
J’avais comme beaucoup entendu parler de la loi de Parkinson dans le contexte du management de projet.
Elle se résume le plus souvent à dire que l’effort lié à la réalisation d’une tache du projet aura toujours tendance à correspondre au minimum à la durée préalablement estimée de ladite tache.
J’ai eu envie d’en apprendre davantage que ce raccourci réducteur sur ce qu’avait réellement exprimé Parkinson.
Je vous invite, si vous avez quelques minutes, à lire l’article original.
En effet, la Loi de Parkinson est l’adage d’abord articulé par Cyril Northcote Parkinson dans un essai plein d’humour publié dans The Economist en 1955, dont la première phase est :
«C’est une observation banale que le travail s’étend afin de remplir le temps disponible pour son achèvement ».

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La fameuse loi de Parkinson et ajoutez à sa le syndrome de l’étudiant (commencer à travailler à la dernière minute pour rendre son travail à l’heure) et aucun projet ne finira dans les délais !
Heureusement il existe des méthodes comme la chaine critique d’Eli Goldratt qui permet de réduire les délais des projets de 40% et d’augmenter le respect des délais.
Pour simplifier la méthode, plutôt que de demander aux gens d’estimer combien de temps il leur faut pour accomplir une tache, on divise par 2 les temps et on place une marge de sécurité à la fin du projet.
C’est la même technique que lorsque vous devez prendre un avion. Combien de fois avez vous loupé votre avion ?
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