adoption d’exigences de gouvernance nouvelles et révisées.
Et vous ? Êtes-vous également confronté à une sur-gouvernance dans vos projets ?
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Le développement de logiciels est en constante évolution. En conséquence, les développeurs modernes peuvent se sentir « toujours en service », avec peu de temps d’arrêt pour se recharger. Une étude de Haystack a révélé que 83% des développeurs de logiciels souffrent d’épuisement professionnel.
Ce n’est un secret pour personne que la pandémie a augmenté les sentiments d’épuisement professionnel, mais d’autres variables exacerbent également ces ressentis. Les principales raisons citées par les développeurs dans l’étude pour l’épuisement professionnel comprenaient une charge de travail élevée (47%), des processus inefficaces (31%) et des objectifs ou des cibles peu clairs (29%).
L’expérience du développeur (DevEx) fait référence aux interactions et aux sentiments globaux qu’un développeur éprouve lorsqu’il travaille à la réalisation d’un objectif. Ceci peut jouer un rôle essentiel dans l’identification et la conservation d’expériences positives pour les développeurs et les utilisateurs finaux. Une expérience de développement sans friction qui simplifie les processus et aide à prévenir l’épuisement des développeurs est vitale.
La façon dont le travail est structuré dans un environnement distant est un facteur important dans le développement d’une culture de travail positive qui permet aux entreprises de retenir et d’attirer des employés de grande valeur. L’autonomie et un certain degré d’autorité dans le temps et l’emplacement peuvent aider à restaurer un sentiment de contrôle.
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3 conseils pour prévenir l’épuisement professionnel des développeurs
Voici trois solutions pour vous aider à prévenir l’épuisement professionnel au sein de votre équipe de développeurs :
#1 – Automatisez les processus simples
De nos jours, l’automatisation est un élément clé dans toute industrie, de l’IA avancée et de l’apprentissage automatique à la simple utilisation de logiciels pour effectuer des tâches plus efficacement.
Les développeurs sont devenus partie intégrante de tous les types de travail dans les organisations. Lorsque vous managez une équipe de développeurs, aidez à prévenir l’épuisement professionnel en leur suggérant les moyens les plus efficaces et les plus motivants de gérer leurs listes de tâches.
Les développeurs doivent disposer de processus rapides et structurés pour effectuer les tâches. Par exemple, l’utilisation d’outils et de technologies pour simplifier le travail complexe est une bonne pratique pour supprimer le travail répétitif et rendre la livraison du code plus rapide et plus facile. Des processus longs et laborieux embourbent les développeurs et peuvent retarder ou empêcher la satisfaction de livrer quelque chose.
Prenez le pouls de vos développeurs grâce à des enquêtes et à des réunions 1-1, et recherchez activement d’autres moyens de recueillir des informations sur ce que l’équipe pense de sa charge de travail et des processus qu’elle souhaite automatiser.
L’automatisation offre également aux développeurs plus de bande passante. En automatisant des tâches administratives simples et l’accès à de riches données de communication, et en corrigeant les processus stagnants, vous pouvez donner à vos développeurs plus de temps pour innover plutôt que de se laisser prendre par des tâches de base qui consomment beaucoup de temps.
#2 – Bâtissez une culture axée sur les résultats
Pour créer une culture axée sur les résultats, commencez par fixer des objectifs clairs. Une fois ces objectifs en place, donnez à vos développeurs un accès complet à tous les outils disponibles et l’autonomie nécessaire pour manager leurs processus afin de les atteindre.
Un horaire de travail flexible peut permettre une culture axée sur les résultats qui limite le stress du monde moderne et augmente la productivité. La plupart des emplois de développeur n’exigent pas que les travailleurs soient dans un bureau tout le temps, alors pourquoi ne pas donner de la flexibilité à votre équipe ?
Les développeurs n’en font pas nécessairement plus en restant assis sur une chaise plus longtemps.
Les employés apprécient de pouvoir définir leurs horaires. Avoir le contrôle de leur temps et de leur lieu de travail permet des sentiments d’autonomie. Gardez à l’esprit que le travail basé sur la connaissance et la réflexion ne s’alignent pas nécessairement avec huit heures de production : Les développeurs n’en font pas nécessairement plus en restant assis sur une chaise plus longtemps.
#3 – Prévenez le stress à long terme qui mène à l’épuisement professionnel
Bien que le surmenage ne soit pas toujours le problème, il contribue à l’épuisement professionnel. En tant que leader, il est essentiel de donner l’exemple et de montrer qu’il est normal de prendre du temps pour se ressourcer.
Conformément à l’état d’esprit axé sur les résultats mentionné ci-dessus, l’industrie s’éloigne d’horaires stricts de 9h à 17h. Selon le rapport Gartner 2021 Digital Worker Experience Survey, 43 % des répondants ont déclaré que les horaires de travail flexibles les aidaient à être plus productifs.
Les développeurs devraient être en mesure de mettre en cohérence leurs besoins personnels avec ceux de leur travail. Démontrer cela en tant que leader crée un précédent qui aide votre équipe à trouver un équilibre dans sa propre vie.
La prévention de l’épuisement professionnel maintient votre équipe en bonne santé physique et mentale et, en fin de compte, améliore la productivité. Cette productivité conduit à une plus grande innovation et aide l’entreprise à se développer à mesure que votre équipe se concentre sur la création d’expériences positives pour les utilisateurs finaux.
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